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17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 14:56

http://www.zonebourse.com/GENERALE-DE-SANTE-4694/actualite/GENERALE-DE-SANTE--Pose-de-la-premiere-pierre-du-Pole-de-Sante-La-Francilienne-19521399/

 

 

 

 

POSE DE LA PREMIERE PIERRE DU POLE DE SANTE LA FRANCILIENNE mercredi 10 décembre 2014, à 11 heures 30

(16-22 avenue de la République et de la rue de Croissy - 77340 Pontault-Combault)

Première étape de la construction du Pôle de Santé la Francilienne qui ouvrira ses portes en mars 2016, la pose de la première pierre de la future maison de consultations aura lieu le mercredi 10 décembre 2014.

Elle se déroulera en présence de Madame Monique Delessard, Maire de Pontault-Combault et 1ère Vice- Présidente du Conseil Général de Seine-et-Marne, de Monsieur Filippo Monteleone, Directeur Général délégué du groupe Générale de Santé, de Monsieur Antonio De Sousa, Président Directeur Général de la société France Pierre, de Monsieur Giuseppe Zolzettich, Directeur Immobilier du groupe Générale de Santé, de Monsieur Patrick Serrière, Directeur du Pôle Ile-de-France Est du groupe Générale de Santé, et du Docteur Nicolas Crocheton, Médecin Urgentiste, représentant de l'Association Maison Médicale.
Résultat d'une coopération étroite entre la municipalité de Pontault-Combault, l'Agence Régionale de Santé, le groupe Générale de Santé et la communauté médicale de la Clinique la Francilienne, cette réalisation s'inscrit dans une ambition commune du maintien et du développement d'une offre de soins de proximité, pour le bénéfice d'un bassin de population de plus de 100 000 personnes.
A l'initiative de la mairie de Pontault-Combault et du groupe Générale de Santé, le futur Pôle de Santé pourra accueillir les consultations de toute la communauté de médecins de la Clinique de la Francilienne dont les activités ont été transférées en avril 2013 sur des établissements proches du Groupe Générale de Santé, au sein de son pôle Ile de France Est. Le nouvel établissement sera érigé sur le site du Pôle Emploi de la ville, à proximité de la gare. Partie intégrante du nouveau projet urbain de la ville de Pontault-Combault, il contribuera à en accroître l'attractivité

Il s'agit de l'un des premiers établissements de ce type en Ile-de-France, structurant tout un territoire de santé, pour répondre à un besoin nouveau de la population d'une offre de soins spécialisée de proximité et de qualité, en collaboration avec les praticiens du territoire de santé. Les grandes étapes du calendrier

• Décembre 2014 : Pose de la 1ère pierre

• Mars 2016 : Livraison prévue du bâtiment

1

• Une offre de soins de proximité cohérente

D'une superficie de 1 600 m2, le Pôle de Santé La Francilienne proposera sur 2 niveaux une offre comprenant :

- Des consultations de spécialistes par 34 praticiens de la Clinique La Francilienne

 Consultation orthopédique du membre supérieur

 Consultation orthopédique du membre inférieur

 Consultation en urologie

 Consultation en gynécologie

 Consultation en ORL

 Consultation en chirurgie esthétique

 Consultation en oncologie

 Consultation en chirurgie vasculaire

 Consultation en chirurgie viscérale

 Consultation en gastroentérologie

 Consultation en cardiologie

 Consultation d'anesthésie

- Un service d'accueil non programmé de patients 7 jours sur 7, de 8h à 22h30. Ce service sera placé sous la responsabilité des médecins urgentistes actuels de la Clinique La Francilienne

- Un plateau technique d'imagerie avec une radiologie conventionnelle et un scanner

- Un service de rééducation constitué de 4 kinésithérapeutes.

2

• Une démarche forte du groupe Générale de Santé

Le Groupe Générale de Santé s'engage ainsi sur ce projet de Pôle de Santé aux côtés de la communauté médicale de la clinique La Francilienne, à offrir à la population du bassin de vie de Pontault-Combault la même qualité d'accueil et de consultations que sur sa clinique, permettant une prise en charge de proximité, et un accès en amont de l'offre de soins proposée dans ses différents établissements de l'Est Parisien, qu'elle soit chirurgicale, d'obstétrique, ou en soins de suite et de réadaptation.
Il s'agit, par ailleurs, d'un projet médical plébiscité par les autorités de Tutelles.

• Générale de Santé : une présence significative dans l'Est parisien

Avec l'acquisition début octobre 2010 de l'Hôpital privé de Marne-la-Vallée, puis les ouvertures en janvier 2012 de la Clinique de Champigny et en février 2012 de celle de Montevrain (2 cliniques de Soins de Suite et Réadaptation - SSR), le groupe Générale de Santé compte désormais 6 établissements dans l'Est parisien, sur les départements de Seine-et-Marne (77) et du Val de Marne (94). Cette présence forte a permis au Groupe d'y envisager un véritable projet de modernisation de son offre de soins, pour le bénéfice d'un bassin de vie comptant environ 1 million d'habitants et représentant la plus forte croissance démographique de l'Ile-de-France.

Ces six hôpitaux privés et cliniques prennent en charge 80 000 séjours annuels (hors séances), grâce à leurs 500 praticiens libéraux et leurs 1 100 salariés.

LES CHIFFRES CLES DU POLE DE L'EST PARISIEN DE GENERALE DE SANTE

• Urgences : 55 000 passages

• Séjours de Médecine : 33 000

• Séjours de Chirurgie : 37 000

• Séjours Maternité et Obstétrique : 10 000 (dont 6 000 naissances)

A propos de Générale de Santé

Premier Groupe privé de soins et services à la santé, Générale de Santé compte 19 000 salariés dont 7 000 infirmier(e)s et 4 000 aides soignant(e)s dans 75 établissements et centres.

Avec près de 4 500 praticiens, elle représente la première communauté libérale de France. Acteur majeur de l'hospitalisation, Générale de Santé couvre l'ensemble de la chaîne de soins : médecine-chirurgie-obstétrique, cancérologie, soins de suite et de réadaptation et hospitalisation à domicile. Générale de Santé développe une offre de soins originale associant qualité et sécurité de la prise en charge, efficience de l'organisation et qualité humaine. Le Groupe propose une prise en charge globale avec un accompagnement personnalisé, avant, pendant et après l'hospitalisation, qui prenne en compte toutes les dimensions du patient, il participe aux missions de service public de santé et au maillage sanitaire du territoire.

En savoir plus : www.generale-de-sante.fr

Contacts

Marie Roux de Luze Julie Sapateiro

Service de Presse du groupe Générale de Santé Mairie de Pontault-Combault

Tél. : 01.53.23.14.14/16 - 06.08.50.91.49 Tél. : 01.70.05.47.92 - 06.34.69.04.32 m.rouxdeluze@gsante.fr jsapateiro@pontault-combault.fr

GENERALE DE SANTE : Pose de la première pierre du Pôle de Santé La Francilienne.

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14 décembre 2014 7 14 /12 /décembre /2014 14:36

http://www.zonebourse.com/GENERALE-DE-SANTE-4694/actualite/GENERALE-DE-SANTE--Pose-de-la-premiere-pierre-du-Pole-de-Sante-La-Francilienne-19521399/

POSE DE LA PREMIERE PIERRE DU POLE DE SANTE LA FRANCILIENNE mercredi 10 décembre 2014, à 11 heures 30

(16-22 avenue de la République et de la rue de Croissy - 77340 Pontault-Combault)

Première étape de la construction du Pôle de Santé la Francilienne qui ouvrira ses portes en mars 2016, la pose de la première pierre de la future maison de consultations aura lieu le mercredi 10 décembre 2014.

Elle se déroulera en présence de Madame Monique Delessard, Maire de Pontault-Combault et 1ère Vice- Présidente du Conseil Général de Seine-et-Marne, de Monsieur Filippo Monteleone, Directeur Général délégué du groupe Générale de Santé, de Monsieur Antonio De Sousa, Président Directeur Général de la société France Pierre, de Monsieur Giuseppe Zolzettich, Directeur Immobilier du groupe Générale de Santé, de Monsieur Patrick Serrière, Directeur du Pôle Ile-de-France Est du groupe Générale de Santé, et du Docteur Nicolas Crocheton, Médecin Urgentiste, représentant de l'Association Maison Médicale.
Résultat d'une coopération étroite entre la municipalité de Pontault-Combault, l'Agence Régionale de Santé, le groupe Générale de Santé et la communauté médicale de la Clinique la Francilienne, cette réalisation s'inscrit dans une ambition commune du maintien et du développement d'une offre de soins de proximité, pour le bénéfice d'un bassin de population de plus de 100 000 personnes.
A l'initiative de la mairie de Pontault-Combault et du groupe Générale de Santé, le futur Pôle de Santé pourra accueillir les consultations de toute la communauté de médecins de la Clinique de la Francilienne dont les activités ont été transférées en avril 2013 sur des établissements proches du Groupe Générale de Santé, au sein de son pôle Ile de France Est. Le nouvel établissement sera érigé sur le site du Pôle Emploi de la ville, à proximité de la gare. Partie intégrante du nouveau projet urbain de la ville de Pontault-Combault, il contribuera à en accroître l'attractivité

Il s'agit de l'un des premiers établissements de ce type en Ile-de-France, structurant tout un territoire de santé, pour répondre à un besoin nouveau de la population d'une offre de soins spécialisée de proximité et de qualité, en collaboration avec les praticiens du territoire de santé. Les grandes étapes du calendrier

• Décembre 2014 : Pose de la 1ère pierre

• Mars 2016 : Livraison prévue du bâtiment

1

• Une offre de soins de proximité cohérente

D'une superficie de 1 600 m2, le Pôle de Santé La Francilienne proposera sur 2 niveaux une offre comprenant :

- Des consultations de spécialistes par 34 praticiens de la Clinique La Francilienne

 Consultation orthopédique du membre supérieur

 Consultation orthopédique du membre inférieur

 Consultation en urologie

 Consultation en gynécologie

 Consultation en ORL

 Consultation en chirurgie esthétique

 Consultation en oncologie

 Consultation en chirurgie vasculaire

 Consultation en chirurgie viscérale

 Consultation en gastroentérologie

 Consultation en cardiologie

 Consultation d'anesthésie

- Un service d'accueil non programmé de patients 7 jours sur 7, de 8h à 22h30. Ce service sera placé sous la responsabilité des médecins urgentistes actuels de la Clinique La Francilienne

- Un plateau technique d'imagerie avec une radiologie conventionnelle et un scanner

- Un service de rééducation constitué de 4 kinésithérapeutes.

2

• Une démarche forte du groupe Générale de Santé

Le Groupe Générale de Santé s'engage ainsi sur ce projet de Pôle de Santé aux côtés de la communauté médicale de la clinique La Francilienne, à offrir à la population du bassin de vie de Pontault-Combault la même qualité d'accueil et de consultations que sur sa clinique, permettant une prise en charge de proximité, et un accès en amont de l'offre de soins proposée dans ses différents établissements de l'Est Parisien, qu'elle soit chirurgicale, d'obstétrique, ou en soins de suite et de réadaptation.
Il s'agit, par ailleurs, d'un projet médical plébiscité par les autorités de Tutelles.

• Générale de Santé : une présence significative dans l'Est parisien

Avec l'acquisition début octobre 2010 de l'Hôpital privé de Marne-la-Vallée, puis les ouvertures en janvier 2012 de la Clinique de Champigny et en février 2012 de celle de Montevrain (2 cliniques de Soins de Suite et Réadaptation - SSR), le groupe Générale de Santé compte désormais 6 établissements dans l'Est parisien, sur les départements de Seine-et-Marne (77) et du Val de Marne (94). Cette présence forte a permis au Groupe d'y envisager un véritable projet de modernisation de son offre de soins, pour le bénéfice d'un bassin de vie comptant environ 1 million d'habitants et représentant la plus forte croissance démographique de l'Ile-de-France.

Ces six hôpitaux privés et cliniques prennent en charge 80 000 séjours annuels (hors séances), grâce à leurs 500 praticiens libéraux et leurs 1 100 salariés.

LES CHIFFRES CLES DU POLE DE L'EST PARISIEN DE GENERALE DE SANTE

• Urgences : 55 000 passages

• Séjours de Médecine : 33 000

• Séjours de Chirurgie : 37 000

• Séjours Maternité et Obstétrique : 10 000 (dont 6 000 naissances)

A propos de Générale de Santé

Premier Groupe privé de soins et services à la santé, Générale de Santé compte 19 000 salariés dont 7 000 infirmier(e)s et 4 000 aides soignant(e)s dans 75 établissements et centres.

Avec près de 4 500 praticiens, elle représente la première communauté libérale de France. Acteur majeur de l'hospitalisation, Générale de Santé couvre l'ensemble de la chaîne de soins : médecine-chirurgie-obstétrique, cancérologie, soins de suite et de réadaptation et hospitalisation à domicile. Générale de Santé développe une offre de soins originale associant qualité et sécurité de la prise en charge, efficience de l'organisation et qualité humaine. Le Groupe propose une prise en charge globale avec un accompagnement personnalisé, avant, pendant et après l'hospitalisation, qui prenne en compte toutes les dimensions du patient, il participe aux missions de service public de santé et au maillage sanitaire du territoire.

En savoir plus : www.generale-de-sante.fr

Contacts

Marie Roux de Luze Julie Sapateiro

Service de Presse du groupe Générale de Santé Mairie de Pontault-Combault

Tél. : 01.53.23.14.14/16 - 06.08.50.91.49 Tél. : 01.70.05.47.92 - 06.34.69.04.32 m.rouxdeluze@gsante.fr jsapateiro@pontault-combault.fr

GENERALE DE SANTE : Pose de la première pierre du Pôle de Santé La Francilienne.

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13 novembre 2014 4 13 /11 /novembre /2014 07:50

http://www.zonebourse.com/GENERALE-DE-SANTE-4694/actualite/GENERALE-DE-SANTE--Generale-de-Sante-lance-un-programme-pour-accompagner-les-futures-mamans-19356845/

 

 

 

 

COMMUNIQUE DE PRESSE

Paris, le 6 novembre 2014

GENERALE DE SANTE LANCE

UN PROGRAMME POUR ACCOMPAGNER LES FUTURES MAMANS DU DEBUT DE GROSSESSE JUSQU'AU RETOUR A DOMICILE

L'hôpital privé d'Antony (92) pilote de ce programme baptisé myNéa


Les attentes des futures mamans ont évolué. Submergées d'informations, tout à la joie de leur futur enfant, mais également plus anxieuses, elles demandent à être guidées et accompagnées dès les premiers jours de leur grossesse.
Premier groupe privé de maternités de France, Générale de Santé les a écoutées et a construit un programme pour répondre à ce besoin. Baptisé « my Néa », ce programme innovant de soins et de services est bâti autour d'une relation de proximité et d'accompagnement personnalisé.

« Ce projet a été construit autour des attentes des futures mamans. Notre ambition est d'améliorer leur expérience, elles qui choisissent d'être accompagnées par nos maternités dans leur projet de naissance, tout au long de leur grossesse et jusqu'à leur retour à domicile.» indique Filippo Monteleone, Directeur Général délégué de Générale de Santé

1. my Néa : UN PROGRAMME INNOVANT DE SOINS ET SERVICES DEDIES AUX FUTURES MAMANS

Générale de Santé offre aux futures mamans le pré-requis incontournable d'une prise en charge médicalisée de qualité. Le Groupe choisit aujourd'hui d'aller plus loin, en complétant cette prise en charge par une offre innovante de services destinée à accompagner la future maman dès le début de sa grossesse et jusqu'à son retour chez elle. Pour que cette période, celle de la naissance et des premiers moments partagés avec son enfant soit un moment d'exception pour toute la famille
Au sein des 18 maternités du groupe, les femmes sont suivies dans un cadre médical parfaitement sécurisé. Par ailleurs, elles ont toute liberté de choisir parmi une gamme variée de services, de suivre des ateliers de préparation à la naissance -avec leurs conjoints- et de formuler leurs souhaits sur le déroulement de l'accouchement.
Une attention particulière portée sur le 1er trimestre de grossesse
Générale de Santé met la future maman au centre de toute ses attentions. Pour identifier leurs attentes et y répondre de la façon la plus précise, le Groupe a fait réaliser une étude qualitative (*Publicis Consultants/Sorgem - étude exploratoire maternité) auprès de jeunes femmes enceintes. Le 1er trimestre de grossesse, y apparait comme celui où les futures mamans se sentent le plus démunies. C'est en effet une période pendant laquelle, il est parfois trop tôt pour être suivies par l'hôpital et pendant laquelle elles manquent souvent de réponses. C'est également souvent un trimestre pendant lequel se focalisent beaucoup d'angoisses à la fois sur le présent et sur l'avenir. Générale de Santé a choisi d'accompagner les femmes enceintes et les couples dès les trois premiers mois et de leur apporter le soutien médical, relationnel et administratif adapté qu'ils attendent.
my Néa : Accompagner : Rassurer - Informer - Aider
L'objectif de ce programme est d'accompagner les futures mamans dès le début de leur grossesse, en leur donnant toutes les informations nécessaires pour être rassurées et pour faciliter leurs démarches avec l'établissement. Parce que les femmes enceintes sont aussi particulièrement réceptives à une information personnalisée sur Internet, le programme my Néa comporte également un volet digital. Une rubrique dédiée sur le site de l'établissement a été conçue pour informer les futures mamans de la richesse de la nouvelle offre en maternité et pour leur permettre une communication plus rapide et interactive avec l'établissement.
Tout a été pensé pour construire une relation personnalisée tout au long du projet de naissance, à travers des services accessibles sur internet et bientôt sur des applications mobiles.

a) Une relation renforcée depuis le début de la grossesse

c> Processus de pré-inscriptions et d'inscriptions en ligne. Il évite de démultiplier les déplacements, tout en étant un vecteur de rapidité.
c> Création de lettres d'informations mensuelles sous forme de news letter, afin de créer un lien plus fort, avec la maternité, d'anticiper les questions et de faciliter le parcours de la femme enceinte.
c> Visite de la maternité avec une sage femme avant l'inscription, une proposition réellement innovante, puisqu'elle ne se fait en général qu'aux alentours du 6ème mois.
c> Organisation d'ateliers et de conférences (cours de gymnastique prénatale, présentation de l'ostéopathie, initiation à la sophrologie, atelier découverte des soins du nouveau-né, …) et de conférences. Ces rencontres sont gratuites et viennent compléter les cours de préparations par les sages femmes (financés par la Sécurité Sociale à partir du 6ème mois de grossesse).

b) Le séjour à la maternité

c> Une qualité des soins et sécurité des soins assurées par la présence 24h/24 d'un obstétricien, d'un anesthésiste et d'une équipe de 3 sages femmes en salles de naissances
c> Des sages femmes à l'écoute des choix et attentes des futures mamans notamment concernant leur projet d'accouchement
c> Du matériel permettant la mobilité des mamans avant l'accouchement (Monitoring sans fil permettant la déambulation des mamans - péridurale ambulatoire)
c> L'accompagnement des Papas. Un accouchement « sous le signe » des papas : possibilité d'être présent au bloc, en cas de césarienne, dépose minute maternité, ateliers « comment prendre sa place de père … »
c> Hôtellerie, un concept hôtelier de grande qualité : offre solo, repas plaisir …
my Néa : Le déploiement
A terme my Néa deviendra LE programme d'accompagnement des maternités du Générale de Santé et sera dans les mois à venir, déployé dans chacune les autres maternités du Groupe.

«Nous avons élaboré pour nos maternités, un programme de services innovant et complet. Implanté en premier lieu à l'Hôpital privé d'Antony, il améliore considérablement l'interaction avec les futures mamans à tous les stades de leur grossesse et installe avec elles un nouveau dialogue, y compris sur le net » précise Arnaud Masson, Directeur du Marketing et de la Relation Patients de Générale de Santé.

2. L'HOPITAL PRIVE D'ANTONY : MATERNITE PILOTE

Le choix de Générale de Santé pour sa maternité pilote s'est porté sur celle de l'Hôpital privé d'Antony, 1ère maternité privé Ile de France.
Avec 3 200 naissances par an et grâce notamment à son équipe médicale forte de 30 médecins et 25 sages-femmes, la maternité de l'Hôpital privé d'Antony est en effet, une unité-modèle en matière de suivi et d'accompagnement des futurs parents.
En 2013, l'établissement a obtenu le 1er Prix de la prévention médicale, pour les travaux de ses équipes dans la prise en charge des hémorragies de la délivrance et de la prévention du décès maternel
La maternité d'Antony participe au prélèvement du sang placentaire dans le cadre de l'engagement de la Fondation Générale de Santé.
Parce que le choix d'un lieu pour donner naissance à son enfant est déterminant, une visite de la maternité, guidée par une sage-femme de l'établissement, est systématiquement proposée aux mamans qui le souhaitent. C'est là un moment privilégié pour s'informer sur les pratiques médicales de l'établissement et découvrir les possibilités offertes pour l'accouchement.
Les futures mamans peuvent ensuite procéder à leur inscription, sur le site de la maternité et accéder à l'ensemble des nouveaux services proposés par le programme « myNéa ».

« Avec un service de néonatalogie et une équipe médicale particulièrement attentive au projet de naissance des mamans, nous sommes en mesure d'offrir, à l'Hôpital privé d'Antony , à nos futures mamans, une prise en charge optimale et sécurisée, qu'il s'agisse d'accouchements à bas risques ou d'accouchements nécessitant une surveillance médicale plus spécifique. » déclare le Docteur Alain Proust, Obstétricien à l'Hôpital privé d'Antony

-oOo-

4 mois après sa mise en place, zoom sur l'offre myNéa

1100 inscriptions en ligne

790 ateliers et conférences auprès de 300 mamans

Plus de 18 000 pages vues chaque fois par 3 000 visiteurs

Une lettre d'information envoyée à 800 mamans par mois

c> 11 lettres du 2ème mois de grossesse au 3ème mois de retour

Un programme bien accueilli par les mamans ; évaluation des ateliers et conférences : 8,07/10

Les maternités Générale de Santé en quelques chiffres

18 maternités (dont 10 en Île-de-France), dont 9 de niveau 2A (incluant une unité de néonatologie) et 2 de niveau 2B (incluant en plus une unité de soins intensifs aux nouveaux nés).
28 125 accouchements en 2013
1 naissance sur 30 en France se produit dans un établissement Générale de Santé (et 1 sur 6 dans les territoires de santé où le groupe est présent)
1er groupe d'hospitalisation privé en obstétrique
2e acteur français en obstétrique après l'AP-HP.
145 obstétriciens
23 % de césariennes (chiffre stable depuis 2009)

La maternité de l'Hôpital privé d'Antony

1ère maternité privée d'Ile-de-France / 6ème au niveau national
3300 naissances par an
37 000 naissances depuis la création de l'Hôpital en 2002
Équipe médicale complète : 11 gynécologues obstétriciens / 6 anesthésistes / 6 pédiatres / 7 échographistes / 24 sages-femmes / Une équipe d'Auxiliaire, d'infirmière pour la prise en charge de suite de couches
Service Néonatalité de niveau 2A
1er Prix de la prévention médicale : pour les travaux de ses équipes dans la prise en charge des hémorragies de la délivrance et de la prévention du décès maternel
Maternité rénovée à l'été 2014

La Fondation Générale de Santé

Créée en 2008, la Fondation d'entreprise de Générale de Santé - premier groupe d'hospitalisation privée en France - est devenue le premier acteur de la collecte de cellules souches issues du sang de cordon ombilical, dans le cadre du don anonyme et gratuit. Ces greffons sont utilisés pour traiter des cancers du sang et de maladies rares. Lorsque ces prélèvements ne remplissent pas tous les critères pour être transplantés à des patients, la Fondation les offre à des chercheurs pour un usage scientifique. La Fondation Générale de Santé coordonne ses actions à trois niveaux : elle informe les femmes enceintes sur le don anonyme et gratuit, forme les obstétriciens et sages-femmes et réalise des prélèvements des cellules souches de sang de cordon dans un but thérapeutique ou scientifique.

400 sages-femmes et obstétriciens mobilisés dans 10 maternités

Plus de 12 000 prélèvements de cellules souches de sang de cordon et 3200 greffons validés depuis la création de la Fondation (9% du résultat national)

Plus de 3 000 unités scientifiques offertes à 28 équipes de recherche (INSERM, CNRS, CEA, Institut Pasteur, AP- HP)

Plus de 70 patients transplantés dans le monde à partir des greffons prélevés dans les maternités Générale de

Santé

A propos de Générale de Santé :

Premier Groupe privé de soins et services à la santé, Générale de Santé compte 19 000 salariés dont 7 000 infirmier(e)s et 4

000 aides soignant(e)s dans 75 établissements et centres.

Avec près de 4 500 praticiens, elle représente la première communauté libérale de France. Acteur majeur de l'hospitalisation, Générale de Santé couvre l'ensemble de la chaîne de soins : médecine-chirurgie-obstétrique, cancérologie, soins de suite et de réadaptation et hospitalisation à domicile. Générale de Santé développe une offre de soins originale associant qualité et sécurité de la prise en charge, efficience de l'organisation et qualité humaine. Le Groupe propose une prise en charge globale avec un accompagnement personnalisé, avant, pendant et après l'hospitalisation, qui prenne en compte toutes les dimensions du patient ; il participe aux missions de service public de santé et au maillage sanitaire du territoire.

En savoir plus :

Contact presse :

Marie Roux de Luze - Service de Presse de Générale de Santé

Tél. : 01.53.23.14.16 - m.rouxdeluze@gsante.fr

GENERALE DE SANTE : Générale de Santé lance un programme pour accompagner les futures mamans.

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4 novembre 2014 2 04 /11 /novembre /2014 07:23

http://votreargent.lexpress.fr/bourse/generale-de-sante-projet-d-opas-declare-conforme-par-l-amf_1616606.html

~~ L'AMF a déclaré conforme le projet d'offre publique d'achat simplifiée (OPAS) déposé par Crédit Agricole CIB et Lazard Frères Banque, agissant pour le compte du concert formé de Ramsay Health Care (UK) Limited et Predica, visant les actions Générale de Santé. Les initiateurs s'engagent irrévocablement à acquérir au prix de 16 euros par action la totalité des actions existantes non détenues par eux, soit 9.350.178 actions représentant 16,57% du capital et 24,28% des droits de vote du groupe d'hospitalisation privée. Une nouvelle information sera publiée pour faire connaître le calendrier de l'offre publique. Les initiateurs n'ont pas l'intention de mettre en oeuvre de retrait obligatoire visant les actions à l'issue de l'offre, mais de mettre en oeuvre, postérieurement à la clôture de l'offre, à la fusion-absorption de Ramsay Santé SA par Générale de Santé, sous réserve de l'approbation des assemblées générales auxquelles sera soumise cette opération.

Copyright (c) 2014 CercleFinance.com.

Générale de Santé: projet d'OPAS déclaré conforme par l'AMF.

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28 octobre 2014 2 28 /10 /octobre /2014 16:31

http://www.boursier.com/actions/actualites/news/generale-de-sante-andre-attia-proche-de-12-du-capital-600563.html

~~(Boursier.com) — André Attia a racheté de nouveaux titres Générale de Santé, et détenait au 23 octobre, via SCA Attia VF, L'Arche et Rainbow Santé 6.743.387 actions de la société, représentant 12.449.067 droits de vote, soit 11,95% du capital et 11,44% des droits de vote. Les derniers titres ont été achetés à 16,12 euros. Le 13 octobre dernier, Ramsay Santé et Predica (Crédit Agricole) avaient déposé un projet d'OPA au prix de 16 euros par action. Les initiateurs détenaient à cette date 47.077.017 actions, soit 83,43% du capital et 86,12% des droits de vote. L'offre porte sur le reste des titres en circulation, soit 9.350.178 actions, représentant 16,75% du capital et 24,28% des droits de vote. Hors les initiateurs et André Attia, il reste donc environ 4% du capital entre les mains du public. En juin dernier, André Attia avait évoqué la possibilité de lancer une OPA en surenchère, mais il ne s'est pas manifesté depuis. Dans le prospectus de l'offre, Ramsay et Predica ont mentionné l'existence de cette annonce, mais soulignent qu'il n'a pas été donné suite, à leur connaissance. La position bâtie par André Attia ne contrarie pas, a priori, les plans de Ramsay et Predica, qui avaient fait part de leur souhait de maintenir la cotation. S'ils avaient souhaité retirer le titre de la cote par le biais d'une procédure obligatoire, il leur aurait fallu détenir 95% des parts, un niveau impossible à atteindre compte tenu de la détention de l'actionnaire minoritaire. André Attia avait vendu en 2005 sa société Hexagone Hospitalisation à la Générale de Santé. Il avait en 2007 refusé d'apporter ses titres à l'OPA à 32,50 euros du Docteur Ligresti.

Générale de Santé : André Attia proche de 12% du capital.

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18 octobre 2014 6 18 /10 /octobre /2014 09:13

http://www.miroir-mag.fr/64280-le-futur-hopital-prive-dijon-bourgogne-obtient-son-permis-de-construire/

Le futur Hôpital privé Dijon-Bourgogne, établissement du groupe Générale de santé a obtenu, le 3 septembre dernier, le permis de construire de son futur bâtiment sur la zone de Valmy, au Nord de Dijon. Il accueillera ses premiers patients en 2018.

Ce nouvel établissement de 288 lits et places regroupera sur le même site des activités des cliniques de médecine-chirurgie-obstétrique Sainte-Marthe à Dijon), de Fontaine-les-Dijon et de Chenôve. “Il favorisera de façon optimale le développement accéléré de la chirurgie ambulatoire et des nouveaux protocoles de récupération rapide des patients diminuant sensiblement les durées d’hospitalisation”, assure la Générale de Santé.

A l’horizon 2018, l’hôpital pourra accueillir 43 000 patients dont 2 000 accouchements et 24 000 séjours en ambulatoire. “L’hôpital sera ainsi adapté aux nouvelles formes de prises en charge hospitalières”, poursuit la Générale de Santé. Sur les 20 000 m² de surface, on pourra trouver 21 salles d’opérations, six salles d’accouchements et 185 praticiens. Ce sera le dernier né des 180 hôpitaux privés, cliniques ou centres exploités en France par le groupe Générale de Santé, desservi par le tramway.

Jérémie Lorand

Générale de Santé: Le futur hôpital privé Dijon-Bourgogne obtient son permis de construire.
Générale de Santé: Le futur hôpital privé Dijon-Bourgogne obtient son permis de construire.

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17 octobre 2014 5 17 /10 /octobre /2014 09:09

http://www.zonebourse.com/GENERALE-DE-SANTE-4694/actualite/GENERALE-DE-SANTE--Generale-de-Sante-conforte-et-etend-le-reseau-de-ses-Insituts-de-Cancerologie-19127358/

GENERALE DE SANTE : Générale de Santé conforte et étend le réseau de ses Insituts de Cancérologie.

Le 30 septembre 2014

Générale de

conforte et étend le de ses

Instituts de

Deux ans après leur création à Lille, Lyon, Marseille

et Paris, Générale de Santé conforte et étend le réseau de ses Instituts de Cancérologie avec l'ouverture

de 3 nouveaux Instituts d'ici fin 2014

En 2012, Générale de Santé créé 4 Instituts de Cancérologie, à Lille, Lyon, Marseille et Paris.

Le Groupe s'engageait en effet à organiser une prise en charge rapide, globale et personnalisée et un accès à l'ensemble des compétences et expertises en cancérologie, et aux différentes modalités de traitement (radiothérapie, chimiothérapie et chirurgie) sur le même site.
L'objectif de cette nouvelle organisation, résolument tournée vers le patient était :

 D'améliorer la prise en charge des patients et de leurs proches, de faciliter leur accès rapide aux professionnels des soins et renforcer la coordination entre eux ;

 D'accompagner les patients les plus vulnérables avec la création du poste de coordinatrice du parcours de soins ;

 De dynamiser la relation avec les professionnels de la ville, le médecin généraliste en particulier ;

 De développer la recherche et l'innovation.

« Véritables pôles de référence, ces établissements spécialisés offrent une organisation des soins et un dispositif d'accompagnement des patients et de leurs proches particulièrement qualitatif, efficient et lisible. Le label « Institut de Cancérologie » est la garantie d'une prise en charge de qualité. L'organisation, l'information et la proximité sont au cœur des priorités», déclare Pascal Roché, Directeur Général du Groupe.

Générale de Santé, la prise en charge en cancérologie aujourd'hui

UN BILAN POSITIF


Deux ans après leur création, les Instituts de cancérologie de Générale de Santé affichent un bilan positif et de nouvelles ambitions pour les années à venir. Ce projet innovant dans le secteur de l'hospitalisation a permis des avancées marquantes : invention d'un nouveau métier - la coordinatrice du parcours de soins, développement de la recherche clinique, étude sur les délais de prise en charge, structuration de l'après cancer (PPAC), consultations oncogénétiques ….

□ L'ENGAGEMENT DE GENERALE DE SANTE DEPUIS DE NOMBREUSES ANNEES

L'engagement de Générale de Santé s'inscrit dans une ambition de longue date : apporter son expertise en matière d'organisation et répondre à cet enjeu de santé publique. En 2006, le groupe s'était résolument engagé en structurant sa première filière de soins, en mobilisant 18 équipes médicales et paramédicales autour de mesures emblématiques comme la mise en place des réunions de concertation pluridisciplinaires (RCP), le dispositif d'annonce et l'organisation des soins de supports.

L'accès aux soins pour tous est depuis l'origine, une priorité pour le Groupe => 97,5% des actes de chimiothérapie et de radiothérapie sont réalisés en secteur 1.

En 2012 Générale de Santé a souhaité aller encore plus loin dans la prise en charge et la coordination du parcours de soins, sur la base d'un cahier des charges et d'engagements précis définissant le label
« Institut de Cancérologie ». Quatre Instituts de Cancérologie ont été crées : Les Peupliers‐Paris, Lille
Métropole, Jean Mermoz‐Lyon et Marseille Provence.
Entre 2013 et 2014, deux Instituts du Sein ont été créés, à l'Hôpital privé Drôme Ardèche, à Valence (26) et à l'Hôpital privé de l'Estuaire au Havre (76). D'ici la fin de l'année 2014, trois nouveaux Instituts seront créés, portant à neuf le nombre d'Instituts de cancérologie de Générale de Santé.

□ LES INSTITUTS DE CANCEROLOGIE, UNE ORGANISATION PENSEE AUTOUR DU PATIENT

Avec la création des Instituts de Cancérologie, Générale de Santé avait inauguré une nouvelle organisation centrée sur le patient et la rapidité de la prise en charge, atout incontournable dans la course contre la montre que peut représenter le traitement du cancer. Le parcours de soins coordonné et les délais d'attente réduits vont dans ce sens.
Ainsi, cette prise en charge repose sur une unité de lieu pour les traitements (chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie), la création du métier de coordination du parcours de soins destiné à faciliter la relation entre le patient, l'hôpital et la médecine de ville. La création d'un dispositif d'accompagnement des patients et de leurs proches avant, pendant et après la maladie et de mesures spécifiques pour les patients les plus vulnérables, complètent la prise en charge. C'est enfin l'accès à la recherche et à l'innovation.

DES OBJECTIFS ATTEINTS

 Plus de 500 patients ont été pris en charge par les coordinatrices du parcours de soins dans les Instituts de cancérologie du groupe depuis leur création (septembre 2012).

 L'accompagnement des patients les plus vulnérables par la coordinatrice du parcours de soins, quel que soit le motif : agressivité de la maladie, complexité des traitements, contexte personnel (isolement familial, difficultés sociales, problèmes professionnels …) est un succès.La coordinatrice du parcours de soins a confirmé son rôle clé. Elle s'est avérée l'interlocuteur incontournable des patients, sachant évaluer leurs besoins et détecter leurs fragilités, leur apportant une écoute, une meilleure compréhension des différentes étapes de leur parcours de soins, une coordination efficace entre leur médecin traitant et les cancérologues

La création de la fonction de coordinatrice du parcours de soins a valu à l'Hôpital privé des Peupliers le trophée FHP 2014 de la « Relation avec les Usagers ».

Par ailleurs, depuis et dans le cadre du 3ème plan cancer national, la Direction Générale de l'Organisation des Soins (DGOS) a lancé un appel à projets sur ce thème.

 L'attachée de recherche clinique apporte une aide significative aux praticiens pour l'inclusion de patients dans des essais thérapeutiques et les publications. (Plus de 400 nouveaux patients inclus depuis janvier 2013.)

Témoignage Mathilde Rohfritsch, pharmacien adjoint‐attachée de recherche clinique à l'Hôpital Privé

Drôme Ardèche

« En tant que pharmacien‐attachée de recherche clinique, je suis, au sein de l'établissement, la personne référente qui fait le lien entre le promoteur d'une étude clinique ‐ un laboratoire pharmaceutique, un CHU, un groupe coopérateur,.... ‐, les médecins investigateurs de l'Institut et tous les acteurs de santé intervenant dans l'étude autour du patient. Mon rôle consiste aussi à évaluer la faisabilité des études, à en coordonner la mise en place, à gérer les médicaments expérimentaux, à vérifier l'application du protocole et à veiller au respect des Bonnes Pratiques Cliniques... Une trentaine d'essais cliniques sont en cours à l'Hôpital Privé Drôme Ardèche. Des essais dits « interventionnels », destinés à évaluer un nouveau traitement ou une nouvelle stratégie thérapeutique et des essais « observationnels », basés sur le recueil de données médicales des patients. Ainsi depuis 2013, nous menons une étude de cohorte sur les délais de prise en charge de nos patientes atteintes d'un cancer du sein prises en charge à l'Institut du sein Drôme‐Ardèche. Par rapport à la moyenne nationale ‐ établie par une étude INCa (l'Institut national du cancer) publiée en juin 2013 ‐, nos délais d'accès au diagnostic sont pratiquement divisés par deux par rapport à la moyenne nationale (9,4 jours contre 17,7 jours). Et c'est d'une importance capitale : pour certains type de cancers, plus ces délais sont courts, plus grandes sont les chances de guérison. »

 La prise de rendez‐vous centralisée est une réalité dans tous les Instituts. Elle ouvre l'accès aux soins de support ‐ psychologue, diététicien, référent douleur, assistante sociale, onco‐ esthéticienne... ‐ qui aident les patients à mieux vivre les effets de la maladie et du traitement.

EN DEUX ANS, GENERALE DE SANTE EST EGALEMENT ALLE AU-DELA DE SES ENGAGEMENTS INITIAUX

 L'accès aux traitements les plus pointus s'est traduit notamment avec l'installation des consultations oncogénétique dans tous les Instituts (158 consultations depuis janvier 2014). L'oncogénétique signe l'accès à la médecine personnalisée de demain. Elle permet d'identifier d'éventuelles prédispositions génétiques au développement d'un cancer, d'affiner un diagnostic ou un pronostic, d'évaluer la réponse d'un patient à une thérapie ciblée, ou encore d'estimer le risque d'une réponse toxique à une thérapie standard.

Initiée à partir d'une expérience développée au sein de l'Institut de cancérologie Marseille‐ Provence en 2012, elle est aujourd'hui déployée dans tous les Instituts. Grâce à cette discipline, l'établissement répond aux attentes des professionnels de la cancérologie et aux besoins des patients sur deux points majeurs :

 Une activité de consultations pour l'identification et le suivi de personnes présentant des prédispositions génétiques au développement d'un cancer

 le ciblage des traitements en fonction de la carte d'identité de certaines tumeurs.

« L'oncogénétique est une discipline particulièrement prometteuse, qui permet notamment d'identifier d'éventuelles prédispositions génétiques au développement d'un cancer ou encore de vérifier l'efficacité d'un traitement. En y donnant accès dans ses Instituts, le Groupe permet à ses patients d'accéder à la médecine personnalisée de demain, encore appelée médecine de précision », souligne le Dr Philippe Souchois, Directeur de la Cancérologie de Générale de Santé

 Le développement d'actions innovantes d'accompagnement des patients et de leurs proches s'est également traduit par la signature en 2014 d'une convention de mécénat avec Juris Santé. Composé de juristes spécialisés en droit de la santé et en droit social, cette association apporte un soutien administratif ou juridique au patient et à ses proches. Elle apporte aussi une aide pour la gestion de la réinsertion professionnelle. L'accès à Juris Santé est gratuit pour tous les patients.

Trois questions à

Dominique Thirry, directrice de Juris Santé. L'association offre aux patients des Instituts de cancérologie un accompagnement juridique personnalisé.

Quel est le service rendu par Juris Santé ?

Nos juristes apportent aux patients un éclairage personnalisé, des explications concrètes, un soutien dans les démarches pour faire valoir leurs droits. Nous nous devons d'offrir le plus grand confort possible aux personnes très fragilisées. D'où la souplesse de nos modalités d'accompagnement, dans la chambre, par mail, téléphone ou Skype...

Quel est le travail effectué avec l'Institut de cancérologie Jean Mermoz ?

Dès la création de l'association en 2008, l'établissement a souhaité être pilote. Le succès a été immédiat. Nous faisons partie des soins de support et sommes très soutenus par les médecins, les soignants et l'assistante sociale, qui nous adressent des patients.

Quelles sont les problématiques les plus fréquentes ?

La moitié des demandes concerne le droit du travail et de la sécurité sociale. Nous lançons d'ailleurs à la rentrée 2014 un atelier mensuel de soutien au maintien dans l'emploi. Nous sommes également très consultés sur des problématiques d'assurance, mais aussi sur des questions relatives à la fin de vie, à la succession.

Le dispositif de Juris Santé a été généralisé, en 2014, à l'ensemble des Instituts.

En savoir plus : http://jurissante.fr//// dthirry@jurissante.fr

 Le bénéfice des équipements bio‐médicaux les plus récents

Le Cell Vizio :

Il s'agit d'un système d'endomicroscopie digestives parfois appelé « biopsies optiques ». Les médecins spécialistes accèdent à l'image de tissus à l'échelle microscopique de façon instantanée et non invasive. Ce système de reconnaissance facilite la prise de décision ainsi que la prise en charge du patient. L'Institut Jean Mermoz, à Lyon, a été un des premiers sites à expérimenter cette technique en France

Le CyberKnife :

Nouvelle arme thérapeutique contre le cancer, le Cyber Knife est le seul appareil de
radiothérapie robotisé qui permet de délivrer de fortes doses d'irradiation en peu de séances avec une extrême précision, en préservant les tissus sains. Développée initialement pour le traitement des tumeurs intra‐crâniennes, cette innovation constitue également une avancée majeure pour le traitement des tumeurs extra‐crâniennes telles celle du foie, du poumon et de la prostate.
L'Institut Marseille Provence s'est doté, en 2014, de cet appareil, dont il n'existe qu'un seul équivalent - de génération antérieure - en région PACA et huit seulement au plan national, pour le bénéfice d'un bassin de population de 3 millions de personnes. Il réaménage depuis un an son service de radiothérapie pour accueillir en janvier 2015 son premier patient

"Le cyberknife est un appareil de radiothérapie unique qui se présente comme une alternative non invasive à la chirurgie pour certaines tumeurs mobiles et/ou inopérables avec des indications validées dans les tumeurs pulmonaires, cérébrales, rachidiennes, hépatiques et les métastases ainsi que de multiples protocoles en cours dans les tumeurs du sein, ORL et prostatique.

Son intérêt est majeur pour les patients puisque son extrême précision permet de délivrer de fortes doses en peu de séances (3 en moyenne) en évitant les organes sains environnants".

déclare le docteur Emmanuel Gross, Oncologue - Radiothérapeute, l'Institut Marseille‐Provence

DES PERSPECTIVES AMBITIEUSES

Générale de Santé, la prise en charge en cancérologie à fin 2014

 Un périmètre élargi ; un réseau qui s'étend

Trois Instituts thématiques dédiés au traitement du cancer du sein: deux ont déjà été créés à l'Hôpital Drôme Ardèche, à Valence (26) et à l'Hôpital privé de l'Estuaire au Havre (76) ; un troisième ouvrira à la fin de l'année à la Clinique Saint Amé, à Lambrez‐les‐Douai (59).

Deux nouveaux Instituts de cancérologieverront par ailleurs le jour d'ici la fin de l'année, à l'Hôpital privé d'Antony (92) et à l'Hôpital privé Arras Les Bonnettes, à Arras (62).

 Un développement toujours accru de la recherche et l'innovation

La cancérologie est le 1er contributeur de la recherche clinique en France.
Fort de son premier bilan, l'ambition du Groupe et de ses équipes d'investigateurs est de poursuivre son implication et investissement, en incluant des patients dans les essais cliniques et en publiant dans des revues scientifiques, pour conforter la légitimité du Groupe et des cancérologues.

 Le développement de la prise de charge de l'après‐cancer dont l'Activité Physique Adaptée

(APA)

À la fin des traitements, le patient entre dans une nouvelle phase dite de « l'Après‐Cancer ». Il retrouve son cadre de vie habituel. Après une phase d'hyper médicalisation, une prise en charge personnalisée et adaptée l'aide à reprendre plus rapidement une vie personnelle, sociale et professionnelle.
Au‐delà de la dimension médicale, le patient bénéficie dans les Instituts de cancérologie d'un programme spécifique adapté pour préserver la continuité et la qualité de vie, et pour construire si besoin un nouveau projet de vie. Il s'agit également d'assurer la coordination avec les intervenants de ville.
En complément, les Instituts de cancérologie développent une offre d'activité physique adaptée encadrée par des professionnels habilités, pour les patients. L'activité physique adaptée, initiée pendant ou après les traitements, a démontré un intérêt médical (diminution du risque de récidives de certains cancers du sein) et des bénéfices (diminution de la fatigue, meilleure qualité de vie, amélioration du sommeil et de l'humeur …) chez les patients atteints de cancer1.

1 Source : INCa Dossier « Activité physique adaptée », Fiche repères « Activité physique et cancer », Janvier 2012

‐oOo‐
A la fin de l'année 2014, le groupe Générale de Santé totalisera 9 Instituts de cancérologie.
Les traitements du cancer sont en constante évolution : la chimiothérapie orale, l'accès aux
molécules innovantes et le développement de la médecine personnalisée ou encore les nouvelles techniques de radiothérapie, vont bouleverser les techniques médicales.
Les progrès thérapeutiques considérables tendent à faire évoluer le cancer vers le mode « maladie chronique » et le vieillissement de la population demandent une adaptation des pratiques actuelles.

Dans ce contexte, il s'agit pour Générale de Santé de faire de ses Instituts de cancérologie des « laboratoires » pour anticiper les prises en charge de demain: Il s'agit de :

 Renforcer la coordination des acteurs de soins.

 Développer la chirurgie ambulatoire.

 Développer la médecine personnalisée.

 Développer les soins palliatifs.

 Développer la recherche l'innovation et l'enseignement/la formation

LE GROUPE GENERALE DE SANTE : la cancérologie en 2013

 Générale de Santé est le 1er acteur national du secteur privé en cancérologie avec 4

Instituts de Cancérologie, 2 Instituts du Sein et 14 hôpitaux de référence en cancérologie en France

 25 800 patients ont été pris en charge en chirurgie du cancer en 2013 au sein des établissements Générale de Santé

 85 400 séances de chimiothérapie ont été réalisées en 2013 dans les 21 services spécialisés de Générale de Santé

 155 800 séances de radiothérapie ont été effectuées dans les 10 centres du Groupe en

2013

 97,5% des actes de chimiothérapie et de radiothérapie sont réalisés en secteur 1.

 Environ 200 autorisations « traitement du cancer »

LE CANCER EN CHIFFRES (source INCa)

 3 millions de personnes vivent en France, avec ou après un cancer

 148 000 décès par an : 1ère cause de mortalité prématurée en France devant les maladies cardiovasculaires, MAIS AUSSI 1ère CAUSE DE MORTALITE EVITABLE

 355 000 nouveaux cas diagnostiqués chaque année dont 59% chez les plus de 65 ans

 4 cancers représentent plus de 50% des cancers : sein, prostate, poumon et colon

 50% des patients atteints de cancer sont pris en charge dans le secteur privé

A propos de Générale de Santé :

Premier Groupe privé de soins et services à la santé, Générale de Santé compte 19 000 salariés dont 7 000 infirmier(e)s et 4 000 aides soignant(e)s dans 75 établissements et centres.

Avec près de 4 500 praticiens, elle représente la première communauté libérale de France. Acteur majeur de l'hospitalisation, Générale de Santé couvre l'ensemble de la chaîne de soins : médecine‐chirurgie‐obstétrique, cancérologie, soins de suite et de réadaptation et hospitalisation à domicile. Générale de Santé développe une offre de soins originale associant qualité et sécurité de la prise en charge, efficience de l'organisation et qualité humaine. Le Groupe propose une prise en charge globale avec un accompagnement personnalisé, avant, pendant et après l'hospitalisation, qui prenne en compte toutes les dimensions du patient ; il participe aux missions de service public de santé et au maillage sanitaire du territoire.

En savoir plus : www.generale‐de‐sante.fr

Contact presse :

Marie Roux de Luze - Service de Presse de Générale de Santé

Tél. : 01.53.23.14.16 - m.rouxdeluze@gsante.f

GENERALE DE SANTE : Générale de Santé conforte et étend le réseau de ses Insituts de Cancérologie.

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20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 08:23

http://www.challenges.fr/entreprise/20140910.CHA7502/quand-les-cliniques-privees-s-occupent-aussi-des-urgences.html?xtor=RSS-16

Par Laurent Fargues

Invité du Club business réalisé avec Euro Media France, Pascal Roché, qui dirige Générale de santé, le premier groupe de cliniques privées en France, revient sur les missions parfois méconnues des établissements de santé privés.

Challenges. La ministre de la Santé Marisol Touraine doit présenter sa nouvelle loi dans les prochaines semaines. Qu’en attendez-vous ?

Pascal Roché. Le projet de loi doit être présenté d’ici à la fin septembre en Conseil des ministres. J’espère que ce sera l’occasion pour le gouvernement de faire des choix clairs. Il y aura certainement des avancées très positives sur le terrain de la prévention. En revanche, j’ai quelques inquiétudes sur le reste.

Lesquelles ?

Je crains qu’à travers la notion de service public hospitalier le gouvernement introduise des conditions de plus en plus restrictives à l’activité des cliniques. Ce serait un recul pour le système français, alors que les hôpitaux privés remplissent de vraies missions de service public. A l’heure où il est question d’économies, je rappelle qu’en 2012 un Français soigné dans le public coûtait en moyenne 2.115 euros aux contribuables, contre 1.205 euros dans le privé.

Le PDG du groupe australien Ramsay, qui vient de racheter Générale de santé, juge néanmoins le système français "excellent et stable"…

C’est vrai qu’en France les indicateurs de santé sont très bons, même s’ils se dégradent, et que le financement des soins est stable puisqu’il repose sur la Sécurité sociale. Mais nous avons aussi à apprendre de l’Australie sur la coordination entre les médecins de ville et les hôpitaux ou la chirurgie ambulatoire.

En matière de chirurgie ambulatoire, c’est-à-dire sans nuit à l’hôpital, Générale de santé est en pointe…

Nos établissements réalisent 54 % des opérations en ambulatoire, contre 42 % en moyenne en France. L’ambition est d’atteindre 60 % en 2016, soit bien au-dessus de l’objectif fixé par la ministre. La chirurgie ambulatoire exige de remettre en cause les pratiques des équipes, de mieux baliser les parcours de soins, mais in fine, c’est un réel progrès pour les patients, et les Français y sont prêts.

Générale de santé a aussi développé des services d’urgences. Pourquoi ?

Cela répond à un besoin des Français et au manque de médecins de proximité. Tous établissements confondus, il y a aujourd’hui 18 millions de passages aux urgences, contre 10 millions il y a douze ans. Nous accueillons 450.000 patients par an et veillons à réduire les délais d’attente au minimum. Notre engagement est désormais que les temps d’attente soient consultables en temps réel sur Internet.

Vous n’accueillez peut-être pas les cas les plus lourds…

Arrêtons de comparer la gravité des cas entre public et privé. Nos services d’urgences accueillent toutes les pathologies et sont implantés partout, y compris dans des quartiers difficiles. En moyenne, 20 % des malades qui arrivent aux urgences en France sont hospitalisés, chez nous, ce pourcentage tombe à 13 %. Mais cet écart ne s’explique pas par la gravité des cas, plutôt par une meilleure organisation.

Propos recueillis par Jean-Baptiste Diebold et Laurent Fargues

Quand les cliniques privées s'occupent aussi... des urgences.
Quand les cliniques privées s'occupent aussi... des urgences.

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8 septembre 2014 1 08 /09 /septembre /2014 07:05

http://article.wn.com/view/2014/08/29/Neuf_etablissements_Generale_de_Sante_parmi_les_50_meilleurs/

~~Source: Générale de Santé SA ) Générale de Santé 29 août 2014 L'Hôpital privé Saint Martin Caen arrive en 2e position du Palmarès 2014 des cliniques et hôpitaux de l'hebdomadaire Le Point paru le 21 août. Le classement l'activité, la notoriété du service, les soins ambulatoires, la durée du séjour, la gravité… dans 62 disciplines médicales et 37 disciplines chirurgicales. Outre l'Hôpital privé Saint Martin Caen, deux autres établissements du Groupe se classent dans les 10 premiers : l' Hôpital privé Jean Mermoz à Lyon (4e) et l'Hôpital privé La Louvière à Lille (8e). L'Hôpital...more »

Neuf établissements Générale de Santé parmi les 50 meilleurs établissements privés selon le Palmarès du Point (Générale de Santé SA).

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 09:08

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