8 juillet 2017
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Agnès à Neuilly sur Seine(Orpéa), Betty à Clamart(Ordre de Malte), Emilie au Mans(Korian), la discrimination syndicale n'a pas de trêves. Nos 3 camarades convoquées à un entretien préalable à un licenciement.
Quand ces groupes de santé utilisent la sanction pour faire taire les luttes.
Leurs fautes?
Elles ont dénoncé vos conditions de travail inavouables, déplorables au sein des diverses instances, elles ont dérangé, gêné en usant de leur liberté d'expression !
Chaque jour, elles continuent de se battre pour une meilleure vie au travail, pour vous défendre, pour défendre leur métier, vos métiers!
Quand on s'attaque à un représentant des salarié-es, c'est tout ce qu'il représente qui est attaqué !
ENSEMBLE CONTRE L'INJUSTICE