Nouvel album photos de la journée du 29 Janvier(en bas de la page), 2,5 millions de travailleurs dans la rue! Si vous avez des photos ou vidéos, n'hésitez pas à me les faire parvenir.
Nouvel album photos de la journée du 29 Janvier(en bas de la page), 2,5 millions de travailleurs dans la rue! Si vous avez des photos ou vidéos, n'hésitez pas à me les faire parvenir.
Bonjour,
un commentaire vient d'être posté par bruno belmonte sur l'article Ca se passe chez les autres..., sur votre blog le-fruit-des-amandiers
Extrait du commentaire:
voila du beau boulot de patrice Padau,en prendre de la graine pour la profession de foi,mais avec les problématiques propres a médica qui lui n'a pas "d'arc en ciel" ou de corrompus dans ses
rangs,je m'efforcerai de toute mes énergies pour faire un cas d'école du dialogue social et de la considération des travailleurs pauvres de la boite,chaque jour remets-toi a l'ouvrage....comptez
sur moi et la CGT ,j'ai des copains et des copines qui tiennent la route.
La crise économique amplifiée par la crise financière internationale touche durement une grande partie des salariés dans leurs emplois et leurs revenus. Alors qu’ils n’en sont en rien responsables les salariés, demandeurs d’emploi et retraités, en sont les premières victimes. Elle menace l’avenir des jeunes, met à mal la cohésion sociale et les solidarités ; elle accroît les inégalités et les risques de précarité. Surmonter cette crise implique des mesures urgentes d’une autre nature que celles prises par l’Etat et les entreprises, pour être au service de l’emploi et des rémunérations.
C’est pourquoi, les organisations syndicales (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, FSU, SOLIDAIRES, UNSA) appellent les salariés du privé et du public, les chômeurs et les retraités, à une journée nationale de mobilisation interprofessionnelle le 29 janvier 2009 : elle donnera lieu dans tout le pays à des grèves et des manifestations. Elles appellent à agir massivement et interpeller les responsables gouvernementaux, les responsables patronaux et les employeurs pour :
défendre l’emploi privé et public,
lutter contre la précarité et les déréglementations économiques et sociales,
exiger des politiques de rémunérations qui assurent le maintien du pouvoir d’achat des salariés, des chômeurs
et des retraités et réduisent les inégalités,
défendre le cadre collectif et solidaire de la protection sociale,
des services publics de qualité qui assurent en particulier tout leur rôle de réponse aux besoins sociaux et
de solidarité.
Les organisations syndicales rendront publique le 5 janvier 2009, une déclaration commune développant leurs propositions et revendications.
Paris, le 15 décembre 2009
Medica France (groupe spécialisé dans l'accueil de personnes âgées)a mis en place une charte de partenariat afin de nouer des relations intergénérationnelles entre les maisons de retraite et les écoles.
A Pons, les activités se suivent régulièrement et jeudi 15 janvier était l'occasion pour deux classes de l'école Sainte Marie de rendre visite à la résidence Marie d'Albret. Les jeunes élèves ont chanté, ont posé des questions, ont répondu et le courant est passé.
Lolotte s'est souvenue du temps où elle aussi fréquentait cette même école (mais pas à la même place ; Annette avait bien connu le grand-père d'un des petits écoliers, et lorsque la directrice Mme Derusseau a évoqué les jeux de la console Wi disponible à la résidence, là, toutes les petites mains se sont levées et tous connaissaient!
Transmission
Ils vont revenir, bientôt, car ils participent au prix Chronos de littérature organisé par la FNG. Ce prix littéraire a été créé par la Fondation nationale de gérontologie en 1996 et se déroule dans toute la France. Sa thématique « Grandir, c'est vieillir ; vieillir, c'est grandir » traite du parcours de vie, des relations entre les générations (enfants et personnes âgées le plus souvent), de la transmission du savoir, de la vieillesse et de la mort.
Son but est de favoriser la lecture et les rencontres intergénérations. Les livres ont pour héros des jeunes et des adultes bien souvent des grands-parents.
L'établissement scolaire a souhaité participé et 4 livres par classe devront être lus. Ensuite les enfants voteront pour l'ouvrage de leur choix (avec un vrai matériel de vote, isoloir, cartes, feuilles de dépouillement...).
L'annonce des résultats aura lieu au Salon du livre en mars à Paris. Les écoliers recevront alors un certificat de membre du jury.
http://www.sudouest.com/charente-maritime/actualite/saintonge/article/480994/mil/4070618.html?L=0%253D4a703122eb%3D62fcc9798f&cHash=3122ab6755
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mail(ratman@le-fruit-des-amandiers.com)je respecterai votre choix.Je vous précise que je suis pénalement et unique responsable des propos tenus sur ce blog alors étayez vos sources et informations.
Merci, et à bientôt.
Estimer l’intensité de la douleur représente une difficulté majeure, tant pour le soignant que pour le résidant ou le patient lui-même.
Partant de ce constat, Médica France a souhaité retravailler ses Bonnes Pratiques en associant à la fois les professionnels du terrain en interne et l’avis d’experts externes sur les sujets de la douleur et des soins palliatifs. Les objectifs de la démarche : aider à la prise en charge des personnes âgées douloureuses chroniques, favoriser le dépistage systématique et la réalisation d’une évaluation initiale rigoureuse pour permettre ensuite un suivi comparatif au fil du temps.
Un groupe de travail sur la prise en charge de la douleur a ainsi été constitué en février 2008 sous l’égide du Dr Didier Armaingaud, Directeur Médical et Qualité de Médica France, pour une révision complète de la procédure d’évaluation et de suivi de la douleur chronique ou induite chez la personne âgée.
Ce comité regroupe une dizaine de personnes : des médecins coordonateurs et des psychologues du Groupe, deux formateurs issus du soin de l’organisme Action Santé, ainsi que deux médecins membres de l’ONG Douleurs Sans Frontières, le Dr Alain Serrie, Chef de service, médecine de la douleur, médecine palliative et urgences céphalées (Hôpital Lariboisière) et le Dr Annick Sachet, ancienne responsable des soins palliatifs (Hôpital Charles Foix).
Les réunions – au début mensuelles puis trimestrielles - ont permis de travailler sur trois axes : l’évaluation de la douleur, le traitement médicamenteux et la prise en charge non médicamenteuse de la douleur.
Premières conclusions et recommandations du groupe de travail
Le groupe de travail a dans un premier temps procédé à une simplification des grilles d’évaluation, considérant que les outils existants à disposition des professionnels soignants relèvent plus des pratiques hospitalières que d’un EHPAD.
Il a été décidé que chaque établissement du Groupe pourra désormais choisir sa propre grille d’analyse de la douleur en utilisant soit des outils nationaux (tels que doloplus, ECPA, EVA, EVS, …) ou des outils plus locaux développés par des réseaux de proximité comme les centres antidouleur.
En outre, le dépistage de la douleur sera effectué devant toute plainte du patient ou lors d’un changement de comportement pouvant faire évoquer une douleur. En l’absence de plainte spontanée, la douleur sera systématiquement recherchée dans les quinze jours qui suivront l’entrée en établissement et à titre de veille au minimum une fois par an, lors des évaluations périodiques.
La nouvelle procédure insiste beaucoup sur l’importance d’une évaluation initiale et recommande en ce sens la réalisation d’une première évaluation de la douleur par les professionnels soignants au quinzième jour après l’arrivée de la personne en établissement à titre d’évaluation initiale.
« Ce n’est pas tant l’innovation que nous avons cherché mais plutôt l’adaptation de nos prises en charges, à ce que vit le résidant ou le patient au quotidien. Il n’est pas normal d’accepter la douleur. Il ne faut pas non plus la banaliser en se disant « c’est comme çà ». Il existe des solutions pour rendre certains actes de soins moins douloureux. Par exemple passer un analgésique quelques heures avant une piqûre ou une injection pour limiter la douleur est tout à fait possible. Certes, cela nécessite une réflexion en amont dans l’organisation du travail mais ce n’est ni long, ni compliqué. Ces protocoles existent déjà sur certains de nos établissements, les Bonnes Pratiques vont « juste » les systématiser », rappelle le Docteur Armaingaud.
Depuis l’été 2008, Medica France propose aux infirmiers et infirmières de suivre des formations « gestion de la douleur » animées par l’organisme Action Santé, afin qu’eux-mêmes sensibilisent les équipes soignantes sur les modalités de prise en charge. Cette formation sera reconduite en 2009.
Médica France communiquera en mai 2009, les travaux du groupe de travail sur les douleurs induites.
Douleurs sans frontières est une ONG française à vocation humanitaire oeuvrant dans le domaine médical et plus précisément sur la prise en charge de la douleur quelle qu’elle
soit. L’ONG a été créée en 1996 par des médecins responsables de structures hospitalières françaises afin d’exporter leur savoir-faire : le traitement de la douleur.
La mission de Douleurs sans Frontières est de promouvoir, d’animer et de développer toutes les actions qui ont pour objet le diagnostic, les traitements et la prise en charge de la douleur dans
les pays les plus défavorisés.
http://www.actusnews.com/documents_communiques/ACTUS-0-14741-cp_medica_08jan09.pdf