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18 avril 2013 4 18 /04 /avril /2013 07:13

http://midi-pyrenees.france3.fr/2013/04/17/les-salaries-d-une-maison-de-retraite-de-saint-orens-denoncent-le-manque-de-personnel-236093.html

 

Les agents de l’EHPAD Augustin Labouilhe, à Saint-Orens, se sont mis en grève mercredi matin. Ils protestent contre le manque de personnel, conséquence d'une politique de réduction budgétaire imposée par l'Agence Régional de Santé. 

  • Par Marie Martin
  • Publié le 17/04/2013 | 10:43, mis à jour le 17/04/2013 | 18:00
Les agents de l'EHPAD de Saint-Orens sont en grève depuis mercredi matin. © Michel Pech/France 3 Midi-Pyrénées
© Michel Pech/France 3 Midi-Pyrénées Les agents de l'EHPAD de Saint-Orens sont en grève depuis mercredi matin

Après les mouvements de protestation de l’hôpital public, ce sont désormais les établissement d’hébergement pour personnes âgés dépendantes (EHPAD) qui sont touchés par la crise. 
Les agents de l’EHPAD Augustin Labouilhe, à Saint-Orens, ont décidé de faire grève ce mercredi 17 avril. Ils dénoncent le manque de personnel,conséquence d'une politique de réduction des coûts conduite par l’Agence Régionale de Santé.
Les salariés de cette EHPAD sont parfois contraints de revenir sur leurs jours de repos, ce qu'ils dénoncent comme une pression de la part de la direction, qui "joue" ainsi sur leur conscience professionnelle. Les remplacements n'étant plus budgétés, c'est la règle de l'auto-remplacement qui prime. 
Le ras-le-bol est général, dominé par un sentiment d'impuissance et d'impossibilité de faire correctement son travail. 

 

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18 avril 2013 4 18 /04 /avril /2013 07:11

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Employes-de-maison-de-retraite-en-greve-_44109-avd-20130416-64972626_actuLocale.Htm

 

mardi 16 avril 2013


Les salariés en grève, devant l'établissement. 

 

Les salariés de la maison de retraite protestante réclament une augmentation de salaires.

 

Aides soignantes, agents d'entretien, comptable, secrétaire, animatrice, veilleuses de nuit : elles sont assises sur des chaises posées sur le trottoir en réfection, devant un immeuble à la façade en partie en travaux.

« Nous travaillons dans la maison de retraite protestante qui vient de déménager dans ce bâtiment et nous sommes en grève, explique une déléguée CGT. Le déménagement a accru notre travail. Nous sommes dans un site deux fois plus grand que l'ancien. Nous venons en plus de changer de directrice. Et on nous demande d'oublier l'ancienne organisation. Face au surcroît de travail, nous réclamons une augmentation de salaire. Mais la direction nous propose juste une prime de 200 €. Inacceptable. »

Le conflit s'est déclenché lors des négociations annuelles obligatoires. « Or 90 % des 32 salariés ont cessé le travail. », calcule la CGT. 

Hier après midi, des familles des 60 résidents venaient aux nouvelles. L'établissement, à terme doit recevoir 82 personnes contre 77, chambres temporaires comprises, dans l'ancien site.

Hier soir, la direction faisait savoir que des négociations sont en cours et qu'un nouveau point est prévu avec les salariés. La grève est reconduite aujourd'hui.

Philippe GAMBERT.

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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 18:46

http://www.courrierdelouest.fr/actualite/champtoce-la-greve-se-poursuit-a-la-maison-de-retraite-16-04-2013-106132

 

 

Les salariés de la maison de retraite de Champtocé poursuivent leur grève, entamée jeudi 11 avril. Dans un communiqué de la CGT, les grévistes indiquent ne pas pouvoir "supporter plus longtemps la façon dont le personnel était traité par la hiérarchie de l’établissement. Depuis le début de la grève la direction refuse catégoriquement toute rencontre avec les grévistes et la CGT".

Pendant la grève, la prise en charge des résidents de la maison de retraite se poursuit.

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15 avril 2013 1 15 /04 /avril /2013 07:07

http://www.frituremag.info/Home-Page/Greve-dans-une-maison-de-retraite.html

 

 

Après les mouvements de protestation de l’hôpital public, c’est désormais un établissement d’hébergement pour personnes âgés dépendantes (EHPAD) qui se lance dans la bataille.

Les agents de l’EHPAD Augustin Labouilhe, à Saint-Orens, ont décidé de faire grève mercredi 17 avril de 8h à 12h. Les revendications ne sont pas nouvelles et ne sont pas non plus exclusives à cet établissement. Les agents protestent contre le manque de personnel provoqué par une politique de réduction des coûts conduite par l’Agence Régionale de Santé.

Les agents de cette maison de retraite ne veulent plus revenir durant leurs jours de repos, et refusent le chantage culpabilisateur de la conscience professionnelle. Ils s’opposent à la mauvaise gestion et organisation des plannings, à « l’auto-remplacement » des agents du fait de l’inexistence d’enveloppe de remplacement. Ils veulent pouvoir choisir les congés d’été et avoir une vie familiale normale… Mais, ce qui provoque cette première levée de bouclier, c’est le sentiment douloureux de ne plus faire le travail selon les règles de l’art, l’impression de ne plus pouvoir respecter la dignité de la personne âgée.

Mercredi 17 avril, l’EHPAD Labouilhe résistera encore et toujours. Peut-être sera-t-il suivi par d’autres maisons de retraites publiques ou privées, d’autres cliniques, d’autres CHU ? Peut-être les familles des résidents seront devant l’établissement pour crier leur souhait de voir leurs anciens bien traités, en simple humanité ?

Ch. A.

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12 avril 2013 5 12 /04 /avril /2013 22:05

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11 avril 2013 4 11 /04 /avril /2013 20:30

http://www.sudouest.fr/2013/04/11/maison-de-retraite-des-salaires-verses-1022317-1243.php

 

 

Le mouvement de grève à la maison de retraite Enity pourrait être suspendu vendredi

Une partie du personnel de la maison de retraite Enity de Barzan est en grève depuis mercredi

Une partie du personnel de la maison de retraite Enity de Barzan est en grève depuis mercredi (SO)








Les salaires ont été versés ce jeudi matin à une partie des employés de la maison de retraite Enity quiétaient en grève depuis mercredi. Du coup, une  majorité a repris le travail dans la journée. A 17 h 30 ce jeudi, seules trois salariées n'avaient toujours pas été payées. Elles devraient l'être demain matin. En attendant elle poursuivent la grève et ne cesseront que quand le versement aura été effectué.

Malgré les arrêts de travail, un service minimum a été assuré pour les 68 personnes âgées  pensionnaires d'Enity.

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11 avril 2013 4 11 /04 /avril /2013 07:18

http://www.sudouest.fr/2013/04/10/barzan-17-greve-a-la-maison-de-retraite-enity-1020978-1243.php

 

 

Une partie du personnel sera en grève jeudi pour protester contre des retards de versements de salaires

Une partie du personnel de la maison de retraite Enity de Barzan sera en grève à partir de jeudi

Une partie du personnel de la maison de retraite Enity de Barzan sera en grève à partir de jeudi (Archives Marie Annick)








Une partie du personnel de la maison de retraite Enityde Barzan sera en grève à partir de jeudi. Les employés entendent ainsi protester contre des retards dans le versement des salaires.

Le directeur  Gérard Morellec se refuse à tout commentaire mais assure que les salaires seront versés très prochainement.

La maison de retraite Enity, du groupe JTD, dont le siège est près de Lilles, accueille 68 pensionnaires et emploie une trentaine de personnes dont 12 aides soignantes et 11 agents de service.  

Barzan · Royan

 

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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 06:52
http://www.cgt.fr/Les-exigences-du-Medef-ne-doivent.html
DOSSIER MOBILISATION NATIONALE INTERPROFESSIONNELLE

Message de Thierry Lepaon



La CGT, avec d’autres organisations syndicales appelle l’ensemble des salariés du privé comme du secteur public, des retraités et des privés d’emploi, à une nouvelle journée de grèves et de manifestations le mardi 9 avril 2013 pour empêcher la transposition dans la loi du contenu de l’ANI du 11 janvier.

L’examen du projet de loi sur la flexibilisation du marché du travail, basé sur l’accord de régression sociale du 11 janvier 2013, a commencé à l’Assemblée nationale. Le gouvernement, qui voudrait que le texte soit applicable avant l’été, a décidé d’une procédure législative accélérée

Il y a urgence à continuer de se mobiliser !

Depuis des années, le Medef veut faire croire que « les licenciements d’aujourd’hui font les emplois de demain », qu’il faut flexibiliser le travail pour que « les employeurs n’aient pas peur d’embaucher ». Mais chaque jour, c’est 1 000 salariés de plus qui se retrouvent au chômage. Les plans de départs « volontaires » et le nombre de ruptures conventionnelles explosent. Dans les grands groupes, les licenciements boursiers jettent à la rue des milliers de salariés, directs et sous-traitants et continuent de ravager des pans entiers de notre économie. Et il faudrait encore flexibiliser ?! Il faudrait encore plus sécuriser les licenciements ?

L’accord Medef du 11 janvier prétend poser les bases d’un « nouveau modèle économique et social. Quelques exemples : 
- il détruit les garanties collectives nationales comme socle minimal applicable à chaque salarié quelle que soit la taille de son entreprise. Il favorise les accords d’entreprise, voire le « gré à gré », en « oubliant » que le salarié n’est pas libre de ses choix, seul face à son employeur ; 
- le contrat de travail signé n’est plus une garantie pour le salarié puisqu’il peut être suspendu (jusqu’à 2 ans !) par un accord d’entreprise ; 
- la mobilité imposée devient la règle, même si le contrat de travail ne la prévoyait pas, avec pour sanction le licenciement si le salarié la refuse ; 
- il réduit les moyens pour le salarié d’obtenir réparation auprès de la justice, par exemple en ne permettant pas de remonter au-delà de trois ans pour demander aux Prud’hommes des salaires ou des heures supplémentaires non payées. Cette mesure va particulièrement frapper les salariés des petites entreprises dépourvues de syndicats ; 
- la consultation sur la réalité du motif économique s’efface derrière la négociation sur le contenu du « plan de sauvegarde de l’emploi » et le processus de consultation du CE. À quoi pourra bien servir une éventuelle loi sur les licenciements boursiers si on ne peut plus débattre de la véracité du motif économique ?

Pour faire baisser le chômage, il faut sortir du toujours plus flexible, du toujours plus précaire !

La CGT revendique : 
- un droit de veto suspensif des représentants du personnel sur les plans de licenciement et les plans de restructuration, permettant la recherche et la construction de propositions alternatives aux licenciements ; 
- une loi contre les licenciements boursiers et pour la reprise des sites rentables, en cas de menace de fermeture ; 
- la généralisation de la présence des représentants des salariés dans les conseils d’administration et de surveillance avec voix délibérative ; 
- une gestion prévisionnelle des emplois qui ne soit pas une gestion prévisionnelle des suppressions d’emplois ; 
- l’encadrement des ruptures conventionnelles et la lutte contre le passage forcé à l’auto-entreprenariat ; 
- des instances représentatives interentreprises du personnel pour gagner une plus grande responsabilité des donneurs d’ordre vis-à-vis de leurs sous-traitants ; 
- des CHSCT centraux à l’instar des CCE, avec respect des droits et moyens pour les CHSCT locaux ; 
- l’extension du contrat de sécurisation professionnelle à tous les salariés des entreprises de moins de 50 salariés et l’amélioration du congé de reclassement dans les entreprises de plus de 50 ; 
- la construction d’un droit au travail à temps plein, sur un bassin d’emplois, pour les salariés pouvant cumuler plusieurs temps partiels ; 
- des droits attachés à la personne, transférables d’une entreprise à une autre pour tous les salariés (ancienneté, qualification, formation, prévoyance…) à négocier au niveau des branches ; 
- une taxation de tous les CDD et des contrats d’intérim, à hauteur de ce qu’ils coûtent à l’assurance chômage ; 
- un compte individuel de formation opposable à l’employeur et un renforcement des droits à la formation professionnelle qualifiante pour chaque salarié, quel que soit son parcours.

Les mobilisations du 5 mars, l’interpellation des parlementaires ont permis des premiers « bougés » entre l’Accord du 11 janvier et le projet de loi :

Le salarié qui refuserait une mobilité forcée ou la suspension des garanties de son contrat de travail (salaire, horaires,..) ne serait plus licencié pour « motif personnel » mais subirait un licenciement « reposant sur un motif économique ».C’est bien le moins pour tenter de respecter le droit international !

Les délais fixés préalablement au CE pour qu’il rende son avis doivent lui« permettre d’exercer utilement sa compétence » et donc ne pourront pas être inférieurs à… quinze jours.

La consultation du CE doit avoir lieu… « avant que les orientations stratégiques ne soient définitivement arrêtées » ( !).

Des représentants des salariés dans les conseils d’administration avec voix délibérative sont maintenant prévus dans les « sociétés  » qui emploient au moins 5 000 salariés « avec leurs filiales directes ou indirectes » sur le territoire national, et non plus dans les seules « entreprises » de 5 000 salariés et plus L’avis rendu par l’instance de coordination CHSCT se substitue aux consultations existantes des CHSCT… seulement « si l’accord d’entreprise le prévoit ».

Malgré les intenses pressions des patrons des assurances et de l’ensemble du Medef, la désignation d’un seul organisme de « complémentaire santé » pour toute une branche (donc permettant des droits égaux entre salariés de petites et grandes entreprises) reste possible.

Mais on est très, très loin du compte ! Ce projet de loi continue de sécuriser les licenciements et non pas l’emploi, de sécuriser la délinquance patronale et non pas les droits des salariés.

Les exigences du Medef ne doivent pas faire la loi. 
La CGT appelle l’ensemble des salariés du privé comme du public, des retraités et des privés d’emploi à une journée de grèves et de manifestations le mardi 9 avril 2013 pour empêcher la transposition dans la loi du contenu de l’accord interprofessionnel du 11 janvier et ainsi ouvrir d’autres alternatives.

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6 avril 2013 6 06 /04 /avril /2013 14:55

  Les salarié-e-s des maisons de retraite en ont marre:
- d'avoir des conditions de travail inacceptables
- d'être les vaches à lait des actionnaires des groupes financiers qui gèrent ces maisons de retraite 
- de ne pas voir prendre en charge correctement les personne âgées accueillis;
Ils se rassembleront donc le mercredi 10 avril à 8h30 devant le tribunal des prud'hommes 5 rue Provana de Leyni à Nice et vous invitent à venir soutenir leur revendications légitimes.
Ce mercredi 2 dossiers passent au prud'homme sur les 22 déposés pour juste pouvoir obtenir leur dû, des heures effectuées non payées.

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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 17:24

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/04/05/01016-20130405ARTFIG00373--vitry-les-conditions-de-travail-conduisent-les-employes-de-la-maison-de-retraite-a-la-greve.php

 

Repas servis froids et en retard, chambres pas faites... Mercredi 3 avril, le personnel de la maison de retraite des Lilas s'est mis en grève pour protester contre les conditions de travail, qui ont fait de ces situations leur quotidien. Ils ont d'ailleurs été très vite rejoints par certaines familles de résidents, qui n'en peuvent plus de voir que le service est mal voire pas assuré.

Depuis quelques temps déjà, un vent de contestation souffle sur l'Ehpad des Lilas. De multiples grèves l'ont ainsi secoué à partir du mois de septembre dernier. À l'origine de ce mouvement de grogne, les réductions d'effectifs, qui ont entraîné une surcharge de travail pour le personnel restant, mais aussi l'intégration du personnel dans le régime de la fonction publique hospitalière: «Cela fait déjà deux ou trois ans que l'on recense des difficultés liées à un manque de personnel», explique Pascal Pienzanowski, secrétaire départemental Sud Santé. «Il y a même des pics où les résidents se retrouvent sans personne. Du coup, les repas sont décalés et il arrive que les résidents ne mangent qu'à 13h30, ou alors les chambres ne sont pas faites».

Mais, pour lui, toute cette agitation trouve son origine dans le changement de statut de la clinique: «Il y a 5 ans, on a décidé de transformer l'établissement, qui était privé, en établissement appartenant à la fonction publique hospitalière. Les membres du personnel devaient alors changer de statut avant 2010 mais, aujourd'hui encore, certains sont sous le statut privé», résume Pascal Pienzanowski.

 

Revendications entendues

Dans cet établissement, où les 72 lits ne sont pas tous occupés, les proches des résidents, alliés dans le mouvement de grève, sont obligés d'aller eux-mêmes nourrir et coucher leurs aïeux. Une situation provoquée par la diminution des effectifs: «Il y a eu une réorganisation des effectifs qui a entraîné que l'on est passé de 9 à 6 aide-soignants le matin et de 8 à 5 l'après-midi. S'occuper des résidents correctement dans de telles conditions, c'est impossible!», explose Thierry Lescant, secrétaire départemental de Sud Santé, présent auprès du personnel durant le mouvement de grève.

Face aux contestations, la direction, qui refusait toute négociation, a dû revenir sur sa décision jeudi 4 avril: «La grève a déclenché un Comité d'Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT) extraordinaire. Le directeur, Richard Tourisseau, est venu ouvrir la discussion avec le personnel. Il a été convenu de mettre en place deux réunions dans le courant du mois, pour discuter des observations formulées par le personnel», raconte Thierry Lescant. Une discussion qui s'est révélée une ouverture aux solutions: «On s'est mis d'accord quant à une procédure pour l'intégration du personnel dans la fonction publique hospitalière. C'est une première avancée, même s'il reste du chemin à faire. Pour ce qui est du manque d'effectif, le sujet va être abordé pendant les deux réunions. Ce que nous voulons, c'est une réorganisation qui assurera le respect des résidents et du personnel. Un retour à la situation d'avant serait une bonne chose mais la direction refuse, sous prétexte que le budget n'est pas suffisant. Pourtant, le budget est exactement le même que l'année dernière, quand il y avait plus de personnel».

Cette avancée dans le dialogue entre direction et salariés a conduit les membres du personnel à suspendre leur mouvement de grève: «Les membres du personnel ont décidé de suspendre la grève pour montrer qu'ils ont entendu les propositions pour le changement et qu'ils approuvent qu'il y ait un dialogue engagé. Mais ils sont prêts à reprendre à tout moment si les accords convenus n'étaient pas respectés», prévient Thierry Lescant.

En début d'année déjà, les salariés avaient déposé un préavis de grève pour le 4 février. Mais ils avaient finalement renoncé, après l'obtention de plusieurs mesures salariales négociées avec le patronnat.

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