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3 août 2016 3 03 /08 /août /2016 13:40

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22 avril 2016 5 22 /04 /avril /2016 06:31

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8 avril 2016 5 08 /04 /avril /2016 07:47

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20 mars 2016 7 20 /03 /mars /2016 15:06

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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 07:44

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3 février 2015 2 03 /02 /février /2015 07:45

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20 décembre 2014 6 20 /12 /décembre /2014 15:03

La fédération de cliniques, dont Notre-Dame-d'Espérance, a permis de mutualiser les savoir-faire et rationaliser les dépenses.

http://www.lepoint.fr/villes/medipole-en-pleine-sante-05-12-2014-1887215_27.php

 

 

Par HERVÉ DENYONS

Voici le genre de success story que l'on ne croit possible qu'outre-Atlantique. Un groupe, Médipôle Sud Santé, créé en 2006 en Roussillon, est désormais devenu le numéro deuxde l'hospitalisation privée en France. A sa tête, Marcel Hermann, 58 ans, expert-comptable depuis 1980, ayant longtemps officié à Montpellier avant de venir s'installer en Roussillon. C'est lui qui eut l'idée, il y a quelques années, de fédérer plusieurs établissements de santé, dont la polyclinique Saint-Roch de Cabestany, la clinique Saint-Pierre ou Notre-Dame- d'Espérance de Perpignan, mais aussi celles de Céret ou de Prades. Objectif : rationaliser les investissements et les dépenses et bâtir un ensemble de 20 établissements, dont 11 cliniques, qui mettent en commun leur savoir-faire. Installé désormais à Perpignan, dans l'espace Méditerranée, à deux pas du nouveau théâtre, le groupe Médipôle ne cesse de grandir, surfant sur la demande de plus en plus importante de soins. Soutenu par le fonds d'investissement Bridgepoint, il s'est allié au début de l'année avec Médi-Partenaires. Conséquence : il est maintenant le second groupe d'hospitalisation privée national, avec des chiffres à faire tourner la tête : 1 million de patients soignés par an, 8 500 salariés et 6 300 lits en France, pour un chiffre d'affaires d'environ 830 millions d'euros. Marcel Hermann envisage un "avenir radieux". Désormais fort de 60 établissements, il sait qu'il pourra investir dans les meilleures technologies actuelles, souvent synonymes de plusieurs millions d'euros à débourser, et que le regroupement des établissements de santé privés est inéluctable en même temps qu'ils séduisent de plus en plus de patients.

Médipôle en pleine santé.

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13 juin 2014 5 13 /06 /juin /2014 20:41

http://www.businessimmo.com/contents/44912/icade-sante-acquiert-les-murs-de-3-cliniques-du-groupe-medipole-sud-sante

 

 

 

11.06.2014
 
Clinique-saint-pierre
La clinique Saint-Pierre à Perpignan. © clinique-st-pierre.fr

Icade77.23 | +1.29% (c) Santé a signé le 5 juin l’acquisition d’un portefeuille de 3 établissements de santé dans les Pyrénées-Orientales pour un montant de 71 M€ droits inclus. Ce portefeuille comprend la clinique Saint-Pierre (établissement de Perpignan, spécialisé en médecine, chirurgie et obstétrique), la clinique Saint-Michel à Prades intervenant en médecine et en chirurgie, une clinique de soins de suite Le Floride à Port-Barcarès.

Ces établissements font l’objet de baux fermes de 12 ans signés avec l’exploitant Medipôle Sud Santé, acteur majeur de soins privés de la région Sud avec 16 établissements exploités. Ce dernier est en cours de finalisation de son rapprochement avec le groupe Médi-Partenaires, acteur national de l’hospitalisation privée et dont les murs sont déjà détenus par Icade Santé. Le nouveau groupe consolidé formera le deuxième opérateur de l’hospitalisation privée en France.

Cette opération s’inscrit dans la logique de partenariats mis en place entre Icade Santé et ses locataires-exploitants, les opérateurs privés de cliniques. Icade Santé poursuit ainsi son développement en renforçant son implantation dans une région dynamique et poursuit la diversification de sa base locative.

Après cette acquisition, Icade Santé détient 62 établissements auprès de 10 exploitants. Son portefeuille s’élève à près de 2 Mds€ et d’autres acquisitions, actuellement sous promesse, seront réalisées d’ici la fin de l’année.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 07:13

http://www.lindependant.fr/2014/03/05/les-etudiants-infirmiers-pris-en-otage-par-le-bras-de-fer-national,1855463.php

Dans la lutte menée par la fédération hospitalière privée et le ministère, les étudiants sont dans la balance, privés de stages dans les cliniques. Explications.

Pas de stage, pas de diplôme. A l'Institut de Soins Infirmiers, les études se déroulent sous une forme d'alternance, où les stages revêtent un intérêt primordial. A Narbonne, la Polyclinique Le Languedoc, suivant en ce sens la démarche du Groupe Médipôle Sud Santé, a mis fin aux stages, suivant la décision de la toute puissante FHP, la Fédération de l'hospitalisation privée. Une situation qui a perturbé les étudiants. Les syndicats, CGT en tête, ont dénoncé"le chantage de la FHP, dans ses négociations avec le ministère de la santé et des affaires sociales". La CGT juge l'attitude de la FHP "scandaleuse".

Portes closes

Médipôle tient à préciser que L'implication (ou non) des cliniques dans le mouvement de la FHP ne suit pas une quelconque directive groupe.

La direction de la Polyclinique a suivi en informant l'Institut de Formations en Soin Infirmiers (IFSI), via une lettre, de l'arrêt de la prise en charge de stagiaires infirmiers à partir de 1er mars 2014. "Cependant la direction a aussi informé que les stagiaires sur site ayant commencé avant ce 1er mars 2014, auront la possibilité de rester à la Polyclinique pour terminer leur stage. Ce que l'IFSI a refusé avec l'appui de l'hôpital de Perpignan qui prendra en charge tous les stagiaires" indique Vincent Foucher, chargé de communication du groupe Médipôle.

  • Valorisation tarifaire

Pour sa part, la FHP explique qu'elle n'a pas le choix. "De quels moyens d'action disposons-nous ? La grève ? Nous traitons 8 millions de patients par an et nous risquons des problèmes sanitaires majeurs. Descendre dans la rue ? interroge l'Héraultais Lamine Gharbi, président national de la FHP pour la partie des cliniques (section médecine chirurgie et obstétrique). Nous sommes exaspérés, car nous attendons, en vain, depuis des années, une revalorisation tarifaire. Nous devons réagir avec force face au déséquilibre existant entre le public et le privé. Il faut savoir qu'une prothèse de hanche nous est remboursée 5 000 euros par l'assurance-maladie contre 6 000 à l'hôpital ! L'iniquité est inacceptable. Nous sommes asphyxiés , nous payons 600 millions de taxes que l'hôpital ne paie pas, 30 départements de France n'ont plus de maternités privées. Dans certaines régions, l'ARS mène des actions très fortes contre le privé"

Le président de la FHP/MCO, actuellement en négociation à Paris, assure avoir conscience de faire peser un poids terrible sur les étudiants : "Je les entends, j'ai de l'empathie pour eux et de l'écoute. Ils sont nos futurs professionnels, il faut qu'ils sachent que si nous disparaissons, ils n'auront plus d'emploi". C'est au nom de la survie des cliniques que la FHP poursuit le bras de fer avec le gouvernement : "La situation n'est pas figée, nous n'avons pas fermé la porte aux étudiants pour autant, ils reviendront dès que la situation aura évolué, ce n'est pas une fin de non-recevoir pour nos étudiants !"

Les étudiants, qui suivent avec une attention particulière les négociations nationales, se seraient bien passés de ce bouleversement.

Un passage obligé... Il y a urgence

"Au moment du préavis donné par les cliniques privées, il y a trois semaines, s'est posé le problème des stages, explique Olivier Roquet le directeur de l'hôpital. Nous avons organisé avec la direction de la Polyclinique une cellule de crise pour éviter les problèmes. A ce moment-là, nous avons aménagé des stages de remplacement dans des cliniques de soins de suite et des Ehpad. Car ces stages sont essentiels à la validation du diplôme. Nous en avons intégré chez nous et dans les services des centres de Lézignan et Port-la-Nouvelle, et pour les 3e année nous avons veillé à respecter le cursus suivant le contenu des études".

Témoignage

Au bout de deux semaines, Sandrine, étudiante en 1re année a quitté la maternité de la Polyclinique pour l'Ehpad de Francis Vals à Port-La Nouvelle. Cette étudiante illustre la façon dont l'hôpital a réagi. "Je suis heureuse d'avoir pu faire un stage, car sinon, j'aurais dû le rattraper sur mes congés d'été, mais en même temps, nous nous retrouvons entre 8 et 9 stagiaires dans le même service, et nous sommes en surcharge, donc l'efficacité n'est pas la même. Ensuite, j'espère que lorsque j'aurai dans mon cursus universitaire un stage en Ehpad je pourrais intervertir avec un stage en chirurgie et médecine. Sinon, cette partie me manquera, et ce ne sera plus adapté à mes études".

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27 juillet 2013 6 27 /07 /juillet /2013 07:10

http://www.medipolesudsante.fr/index.php?page=alias-45&hl=fr_FR

 

Les Cliniques de Soins de Suite et de réadaptation (SSR) Clinique du Sud et Saint-Orens rejoignent Médipôle Sud Santé.

Clinique Saint-Orens

  • Située à Saint-Orens-de-Gameville, à proximité de Toulouse
  • Clinique SSR spécialisée en rééducation cardio-vasculaire et pulmonaire, unité d’état végétatif chronique
  • 136 lits et 15 places
  • 2.000 patients pris en charge
  • 49.000 journées d’hospitalisation
  • Plus de 100 salariés dont 11 médecins

Clinique du Sud

  • Située à Carcassonne
  • Clinique SSR spécialisée en rééducation polyvalente,neurologique et cardiaque
  • 73 lits
  • 850 patients pris en charge
  • 25.700 journées d’hospitalisation
  • Plus de 60 salariés dont 5 médecins

Patients et territoires au cœur de notre projet
Les Cliniques SSR Saint-Orens dans la banlieue de Toulouse (31), et Clinique du Sud à Carcassonne (11) viennent de rejoindre le Groupe Médipôle Sud Santé.

Leur intégration vient conforter le projet de développement et de coopération du Groupe en Languedoc-Roussillon et Midi Pyrénées. Elle renforce cette approche territoriale pour un développement inter-régional misant sur la complémentarité des territoires et leur proximité.

Ce regroupement s’inscrit en effet dans une logique de complémentarité avec nos Cliniques Médecine-Chirurgie-Obstétrique de ces territoires.

La Synergie d’un groupe pour une qualité et une offre de soins optimale.
Ce développement contribue ainsi à un maillage de territoire harmonieux pour une coordination inter-établissements. Il permet d’optimiser davantage nos plateaux techniques et le service rendu à nos patients. Notre volonté est de répondre au mieux aux besoins de la population locale en facilitant l’organisation de la filière de soins et en améliorant les prises en charge.
Se regrouper dans un projet fédérateur d’établissements, proches géographiquement, c’est aussi:
-mieux se protéger dans une période et une conjoncture économique difficile.
-conforter les emplois et les projets médicaux de toutes spécialités.

 








Clinique Saint-Orens


Clinique du Sud

Aujourd’hui, notre pôle de santé est reconnu comme un acteur majeur par nos tutelles avec l’exigence de répondre aux enjeux actuels du monde de la santé. Nous nous engageons, en effet, à remplir notre rôle de service de santé au public en proposant une offre étendue et en assurant la permanence des soins avec l’ensemble du corps médical, paramédical, administratif et tous nos collaborateurs qui contribuent au quotidien à la qualité de la prise en charge et la sécurité des soins délivrés aux patients.

 

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