FOREST-SUR-MARQUE: L'EHPAD « le jardin de la Marque », adaptée aux aînés de 13 communes.
Vieillir, cela n'est rien, quand on a la chance de bien vieillir, mais aussi quand on bénéficie de structures adaptées à l'âge, à la dépendance, au handicap.
C'est pour offrir à un large territoire, 13 communes du Val de Marque, un équipement à la mesure des besoins des aînés que Forest-sur-Marque abrite en ce moment la construction d'une EHPAD.
Forest-sur-Marque comptabiliserait déjà trente demandes d'hébergement dans la future EHPAD dont les plans ont été élaborés par l'agence Maes de Lille en lien avec Medica France « dans le
respect des souhaits des 13 communes »
François Dutilleul, représentant Nacarat, filiale de Rabot-Dutilleul, a présenté l'équipement de 4 000 m² concu sur trois niveaux, qui offrira 82 lits dont 24 Alzheimer, 2 places d'hébergement
temporaire, 2 accueils / jour pour les malades d'Alzheimer, un jardin thérapeutique, une aire de psychomotricité, une aire des sens, un potager et 4263 m² d'espaces verts. Les travaux d'un
montant de 8,5 millions d'euros qui ont démarré fin 2010 s'achever ont au second trimestre 2012. Avec l'aide du Conseil Général et de l'Etat via l'ARS (Agence régionale de santé), Medica France
a monté ce projet « pas isolé» puisque Medica France, unique groupe spécialisé, certifié NF, gère 120 établissements de ce type dont 5 dans le Nord.
(Boursier.com) -- Interrogé par Boursier.com, Nicolas Ruggieri,
Administrateur de Batipart, justifie la prise de participation de 9,5% dans Medica : "Depuis plusieurs années, Batipart a décidé de s'intéresser prioritairement aux secteurs de l'immobilier
et de la santé... Ils constituent nos deux axes de développement stratégique. Dans le domaine de la santé, nous sommes actionnaire-fondateur de Korian, un des leaders du secteur
médico-social. Il nous a paru intéressant de renforcer notre position dans un domaine que nous connaissons bien en saisissant l'opportunité d'entrer au capital de Medica, très belle
entreprise du secteur".
Interrogé sur un possible mariage entre Medica et Korian, M. Ruggierui répond : "Le secteur de la dépendance connaît depuis plusieurs années d'importantes évolutions sur le plan réglementaire
qui ont contribué à l'émergence en France d'opérateurs structurés de dimension nationale, puis européenne, a même de répondre aux exigences des familles et des autorités de tutelle sur le
plan de la qualité des services. La taille de ces sociétés, leur niveau de liquidité sont également des paramètres à prendre en compte s'agissant de leur statut boursier... Dans ce contexte
et pour sa part de 9,5% du capital, Batipart appuiera naturellement toute opération proposée par le management qui pourrait faire sens sur un plan stratégique".
Peut-on licencier pour absence de diplôme un salarié qui exerce une profession réglementée depuis plusieurs années en violation des règles légales
?
La Cour de Cassation a été saisie très récemment de cette question à propos d'une
infirmière.
Les faits étaient très simples :
La salariée a été engagée, à compter du 1er mars 2003, en qualité d'infirmière d'Etat par le groupe Les Doyennés Europe aux
droits duquel vient la société Medica France bien qu'elle n'en avait pas le diplôme.
Le 30 novembre 2007, son employeur la mettait en demeure de lui transmettre son diplôme d'Etat d'infirmière ou une équivalence délivrée par la
Direction départementale des affaires sanitaires et sociales (DDASS).
Bien évidemment, elle n'a pas pu présenter le diplôme qu'elle n'avait jamais eu.
Elle a été licenciée le 16 janvier 2008, au motif de l'impossibilité de continuer de l'employer au sein de l'établissement en
application des textes réglementaires régissant le secteur d'activité.
La Cour de Cassation en sa Chambre Sociale en date du 18 mai 2011 N° de pourvoi: 09-68704refuse un licenciement pour ce motif en rappelant que
"l'employeur, qui avait eu connaissance dès l'origine de ce que la salariée n'était pas titulaire du diplôme ou de l'équivalence requis et qui avait poursuivi les relations
contractuelles pendant cinq ans jusqu'à lui confier des responsabilités de cadre infirmier, ne pouvait valablement invoquer une réglementation à laquelle il avait lui-même
contrevenu.".
Sage décision basée sur une règle de droit civil : "Nemo auditur propriam turpitudinem allegans" (Nul ne peut se prévaloir de sa propre
turpitude) .
Décision de la Cour de cassation, Chambre sociale, rendue le 18/05/2011, rejet.
Attendu, selon l'arrêt attaqué (Orléans, 9 juin 2009), que Mme X... a été engagée, à compter du 1er mars 2003, en qualité d'infirmière d'Etat par le groupe
Les Doyennés Europe aux droits duquel vient la société Medica France ; qu'après avoir été, le 30 novembre 2007,mise en demeure par son employeur de lui transmettre
son diplôme d'Etat d'infirmière ou une équivalence délivrée par la Direction départementale des affaires sanitaires et sociales (DDASS), elle a été licenciée le 16
janvier 2008, au motif de l'impossibilité de continuer de l'employer au sein de l'établissement en application des textes réglementaires régissant le secteur d'activité ;
que Mme X... a saisi la juridiction prud'homale de demandes au titre de la rupture de son contrat de travail ;
Sur le premier moyen :
Attendu que l'employeur fait grief à l'arrêt de faire droit à ces demandes, alors, selon le moyen :
1) - Que le licenciement prononcé à raison de l'impossibilité pour le salarié de répondre aux conditions légales exigées pour l'exercice d'une profession réglementée ne présente aucun
caractère disciplinaire mais constitue un licenciement pour trouble objectif ; que le licenciement de Mme X..., expressément prononcé par l'employeur à raison de ce qu'elle n'avait pu,
depuis plusieurs années, justifier du diplôme nécessaire à l'exercice de sa fonction d'infirmière, constituait un licenciement pour trouble objectif et non un licenciement pour faute ;
qu'en déclarant ce licenciement sans cause réelle et sérieuse au motif inopérant qu'elle n'avait pas commis de faute, la cour d'appel a violé l'article L1232-1 du Code du travail ;
2) - Qu'à supposer que le défaut de production d'un diplôme ait été imputé à faute à Mme X... dans la lettre de licenciement, la rupture n'en était pas moins prononcée également à raison
d'un trouble objectif que constituait pour l'employeur l'impossibilité objective où il se trouvait-reconnue par le juge du fond-d'employer l'intéressée comme infirmière ; qu'en n'examinant
que le prétendu grief disciplinaire, sans examiner le grief non disciplinaire, la cour d'appel a violé les articles L1232-1 et L1232-6 du Code du travail ;
3) - Que constitue une cause réelle et sérieuse de licenciement, l'impossibilité pour l'employeur de maintenir la salariée qui n'a pas le diplôme nécessaire à l'exercice d'une profession
réglementée, telle celle d'infirmière ; qu'ayant relevé que " la situation de Mme Said qui n'avait pas le diplôme d'infirmière ne pouvait être régularisée, l'autorisation d'exercer comme
infirmière n'étant prévue que pour les recrutements dans les établissements hospitaliers publics ou privés ou participant au service public hospitalier " et que "l'employeur n'avait pas eu
d'autre choix que de rompre le contrat de travail en raison de l'impossibilité pour Mme X... d'exercer en qualité d'infirmière pour la société Medica France, aucune équivalence n'étant
permise dans ce type d'établissement ", ce dont il ressort que la cour d'appel a constaté l'impossibilité de maintenir Mme X... à son poste d'infirmière faute d'avoir le diplôme requis par
la réglementation en vigueur au sein d'un EHPAO, et en décidant cependant que son licenciement était sans cause réelle et sérieuse, la cour d'appel a violé l'article L1232-1 du Code du
travail ;
4) - Que la circonstance que l'employeur-dans l'espoir d'une régularisation-n'ait pas immédiatement tiré les conséquences de l'absence du diplôme exigé et ait prononcé le licenciement à
suite d'un rappel à l'ordre de l'administration, n'est pas de nature à priver le licenciement de cause réelle et sérieuse ; qu'en décidant le contraire, la cour d'appel a violé l'article
L1232-1 du Code du travail ;
Mais attendu que la cour d'appel a retenu, par motifs propres et adoptés, que l'employeur, qui avait eu connaissance dès l'origine de ce que la salariée n'était pas titulaire du
diplôme ou de l'équivalence requis et qui avait poursuivi les relations contractuelles pendant cinq ans jusqu'à lui confier des responsabilités de cadre infirmier, ne pouvait valablement
invoquer une réglementation à laquelle il avait lui-même contrevenu ; qu'en l'état de ces constatations, la cour d'appel, qui s'en est tenue au motif énoncé dans la lettre de
licenciement, n'a fait qu'user des pouvoirs qu'elle tient de l'article L1235-1 du Code du travail en décidant que le licenciement ne procédait pas d'une cause réelle et sérieuse
; que le moyen n'est pas fondé ;
Sur le second moyen :
Attendu qu'il n'y a pas lieu de statuer sur ce moyen qui ne serait pas de nature à permettre l'admission du pourvoi ;
Par ces motifs : Rejette le pourvoi ;
M. Linden, conseiller faisant fonction de Président
La holding familiale Batipart a annoncé jeudi l'acquisition de 9,5% du capital de Medica auprès de BC Partners pour 72,5 millions d'euros, renforçant sa présence dans les maisons de retraite et
suscitant des spéculations sur un rapprochement entre Medica et Korian.
L'opération, qui s'est faite au prix de 16 euros par action, permet à Batipart d'affirmer sa présence dans le secteur des soins à destination des personnes âgées, la holding étant également
l'actionnaire fondateur du groupe Korian avec 23,6% du capital.
"Cette annonce devrait relancer les spéculations sur une fusion entre Medica et Korian - Predica et Batipart sont maintenant des actionnaires communs aux deux entreprises -, même si les
synergies entre ces grands opérateurs paraissent limitées", a déclaré un trader basé à Paris.
Avec 31% de Korian et 11,3% de Medica, Predica, une filiale de la banque Crédit Agricole, est également présent dans les maisons de retraite.
"Les deux grands actionnaires de Korian deviennent actionnaires très importants de Medica. Cela augmente la probabilité d'un rapprochement entre les deux. Pour moi, ce n'est pas pour tout de
suite, sinon ils l'auraient déjà fait", nuance de son côté un analyste.
A 10h35, l'action Medica gagnait 4,38% à 15,50 euros, tandis que Korian avançait de 2,52% à 17,10 euros.
"Par cette prise de participation dans Medica, très belle entreprise du secteur, Batipart renforce ainsi sa position dans un domaine qu'il connaît bien et dont il a l'ambition d'accompagner le
développement à l'échelle européenne pour répondre aux enjeux du vieillissement de la population", écrit Batipart dans son communiqué.
BC Partners a de son côté fait savoir qu'il avait également cédé une participation totale de 18,6% du capital à plusieurs entités du groupe Covéa. Les fonds conseillés par BC Partners
détiennent encore environ 3% du capital de Medica, a ajouté BC Partners.
Juliette Rouillon et Caroline Jacobs, avec Blaise Robinson et Marie Mawad, édité par Benjamin Mallet.
Groupe Covéa : Un grand groupe d'assurance mutualiste
Covéa est une Société de Groupe d’Assurance Mutuelle (SGAM) qui réunit trois enseignes majeures, chacune bénéficiant d’une
forte notoriété et d’un positionnement spécifique :
MAAF, assureur généraliste grand public, particuliers et professionnels
« La référence qualité prix »
MMA, assureur multispécialiste grand public et entreprise, avec agents généraux
« Zéro tracas, zéro blabla, avec MMA, c'est le bonheur assuré ».
GMF, assureur des agents de la fonction publique
« Assurément humain »
Predica est la filiale assurance de personnes du groupe Crédit Agricole Assurances. Elle est le second assureur vie en France et notamment n°1 en PERP,
en retraite pour les particuliers et les agriculteurs, en prévoyance et en dépendance. Créée en 1986, Predica a intégré le groupe Crédit Agricole Assurances en janvier 2009.
Batipart est à l'origine de la création et du développement du groupe Korian. C'est en 2006 que Suren et Medidep fusionnent et deviennent le groupe Korian pour s'introduire en bourse la même
année.Le groupe Batipart est l'actionnaire historique de référence de Korian au côté d'actionnaires institutionnels stratégiques tels que Predica (Assurance prévoyance du Crédit Agricole) et ACM
Vie (Assurance Vie du Crédit Mutuel).
- 1970-1985 : Sidérurgie Lorraine - cadre au service immobilier
- 1982 : Immobilière Thionvilloise et de la Mosellane d'HLM - directeur
- 1986-1999 : Immobilière Batibail - président
- 1996-2002 : groupe Batigère - président du conseil de surveillance
- Depuis 1988 : Batipart - président
- Depuis 2001 : groupe Foncière des Régions - président du conseil de surveillance
- Depuis 2005 : Foncière Développement Logements - président du conseil de surveillance ; Foncière des Murs - membre du conseil de surveillance ; Korian - membre du conseil de
surveillance
- Secteur d'activité : foncière
Distinctions honorifiques :
- Chevalier de la Légion d'Honneur
- Officier de l'Ordre National du Mérite
- PIERRE D'OR Professionnel de l'année 2004
MEDICA : Batipart se dit prêt à étudier un rapprochement Medica-Korian
27/05/2011 | 16:45
Thomas Varela,
DOW JONES NEWSWIRES
PARIS (Dow Jones)--La société d'investissement Batipart, actionnaire des groupes de maisons de retraite et de cliniques Korian SA (KORI.FR) et Medica SA (MDCA.FR), s'est dite prête vendredi à
étudier un rapprochement entre les deux sociétés, tout en précisant qu'aucun projet de fusion ne faisait l'objet de discussions à l'heure actuelle.
"Si un plan de rapprochement [de Medica] avec Korian ou un autre est proposé, nous l'étudierons", a déclaré à Dow Jones Newswires le directeur délégué de Batipart, Nicolas Ruggieri. "Nous
appuierons toute opération proposée par le management qui aura du sens sur le plan stratégique", a-t-il ajouté lors d'un entretien téléphonique.
Korian et Medica sont les troisième et quatrième acteurs privés du secteur en France en termes de capacités d'accueil, derrière le groupe non coté DVD et Orpea SA (ORP.FR). Korian a réalisé
un chiffre d'affaires de 922,9 millions d'euros en 2010, tandis que celui de Medica s'est élevé à 538,9 millions d'euros. Un rapprochement leur permettrait de se hisser à la première place du
secteur.
Batipart a annoncé jeudi avoir acquis une participation de 9,5% au capital de Medica auprès du fonds britannique BC Partners, qui s'est presque totalement désengagé en cédant également 18,6%
du capital à l'assureur Covéa. Cette évolution de l'actionnariat a relancé les spéculations au sujet d'un possible rapprochement avec Korian, dont Batipart est le deuxième actionnaire avec
23,6% du capital.
"L'annonce d'hier rouvre complètement l'attrait spéculatif du dossier", estime le courtier Oddo dans une note d'analyse, en qualifiant de "très vraisemblable" un rapprochement capitalistique
entre les deux groupes. Le capital de Medica est potentiellement ouvert, avec un flottant de 54%, et Korian est officiellement à la recherche d'acquisitions, ajoute-t-il.
Les deux sociétés comptent également comme actionnaire l'assureur Predica, filiale de Crédit Agricole SA (ACA.FR), qui détient 31,4% du capital de Korian et 11,3% de Medica.
"Je comprends les arguments mis en avant" pour justifier un éventuel rapprochement entre Medica et Korian, "ce sont de vrais arguments", a également affirmé Nicolas Ruggieri. Batipart et
Predica n'agissent pas de concert dans le cadre de leurs participations, a-t-il toutefois précisé, ajoutant que Batipart avait désormais "vocation à être présent au conseil d'administration
de Medica".
Joint par téléphone, un porte-parole de Korian n'a pas souhaité apporter de commentaire. Medica n'a non plus souhaité s'exprimer, tandis que personne n'était disponible dans l'immédiat chez
Predica et Covéa.
A 16h43, l'action Korian gagnait 1,8% à 17,48 euros, et Medica avançait de 0,7% à 15,70 euros. La capitalisation boursière respective des deux sociétés est de 565 millions et 750 millions
d'euros, selon Facset.
MEDICA (Francfort: A0REC2 - actualité) (Paris:MDCA), acteur de référence de la prise en charge de la dépendance pérenne et temporaire en France, annonce aujourd’hui une modification dans la
répartition de son actionnariat.
TBU-3 International SA, détenue par des fonds conseillés par BC Partners, actionnaire principal de MEDICA qui a accompagné son développement depuis 2006, a cédé 18,6% du capital de MEDICA à
différentes sociétés du groupe Covéa et 9,5% au Groupe Batipart.
A compter de ce jour, l'actionnariat de MEDICA se répartit de la manière suivante * :
Flottant
54,0%
Sociétés du groupe Covéa
18,6%
Predica
11,3%
Groupe Batipart
9,5%
Management
3,7%
TBU-3 International
2,8%
FCPE
0,1%
Jacques Bailet, Président Directeur Général, déclare :
" Nous remercions BC Partners d'avoir accompagné avec confiance notre développement pendant 5 ans. L’entrée d’investisseurs connaissant le secteur de la santé, la présence de
Predica depuis l’introduction en bourse, conjuguées à une base actionnariale diversifiée représentant 54% du capital, confortent la stratégie de croissance maîtrisée de notre entreprise,
conduite avec succès grâce à l'engagement de nos équipes depuis plus de 10 ans. "
*Chiffres arrondis à la date du présent document et à la connaissance de la société
PROCHAINES COMMUNICATIONS FINANCIERES
Assemblée Générale :
Mardi 7 juin 2011
Chiffre d'affaires T2 2011 :
Mercredi 20 juillet 2011 avant Bourse
Résultats 1ersemestre 2011 :
Mardi 6 septembre 2011 avant Bourse
Chiffre d’affaires T3 2011 :
Point spécifique sur le développement
Mardi 18 octobre 2011 avant Bourse
A PROPOS DU GROUPE MEDICA
Créé en 1968, le Groupe MEDICA, acteur de référence de la prise en charge de la dépendance pérenne et temporaire en France, intervient dans le secteur "EHPAD" (Etablissements d’Hébergement pour
Personnes Agées Dépendantes) en France et en Italie et dans le secteur Sanitaire, avec des établissements de Soins de Suite et de Réadaptation et des cliniques psychiatriques. Sur ces 2
secteurs, le Groupe MEDICA disposait au 10 mai 2011 d’une capacité d’accueil totale d’environ 14 300 lits et emploie plus de 7 900 collaborateurs.
MEDICA est cotée sur NYSE Euronext Paris depuis février 2010 - Compartiment B - Eligible au SRD.
MEDICA fait partie des indices, MSCI France Small Cap et Gaia Index.
Code : MDCA - ISIN : FR0010372581 - Reuters : MDCA PA - Bloomberg : MDCA FP
Site Internet : www.groupemedica.com
(CercleFinance.com) - Monroe a déclaré à l'AMF avoir franchi en hausse, le 25 mai 2011, les seuils de 5% du capital et des droits de vote de Medica (Francfort: A0REC2 -
actualité) et détenir 9,46% du capital et des droits de vote de cette société de prise en charge de la dépendance.
Ce franchissement de seuils résulte d'une acquisition d'actions Medica hors marché.
Copyright (c) 2011 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
(CercleFinance.com) - HSBC (London: HSBA.L
- actualité) réitère son opinion 'surpondérer' sur Medica (Francfort: A0REC2 -
actualité) et fixe toujours l'objectif de cours à 17,50 euros, suite à la décision de BC Partner de céder 18,6% du capital.
Le bureau d'études estime que cette sortie s'avère positive pour la société spécialisée dans la prise en charge de la dépendance et pour le secteur.
'L'entrée d'investisseurs connaissant le secteur de la santé, la présence de Predica depuis l'introduction en bourse, conjuguées à une base actionnariale diversifiée représentant 54% du
capital, confortent la stratégie de croissance maîtrisée de notre entreprise, conduite avec succès grâce à l'engagement de nos équipes depuis plus de dix ans', soulignait hier Jacques
Bailet, PDG de Medica.
Copyright (c) 2011 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Les informations et analyses diffusées par Cercle Finance ne constituent qu'une aide à la décision pour les investisseurs. La responsabilité de Cercle Finance ne peut être retenue
directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel
avant tout investissement. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter.
A la faveur du désengagement de BC Partners, la holding de la famille Ruggieri, Batipart, est entrée au capital du groupe de maisons de retraite, Medica. Une opération qui confirme l’aspect
stratégique de la santé.
Les lignes bougent chez les spécialistes de la prise en charge de la dépendance. Quinze mois après son introduction en Bourse, le troisième
acteur français spécialiste des maisons de retraite, et des établissements de soins de suite, voit arriver un nouvel actionnaire à son capital. Un actionnaire pas tout à fait inconnu dans le
secteur de la santé, loin de là, puisqu’il s’agit de la holding de la famille Ruggieri, Batipart, déjà actionnaire à hauteur de 23,8% de Korian le deuxième grand acteur côté du secteur.
Dans un communiqué, Batipart explique avoir acquis auprès du fonds BC Partners 9,5% du
capital de Medica. Pour cela, la holding a déboursé environ 72,5 millions d’euros. BC Partners, qui souhaitait se désengager de Medica via l’introduction en Bourse en février 2010, a également
cédé 18,6% de Medica au groupe Covéa (assurance mutualiste : MAAF, MMA, GMF, etc.). A l’issue de la transaction, BC Partners, qui avait déjà réduit sa participation en mars en vendant 14,6% du
capital, ne détient donc plus qu’environde 3% du spécialiste de la prise en charge de la dépendance.
Une opportunité «rare»
Par cette opération, Batipart profite donc de la situation particulière du tour de table de Medica. «Il est rare d’avoir une telle opportunité dans les grandes entreprises de la santé, explique
Nicolas Ruggieri, directeur délégué de Batipart. Cette entrée au capital nous permet de nous renforcer dans le secteur, le deuxième axe stratégique majeur de Batipart, avec l’immobilier». Parmi
les autres groupes cotés, un désengagement d’investisseurs détenant des participations aussi importantes que celle de BC Patners (30,5% au moment de l’introduction) est en effet peu courant. La
santé étant considéré comme porteur sur le long terme, les investissements se font en général sur le même même horizon.
Les investisseurs semblainet partager cet enthousiasme ce jeudi à la Bourse de Paris, le titre Medica s’adjugeant 3% dans les premiers échanges, à 15,3 euros. «C’est clairement un investissement
de long terme de la part de Batipart, poursuit Nicolas Ruggieri». Reste à savoir quelle position adoptera le nouvel entrant par la suite, et s’il souhaite éventuellement prendre le contrôle de sa
nouvelle participation. «Nous n’excluons pas de nous renforcer, conclut Nicolas Ruggieri, mais nous ne le ferons pas de manière significative, si cela nuit au flottant de Medica, qui à près de
55%, est l’un des atouts majeurs de cet investissement». Aujourd’hui, le premier actionnaire de Medica reste la société d’assurance vie Prédica, avec 11,3% du tour de table.
Du côté de Medica, peu de réactions sur l’opération. «L’arrivée d’un nouvel actionnaire, a priori connu pour ses investissements sur la durée, ne peut être qu’une bonne chose» , se limite à
expliquer Jacques Bailet, le PDG de Medica. Le groupe devrait publier un communiqué dans la matinée.
MEDICA, acteur de la prise en charge de la dépendance pérenne et temporaire en France, annonce aujourd'hui une modification dans la répartition de son actionnariat.
TBU-3 International SA, détenue par des fonds conseillés par BC Partners, actionnaire principal de MEDICA qui a accompagné son développement depuis 2006, a cédé 18,6% du capital de MEDICA
à différentes sociétés du groupe Covéa et 9,5% au Groupe Batipart.
A compter de ce jour, l'actionnariat de MEDICA se répartit de la manière suivante * :
Flottant : 54,0%
Sociétés du groupe Covéa : 18,6%
Predica : 11,3%
Groupe Batipart : 9,5%
Management : 3,7%
TBU-3 International : 2,8%
FCPE : 0,1%
*Chiffres arrondis à la date du présent document et à la connaissance de la société
Jacques Bailet, Président Directeur Général, déclare :
" Nous remercions BC Partners d'avoir accompagné avec confiance notre développement pendant 5 ans. L'entrée d'investisseurs connaissant le secteur de la santé, la présence de Predica
depuis l'introduction en bourse, conjuguées à une base actionnariale diversifiée représentant 54% du capital, confortent la stratégie de croissance maîtrisée de notre entreprise, conduite
avec succès grâce à l'engagement de nos équipes depuis plus de 10 ans. "
Covéa :
Covéa, un grand groupe d'assurance mutualiste qui réunit MAAF, MMA et GMF.
Petite rappel pour nos lecteurs sur l'historique de Batipart:
Batipart est à l'origine de la création et du développement du groupe Korian (2006 fusion de Suren et Medidep pour donner le groupe Korian introduit en bourse la même année).
Le groupe Batipart est l'actionnaire historique de référence de Korian au côté d'actionnaires institutionnels stratégiques tels que Predica (Assurance prévoyance du Crédit Agricole) et
ACM Vie (Assurance Vie du Crédit Mutuel).
La présence de Batipart dans Korian et Medica ne va pas manquer de relancer les spéculations sur une fusion des deux groupes sous l'impulsion des actionnaires communs.
Chez les actionnaires(bon ça c'est sûr!),pas chez salarié(e)s(c'est encore plus sûr!!), Medica sponsorise des vacances au Maroc!!!!!
Donc nous vous conseillons d'écrire à la direction, pour vous faire sponsoriser vos prochaines vacances! Après tout, si ça marche pour les uns,ça doit marcher pour les
autres!!!!!!!!!!!!Voir ci dessous:
Après une traversée sans encombre en étant entré les derniers sur le premier des deux bateaux à 4h30 du matin, le départ de Tanger a permis de se lancer à la découverte des paysages nord
africains. L’étape du jour, dite de liaison, a fait dévouvrir aux concurents les charmes de la cote atlantique avant d’emmener les concurrents cap à l’Est pour se lancer à l’assaut de
l’Atlas.
Là, le Maroc a montré une facette un peu inattendue pour beaucoup avec la traversée d’une station de sport d’hiver, les participants ayant découvert la neige! Le bivouac a marqué les
esprits puisque la température nocturne est descendue à -4°. Pour l’équipage 931, ce fut le début d’une séance de mécanique puisque l’échappement a cassé. La première réparation à l’aide
d’une canette n’a pas tenu très longtemps. La deuxième tentative à l’aide d’une pâte adaptée n’a pas été très efficace non plus. Hier soir, au bivouac, c’est une soudure qui était
envisagée; espérons pour les oreilles de l’équipage que cette technique aura été la bonne!
L’étape du jour a emprunté au départ une chaussée goudronnée avant dans sa deuxième partie de faire découvrir la piste.
Aujourd’hui mardi, direction Merzouga en traversant les dunes de sable: les plaques de désensablage et les pelles devraient être de sortie. C’est ce soir que le matériel scolaire (80
tonnes!!!) sera remis à l’organisation locale avec une grande fête organisée avec la présence normalement de 400 enfants.
| Posted in
Dimanche, février 20th, 2011
Le samedi à Algesiras a bien commencé puisque c’est après 11 heures de sommeil que les 2 voyageurs ont émergé au bivouac situé sur les hauteurs de l’hôtel Casa Bernardo. La révision de
Titine a été vite faite puisque tout va pour le mieux pour l’instant: descente sans forcer à rythme soutenu (2000km quand même) malgré le chargement et la galerie avec une consommation de 6
litres pour 100 km en moyenne. L’intervention s’est limitée à la pose des roues équipées des pneus pour la terre et les cailloux.
Dans l’après midi s’est tenu le briefing permettant à tous de savoir « enfin » ce qui les attendait. Départ de la première rotation de bateau en fin d’après midi direction Tanger au Maroc
et pour les voyageurs 931: rendez-vous à 4h30 du matin pour la deuxième rotation de bateau! L’itinéraire est donc une première étape dimanche entre Tanger et Enjil, 500km environ vers le
Sud très légèrement Est avec la traversée de la chaine de l’Atlas. Le spectacle devrait être grandiose avec probablement un peu de neige sur les hauteurs! Lundi, ce sera Errachidia la
destination avec 250 km à peu près à parcourir, toujours en direction du Sud. Mardi: cap au Sud au départ puis en fin d’étape à l’Est pour atteindre Merzouga. Cette étape sera marquée par
le franchissement de dunes qui devraient ravir les yeux, et faire sortir les pelles pour le sable! De plus, ce ne sera qu’au terme de cette étape que les fournitures scolaires seront
remises à l’organisation locale (65 kilos de poids en moins pour la suite du voyage…). Mercredi, l’étape à atteindre sera Timerzif. Jeudi: le bivouac sera à Zagora. Enfin, vendredi soir
après une traversée retour de l’Atlas, la destination finale Marocaine sera Marrakech!
Enfin pour l’heure, le réveil nocturne s’est fait sous la pluie avec un bourbier sans nom, le bivouac étant dans une ancienne carrière. Heureusement que les pneus spéciaux étaient déjà en
place! L’embarquement s’est fait sans problème, l’équipage étant le dernier à embarquer sur le bateau. Pour l’heure, les premiers kilomètres marocains défilent et le rêve devient réalité.
| Posted in
Vendredi, février 18th, 2011
Ce vendredi 18 février a été marqué par une longue étape en direction d’Algeciras pour le pointage qui doit être effectué avant demain samedi 15 heures. Le franchissement des Pyrénées s’est
effectué à vitesse un peu plus réduite que la traversée de la France, les fortes pentes ayant permis aux deux aventuriers de profiter un peu plus du paysage. Un départ matinal vers 7 heures
a permis de dépasser Madrid et ses voies autoroutières très fréquentées vers 15 heures et d’atteindre Grenade à 20 heures. Le bivouac était prévu à Malaga où la température nocturne prévue
entre 7 et 8°, aurait permis aux deux explorateurs de récupérer un peu mieux qu’à Grenade où la gelée nocturne menaçait! Mais finalement, à 21 h45, depuis Malaga, la décision est prise
d’aller directement au bivouac de l’organisation à Algeciras pour une question de sécurité entre autre. Ce dernier sera atteint à 23h00 pour un repas puis un repos bien mérité après une
étape de 1100km! Quand à Titine, elle a « roulé à merveille » (sic).
| Posted in
Vendredi, février 18th, 2011
Le mercredi 16 février, l’équipage était convoqué au stade de France afin d’effectuer les vérifications techniques d’usage. Ce ne fut qu’une formalité pour la voiture, qui a même un peu
forcé l’admiration du contrôleur sur le plan mécanique en tout cas! Le numéro 931 a donc été fièrement apposé sur les portières et l’équipage et la voiture ont regagné le parc fermé pour la
journée.
Jeudi 17 février fut le grand jour. Après un briefing en règle à 12h30, toujours au stade de France, c’est non sans émotion que les participants parisiens se sont élancés à 13h00 pour une
étape de presque 2000 kilomètres. La 4L a donc vaillamment enchainé les kilomètres autoroutiers pour rejoindre Bordeaux vers 20h00 et finalement marquer une première pause avant Bayonne. La
révision mécanique d’usage en fin de journée n’a pas révélé de problème majeur et c’est vers 23h00 que pilote et copilote ont tenté de trouver un peu de sommeil en prévision de la grande
étape kilométrique à venir.
MEDICA introduit la méthode Montessori adaptée aux personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer au sein de ses maisons de retraite et forme ses équipes soignantes. Cette approche de
communication non verbale, sensorielle et motrice vise à diminuer les troubles du comportement des résidants désorientés.