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20 juin 2017 2 20 /06 /juin /2017 15:00

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4 janvier 2017 3 04 /01 /janvier /2017 16:24
Les grévistes de la Polyclinique de l'Ormeau à Tarbes en appellent à l'arbitrage de Matignon.

Les grévistes de la Polyclinique de l'Ormeau à Tarbes en appellent à l'arbitrage de Matignon


Publié le 02/01/17 - 17h20 - HOSPIMEDIA

Publié le 02/01/17 - 17h20 - HOSPIMEDIA - HOSPIMEDIA

Publié le 02/01/17 - 17h20

Alors que la grève à la Polyclinique de l'Ormeau entre dans son 56e jour, les salariés mobilisés en appellent à une réunion interministérielle pour trouver une issue favorable. La direction de l'établissement, refusant des recommandations financières d'un médiateur, estime proposer des solutions "très significatives" de sortie de crise.

Au 56e jour de grève à la Polyclinique de l'Ormeau, établissement du groupe Médipôle Partenaires situé à Tarbes (Hautes-Pyrénées), les salariés engagés dans le mouvement et la CGT réclament désormais une réunion interministérielle réunissant représentants des ministères de la Santé et du Travail, du groupe de cliniques et des salariés, sous l'égide de Matignon*. Ceci afin de trouver une issue favorable à leurs revendications en matière de salaires et de conditions de travail.

Appel à faire "entendre raison" aux groupes "financiers"

Après avoir multiplié depuis le 8 novembre (lire notre article) les manifestations, lettres ouvertes, pétitions, interpellations aux élus, appels de soutien à la population et même occupation des locaux de l'ARS Occitanie à Montpellier (Hérault), les salariés grévistes espèrent en effet que les ministères "cessent de rester inactifs face à l'attitude prédatrice [des] groupes financiers" gestionnaires de cliniques. Ils expliquent ainsi dans une lettre ouverte adressée le 28 décembre à Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, qu'il est "maintenant de la responsabilité des pouvoirs publics de faire entendre raison à Médipôle Partenaires (...) [qui] impose sa stratégie de développement financier, sa fusion avec [le groupe de cliniques] Elsan et sa recomposition de la carte sanitaire" et a "préféré perdre 3 millions d'euros que de répondre à ce conflit".

Dans un courrier adressé le 10 décembre au Gouvernement, les responsables départementaux de la CGT exposent leurs revendications. Des ambitions d'ailleurs revues quelque peu à la baisse par rapport aux demandes initiales, au fil des discussions des salariés en grève, mais jugées "plus que justifiées et tout à fait supportables pour une clinique en bonne santé financière". Ils demandent ainsi une augmentation de la valeur du point de 7,25 à 7,38 €, la mise en place d'un treizième mois en lieu et place de la rémunération annuelle garantie (Rag) et une prime de fin d'année "pérenne" de 900 € brut. Et ces dispositions "doivent s'appliquer pour les coefficients les plus bas, sur le salaire réajusté à hauteur" du salaire minimum interprofessionnel de croissance (Smic).

Concernant les conditions de travail sont listées une dizaine de revendications parmi lesquelles la conservation de certains postes, l'abandon d'un projet relatif aux services d'hospitalisation de semaine et de chirurgie conventionnelle, ou encore la prise en compte des temps de pause en travail effectif. Une organisation de travail intégrant les équipes d'agents de service hospitalier (ASH) aux équipes de soins "en respectant les effectifs déjà mis en place" et un engagement de la direction à remplacer les personnels absents, à mettre en place des plannings fixes et respecter des délais minimum pour avertir de changements d'horaires, sont également demandés. Mais devant l'enlisement du conflit, un médiateur nommé par la direction régionales des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi (Dirrecte) a entamé les concertations le 19 décembre. Des discussions qui ont très rapidement achoppé...

Rejet des propositions du médiateur par la direction

Parmi ses propositions, qu'Hospimedia a pu consulter, le médiateur recommande notamment d'attribuer à compter de ce 1er janvier "une prime d'intégration pérenne et annuelle de 700 € par salarié (...)" et d'attribuer pour 2016 une prime de fin d'année en portant le taux de la Rag à 8,33%. Il souligne que ces propositions tiennent comptent de la "bonne situation financière de l'établissement", analysée par un cabinet d'audit, et ne sont pas de nature à "remettre en cause sa performance économique". Mais quelques jours plus tard, le médiateur a informé les grévistes que la direction de la Polyclinique lui a fait part via une lettre datée du 26 décembre de sa décision de "refuser sa recommandation". "Si la direction accepte l'ensemble des propositions relatives à l'organisation des soins (...), elle n'accepte sur le volet financier que ma première proposition relative à la Rag, écrit-il. En revanche, elle rejette ma deuxième proposition d'octroyer à l'ensemble des salariés une prime pérenne et annuelle de 700 ". Les motifs de ce rejet tiennent, explique la direction, aux baisses tarifaires observées depuis 2010 qui ont engendré une perte du chiffre d'affaire de 722 000 € environ en 2015 et de 700 000 € en 2016. Ils tiennent aussi aux "incertitudes économiques liées aux baisses de tarif, aux difficultés rencontrées dans le recrutement médical et la nécessité de poursuivre de lourds investissements".

Un effort financier "significatif" face à une grève "dévastatrice"

Parallèlement, la direction a fait connaître aux salariés, ce même 26 décembre, ses "propositions définitives de sortie de crise". Elle affirme avoir "multiplié les réunions de négociation pour essayer de sortir de cette impasse" et regrette en préambule que la CGT ait entraîné "environ 40% du personnel dans une grève dévastatrice qui dure (...) depuis bien trop longtemps". Elle confirme accepter les demandes liées aux conditions de travail, dont la création de nouveaux postes pour des aides-soignants aux urgences, la mise en place de plannings fixes, le maintien des pools de remplacement ou encore le temps de travail de nuit porté à 33,6 heures pour tous les services, etc. Concernant les rémunérations, elle annonce maintenir "sa proposition très significative d’accorder l'équivalent d'un treizème mois à l'ensemble des salariés (Rag portée à 8,33%)". Elle propose de plus d'attribuer "de façon pérenne" une prime de 200 € brut. Enfin, "à titre exceptionnel", elle propose de verser à l'ensemble des salariés présents dans l'effectif ce 1er janvier une prime de 300 € brut. Des propositions néanmoins jugées insuffisantes par les grévistes, déterminés à ce jour à poursuivre leurs actions et à leur donner un écho national, dans l'attente d'éventuelles réponses ministérielles.

Caroline Cordier

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1 décembre 2016 4 01 /12 /décembre /2016 13:38

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30 novembre 2016 3 30 /11 /novembre /2016 10:18

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6 août 2016 6 06 /08 /août /2016 13:35

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16 octobre 2014 4 16 /10 /octobre /2014 09:06

http://entourages.net/blog/2014/09/29/daniel-costantini-coache-les-cadres-de-medi-partenaires/

La dernière convention cadres de Médi Partenaires a été un succès. Le groupe spécialisé dans l’acquisition et la gestion de cliniques s’est tourné vers l’agence Entourages et Daniel COSTANTINI afin de marquer les esprits. L’ancien entraîneur de handball a pris part à la convention du groupe en tant qu’intervenant vip autour du thème de « la gestion des ressources humaines à des fins de performance », devant un auditoire de 200 participants conquis par sa performance.

Médi Partenaires témoigne : « La prestation de Daniel COSTANTINI a parfaitement répondu aux attentes de nos congressistes et aux notres. Son intervention a été très appréciée, beaucoup de vitalité et de conviction, des messages de fond très percutants et en résonance avec le public qu’il a conquis sans réserve. Encore un grand merci à lui et à vous. »

Le Groupe Médi Partenaires est spécialisé dans l’acquisition et la gestion de cliniques et possède à ce jour 35 établissements et soigne chaque année plus de 700 000 patients en hospitalisation et procède à plus de 14 000 naissances par an. Médi Partenaires développe un chiffre d’affaire de 550 millions d’euros.

Entraîneur de l’équipe de France de Handball (de 1986 à 2001), Daniel COSTANTINI détient un palmarès exceptionnel : Champion du Monde en 1995 et en 2001, Médaillé de Bronze aux JO 1992. Véritable meneur d’hommes, il est devenu un intervenant très réputé pour les événements d’entreprise autour de thèmes tels que la Gestion des Ressources Humaines à des fins de Performance, abordant le management des équipes gagnantes, la place de l’individu au sein du groupe, les conditions du succès et du dépassement de soi et la motivation.

Vous souhaitez faire appel à Daniel COSTANTINI dans le cadre d’un événement ? Contactez nous : www.entourages.net

Daniel COSTANTINI coache les cadres de Médi Partenaires.

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30 juillet 2014 3 30 /07 /juillet /2014 07:07

http://www.lanouvellerepublique.fr/Toute-zone/Actualite/Economie-social/n/Contenus/Articles/2014/07/12/800.000-pour-l-actionnaire-1982373

~~Pendant qu'une prime annuelle de 300 € était supprimée pour les salariés, la clinique Inkermann faisait remonter 800.000 € à son actionnaire principal, le groupe Médi-Partenaires, qui a racheté l'établissement en 2008. Médi-Partenaires est propriétaire de 35 établissements de santé en France. En établissant ce parallèle, la CGT entend souligner une injustice. Une vision que corrige la direction de la clinique. Certes, 800.000 € sont remontés d'Inkermann vers la maison-mère, mais ils ne sont pas tombés dans la poche des actionnaires pour les rémunérer. L'argent versé, c'est en fait la trésorerie d'Inkermann dont la gestion est assurée à l'échelle du groupe, et il sert par ailleurs à financer des investissements.

Medi-Partenaires: 800.000 € pour l'actionnaire!

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11 juillet 2014 5 11 /07 /juillet /2014 08:36

Le syndicat CGT et les salariés de la clinique INKERMANN à Niort, Groupe Médipartenaires sont en grève illimitée à compter de ce jour, après que la direction de l'établissement n'ai pas donné de réponse favorable aux revendications des salariés.

800 000 € pour les actionnaires

0 € pour les travailleurs

INADMISSIBLE

Médi-Partrenaires: grève à la clinique Inkermann à Niort.
Médi-Partrenaires: grève à la clinique Inkermann à Niort.

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11 juillet 2014 5 11 /07 /juillet /2014 08:31

Le syndicat CGT et les salariés de la clinique INKERMANN à Niort, Groupe Médipartenaires sont en grève illimitée à compter de ce jour, après que la direction de l'établissement n'ai pas donné de réponse favorable aux revendications des salariés.

800 000 € pour les actionnaires

0 € pour les travailleurs

INADMISSIBLE

 Les salariés de la clinique Inkermann réunis en Assemblée Générale
le 7 juillet 2014 ont considéré que les conditions de travail sont devenues
inacceptables - Médipartenaires

Pour info, préavis de grève déposé ce matin par le syndicat CGT de la
Clinique INKERMANN à Niort (79), groupe Médipartenaires.
Médi-Partrenaires: grève à la clinique Inkermann à Niort.
Médi-Partrenaires: grève à la clinique Inkermann à Niort.
Médi-Partrenaires: grève à la clinique Inkermann à Niort.
Médi-Partrenaires: grève à la clinique Inkermann à Niort.

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 21:54

http://www.sudouest.fr/2013/10/05/la-clinique-richelieu-change-de-mains-1189834-1531.php

Le groupe Medi-Partenaires a vendu la clinique au docteur Hourtoulle, propriétaire de la clinique Saint-Joseph à Angoulême.

La clinique Richelieu, située rue Montlouis à Saintes, change de propriétaire. Depuis jeudi, elle appartient à la Financière Saint-Joseph, holding du docteur Pascal Hourtoulle et de sa famille, déjà propriétaire de la clinique Saint-Joseph à Angoulême. L’opération porte sur l’intégralité des titres de la clinique.

L’épouse du docteur Hourtoulle, Laure Saget-Hourtoulle, en devient la présidente. Son mari prend le titre de directeur général.


« Nous allons organiser une rencontre entre les équipes des deux cliniques. Il faut nous laisser encore quelques semaines pour préciser le projet médical que nous allons mettre en place », renseigne Laure Saget-Hourtoulle.

Travail en réseau

Les deux établissements devraient naturellement travailler en réseau sous forme de pôles d’excellence. Dans un communiqué diffusé hier par le nouveau propriétaire de la clinique Richelieu, il est indiqué que « la chirurgie orthopédique, la chirurgie digestive et cancérologie ainsi que la chirurgie ophtalmique sont présentes dans les deux entités, avec un pôle plus développé en chirurgie dentaire à Saintes et une activité de chirurgie vasculaire et thoracique plus significative à la clinique Saint-Joseph. » Laure Saget-Hourtoulle souligne que la « politique de santé de la holding est avant tout fondée sur la qualité des soins, le confort du patient et la pertinence des équipements pour accompagner au mieux les praticiens dans l’exercice de leur spécialité ».

Ça tombe bien puisque la clinique Richelieu dispose de bâtiments récents, d’un bloc opératoire neuf doté d’un plateau technique performant et d’une unité radiologique équipée d’un scanner.

L’établissement saintais, qui dispose de 70 lits de chirurgie et de 12 places en ambulatoire, tourne donc une page de vingt années.

Medi-Partenaires: Saintes, la clinique Richelieu change de mains.

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