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16 mai 2014 5 16 /05 /mai /2014 06:33

http://www.fhpmco.fr/2014/04/24/la-sante-est-creatrice-de-richesse/

Les voix, dont celle de la FHP-MCO, qui se sont offusquées de l’éviction du mot « santé » de l’intitulé de notre ministère, ont été entendues. La santé est à nouveau inscrite sur le fronton de notre tutelle. Car on attend beaucoup du secteur de la santé… déjà 10 milliards d’euros d’économies. En revanche, jamais on ne lui reconnaît son potentiel de création de richesses, ni on ne lui prête même l’ambition d’en créer. Nous savons que notre santé n’a pas de prix mais elle a un coût, savons-nous que l’activité de soins a un coût mais qu’elle n’a pas de prix ? Le CHU de Nice ne « vaut » pas les 577 millions d’euros de son chiffre d’affaires mais 1,456 milliard d’euros d’impact économique régional, nous enseigne la CCI de Nice. Combien chacun d’entre nous « vaut-il » ? Cette valeur de notre secteur n’est pas mesurée par les indicateurs de la CNAM ou par ceux du ministère de la Santé. Comment valoriser notre rôle d’aménagement des territoires français ou encore le dynamisme économique que nous impulsons au sein d’une région ? Sans omettre les 600 millions d’euros, de plus que les établissements publics, que paie à l’État l’hospitalisation privée, et qui eux sont bien mesurables… Notre valeur va bien au-delà de la Valeur actuelle nette (VAN), elle croît au fil du développement social et économique régional que stimule notre activité. A l’heure du plan de rigueur gouvernemental, du rapport Devictor qui menace la place de l’hospitalisation privée dans le paysage sanitaire, et d’un différentiel tarifaire de 21 % par rapport au secteur public, n’ayons de cesse de rappeler que nous exerçons le même métier avec les mêmes professionnels pour accueillir les mêmes patients. Nous sommes des créateurs de richesse pour notre pays !

Lamine GHARBI
Président du syndicat national FHP-MCO

Médecins : pénurie ou surpopulation ?
À l’heure des déserts médicaux, la France en 2020 pourrait souffrir de surpopulation médicale déclare le président du CNOM dans une interview sur le site Egora. La tendance devrait s’inverser sous l’effet de l’augmentation du numerus clausus et surtout des installations de plus en plus nombreuses de médecins français et étrangers formés hors de France. Aujourd’hui, plus d’un quart des nouveaux inscrits à l’ordre des médecins, de nationalité française ou non, ont été formés à l’étranger. Mais par ailleurs, 6000 médecins partent à la retraite chaque année dont plus de la moitié sont généralistes. Toutefois, les projections jusqu’en 2025 sont difficiles : quel sera le taux d’installation, quel sera le temps de travail hebdomadaire de ces nouveaux médecins, quelle sera la durée de leur carrière ?

10 milliards d’économies en santé…
Extraits choisis de tribunes dans le Figaro :

  • Frédéric Bizard, enseignant à Sciences Po
    Il faut changer le logiciel de notre système de santé ! « Notre système de santé est le plus coûteux au monde après celui des États-Unis pour des résultats sanitaires dans la moyenne des autres pays européens. La France dépense 50 milliards d’euros de plus que la moyenne des pays de l’OCDE et l’assurance maladie est la branche malade de la sécurité sociale avec un déficit récurrent depuis 1988. L’organisation hospitalo-centrée de notre système de soins, la forte incidence des maladies chroniques et la sur-administration du système sont les trois raisons majeures de surcoûts du système (…) On consomme, toutes choses égales par ailleurs, 15 milliards d’euros de plus de soins hospitaliers avec 100 000 lits de plus que la moyenne des autres pays de l’ OCDE. Notre système de santé intègre 1,3 million de nouveaux patients chroniques chaque année dans un système de remboursement à 100 % qui en compte déjà près de 10 millions. Notre modèle est uniquement pensé pour gérer ce flux et non le limiter, ce qui n’est plus soutenable financièrement. Nos coûts d’administration du système sont les plus élevés d’Europe et traduisent un État omnipotent dans la gestion quotidienne et absent dans l’orientation stratégique ».
  • Claude Le Pen, économiste
    10 milliards d’économies en santé : oui mais en changeant de politique ! «Les 10 milliards d’économies correspondent (paradoxalement) à une croissance moyenne des dépenses de 2 % par an sur la période 2015-2017, ce qui est certes inférieur à la croissance spontanée ou tendancielle qu’on observerait en absence de plans d’économies (4 % environ), mais ce qui restera sans doute supérieur à la croissance des recettes. On n’en a donc fini ni avec le déficit ni avec la dette. Trop peu, parce que cela ne crée pas un « choc d’efficience » induisant les tarifs sans agir sur les structures et sur l’organisation. Résultat, il faut reprendre l’ouvrage tous les ans et, à force de raboter, on fragilise un système. »

Quel sera le SPH de demain ?
Le rapport Devictor est depuis deux jours sur le bureau de la ministre. Cette mission menée par Bernadette Devictor, présidente de la Conférence nationale de santé (CNS), préconise de rétablir le service public hospitalier « en bloc » pour l’ensemble des activités d’un établissement, supprimer les 14 missions de service public inscrites dans la loi HPST et inclure les missions de formation, d’innovation et de recherche dans les activités génériques des établissements de santé. Un rapport en deux parties : définir le futur service public territorial de santé (SPTS) comme une offre de service issue d’une organisation contractuelle entre les offreurs en santé et de l’accompagner d’une gouvernance réformée ; lister des préconisations par rapport au service public hospitalier (SPH). La loi HPST en 2009 instaurait la liste de 14 missions de service public susceptibles d’être ouvertes à tous les acteurs sous réserve qu’ils respectent certaines obligations, disposition modulée en 2011 par la loi Fourcade qui introduisait l’idée que les missions de service public ne pouvaient être attribuées à des opérateurs privés commerciaux « qu’en cas de carence » des acteurs historiques du SPH, établissements de santé publics et ESPIC. Le rétablissement du SPH dans la LFSS 2013 ressurgira dans la future loi de santé de Marisol Touraine. Pour la mission Devictor, les acteurs du SPH sont de principe, les établissements publics, les ESPIC, et les centres de lutte contre le cancer qui respectent toutes les obligations du SPH. Les établissements privés pourraient aussi en faire partie s’ils respectent « pour l’ensemble de leur activité les obligations du service public et les règles énoncées », et si leur demande de participer est validée. En cas de carence d’acteurs du SPH sur un territoire, la mission estime nécessaire de définir les conditions et modalités de contribution des établissements privés lucratifs, comme les compensations apportées à cet engagement, en lien avec une modification du droit d’autorisation des activités.

Publication des déclarations d’intérêt : un retard inexpliqué
Le site internet public, prévu par le décret sur le « Sunshine Act » à la française sera accessible au public… très prochainement. On y trouvera la liste des personnes, entreprises ou organismes avec lesquels les industriels de la santé ont conclu des conventions ou auxquels ils ont accordé des avantages. Des informations jusqu’alors diffusées de façon désordonnée, et prochainement accessibles sur un site unique.

Enquêtes I-Satis, ce qu’il faut en retenir
Elles sont obligatoires pour les établissements MCO mais facultatives pour les établissements enregistrant moins de 60 séjours conventionnels. Les résultats individuels seront publiés à partir de 2015. La DGOS nous rappelle le calendrier pour mener les enquêtes et insiste sur la date de la fin de la campagne 2014 qui est fixée au : lundi 15 septembre 2014. Une matrice « importance satisfaction » sera mise à disposition des établissements, elle permettra d’évaluer ses points d’amélioration à l’issue des enquêtes. L’ATIH a ouvert une plateforme « i-satisfaction » le 7 avril 2014 sur son site Internet.

À consulter :

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15 mai 2014 4 15 /05 /mai /2014 06:50

http://www.boursedirect.fr/news-details.php?id=644887&tn=2&pl=6&tb=2&rb=CNS

Capacités. L'action Le Noble Age a nettement redressé la barre depuis un an. Dans un premier temps, le titre a eu du mal à suivre la revalorisation engagée par ses pairs car les opérateurs pointaient une marge trop faible. Ce phénomène reflète la volonté de l'équipe dirigeante de la société d'engager un vaste plan d'expansion des capacités...Une part importante du parc est en construction ou en cours de restructuration. Le marché adressé étant très prévisible, la prise de risque est d'autant plus recommandée que les taux demeurent accommodants. Le Noble Age ne cherche pas à augmenter sa taille en reprenant un confrère mais en s'appuyant sur l'expansion interne. L'entreprise est ainsi certaine de la qualité de chacun de ses établissements et elle maîtrise mieux son plan de marche. Après une période mitigée, la profitabilité commence à monter en puissance.

Rentabilité. L'activité exploitation a généré un chiffre d'affaires 2013 de 252 Millions d'Euros en progression de 16,7% sur l'année. Pour sa part, le résultat opérationnel courant s'est inscrit en hausse de + 36% à 24,9 Millions d'Euros. Le Noble Age prévoit un chiffre d'affaires exploitation 2014 de 290 Millions d'Euros, soit une expansion d'une quinzaine de pourcents. La profitabilité devrait poursuivre sa tendance haussière. A horizon moyen terme, la société de la famille Siret réaffirme sa confiance en un changement de taille. Le volume d'activité exploitation est attendu à 360 Millions d'Euros fin 2017 avec un résultat opérationnel courant de 35 Millions d'Euros. Par ailleurs, les fondements du modèle viendront soutenir la politique de rémunération des actionnaires. L'exploitant de maisons de retraite délivre un plan de marche bien équilibré et qui devrait se dérouler convenablement...

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15 mai 2014 4 15 /05 /mai /2014 06:45

http://www.euroinvestor.fr/actualites/2014/05/05/generale-de-sante-document-de-reference-2013/12801636

GENERALE DE SANTE annonce que son Document de Référence 2013 a été déposé auprès de l'Autorité des Marchés Financiers (AMF) en date du 30 avril 2014.

Ce document est disponible sur le site internet de GENERALE DE SANTE :http://www.generale-de-sante.fr

GENERALE DE SANTE : Document de Référence 2013

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14 mai 2014 3 14 /05 /mai /2014 06:31

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14 mai 2014 3 14 /05 /mai /2014 06:19

http://www.argusdelassurance.com/acteurs/compagnies-bancassureurs/credit-agricole-assurances-pourrait-acquerir-la-generale-de-sante-avec-ramsay-health-care.77247

 

 

 

 

 

Crédit agricole Assurances poursuit ses investissements dans le secteur de l'hospitalisation privée. Sa filiale commune avec le groupe australien de cliniques Ramsay Heath Care, Ramsay Santé, a annoncé, ce lundi 12 mai, son intention de se porter acquéreur de 83,43% du capital de Générale de Santé, le premier groupe français d’hospitalisation privée.

NÉGOCIATIONS EXCLUSIVES SUR UNE BASE DE 16,75 € L'ACTION

Les deux partenaires sont entrés en négociations exclusives avec les actionnaires de Générale de Santé, Santé SA et Santé Developpement Europe SAS, sur la base d’une valorisation de 16,75 € l’action. Ces derniers ont décidé de leur accorder une période d’exclusivité jusqu’au 6 juin 2014 pour leur permettre de remettre une offre ferme.

75 ÉTABLISSEMENTS ET 19 000 SALARIÉS POUR GÉNÉRALE DE SANTÉ

Générale de Santé, qui a réalisé un chiffre d’affaires d’environ 1,7 Md€ en 2013, compte 19 000 employés dans 75 établissements et centres oeuvrant sur l’ensemble de la chaîne de soins : médecine, chirurgie et obstétrique, cancérologie, soins de suite et de réadaptation et services médicaux à domicile. 

En janvier 2010, Crédit agricole Assurances s'était déjà porté acquéreur à hauteur de 43% du groupe de cliniques privées Proclif, contrôlé alors par le fonds Duke Street, aux côtés du groupe Ramsay Health Care, actionnaire des 57% restants.

 
Crédit agricole Assurances pourrait acquérir la Générale de Santé avec Ramsay Health Care.

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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 06:56

http://www.hospimedia.fr/actualite/nominations/20140505-eric-laspougeas-devient-directeur-general-delegue-du-groupe

Éric Laspougeas a été nommé Directeur général (DG) délégué en charge des opérations du groupe Vivalto Santé par décision du conseil d'administration du groupe en avril dernier, a indiqué l'intéressé, sollicité par Hospimedia. Il lui revient donc "la bonne marche du business plan du groupe et le respect de [ses]…

Éric Laspougeas devient directeur général délégué du groupe Vivalto Santé.

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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 06:22

http://www.boursier.com/actions/actualites/news/generale-de-sante-les-actionnaires-negocient-une-cession-a-ramsay-sante-578501.html

 

 

 

 

(Boursier.com) — L'action Générale de Santé bondit de 5,5% à l'ouverture de la Bourse de Paris, à 16,36 euros, après une offre de rachat à 16,75 euros par action. Le groupe australien Ramsay Health Care, qui avait déjà fait l'actualité sur le dossier en rachetant Medipsy, propose cette fois de racheter la totalité du périmètre, avec l'appui deCrédit Agricole Assurances. Ramsay a ainsi formulé une offre à Santé SA et Santé Développement, qui détiennent ensemble 83,43% du capital du réseau de cliniques. Les deux actionnaires ont accepté d'entrer en négociations exclusives jusqu'au 6 juin prochain. L'offre serait portée par Ramsay Santé, une entreprise commune à l'australien et au Crédit Agricole Assurances.

Si les négociations aboutissent, la suite des opérations sera soumise aux modalités habituelles, dont une offre aux minoritaires dans les mêmes conditions. Le niveau de détention sera équivalent à celui qui prévaut sans Ramsay Santé : Ramsay détiendra 57% des actifs et Crédit Agricole Assurances 43%. Le coût pour l'entreprise australienne est ainsi évalué à 539 millions d'euros.

L'offre valorise, selon nos calculs, 100% de Générale de Santé à 945 millions d'euros, et offre une prime de 8% sur le cours de 15,50 euros de vendredi 9 mai au soir. Ramsay rappelle dans son communiqué être à la tête de 151 établissements en Australie, Royaume-Uni, France et Asie, pour 1,3 million de patients traités chaque année. Générale de Santé affiche pour sa part 75 implantations et 1 millions de patients annuels.

 — ©2014, Boursier.com

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12 mai 2014 1 12 /05 /mai /2014 06:26

http://www.lejsl.com/edition-montceau/2014/05/10/un-drame-du-mal-etre-au-travail

 

 

Un drame du mal-être au travail ?

 

 

Le jeune homme qui s’est jeté sous un TGV à Écuisses le 24 avril dernier était directeur des « Jardins Médicis », maison de retraite montcellienne. Selon ses amis, son geste pourrait avoir un rapport avec son travail.

 

 

Originaire de la région lilloise, Joachim Bosch, 26 ans, a mis fin à ses jours le 24 avril dernier à Écuisses (lire encadré). Il résidait à Montceau pour des raisons professionnelles après avoir pris ses fonctions à la tête de la résidence montcellienne pour personnes âgées autonomes ou dépendantes, en séjour permanent ou court séjour « Les Jardins Médicis » en juillet 2013.

Pourquoi ce jeune homme décrit par un employé comme « brillant dans son travail tout en étant au service de tous » s’est-il résolu à commettre l’irréparable ? Sans lettre ni confidence, on ne le saura sans doute jamais avec certitude… Tentant de comprendre, ses amis évoquent une lettre de licenciement que Joachim Bosh aurait reçu avant de se suicider.

Licencié peu avant

« Il a reçu sa lettre de remerciement la veille de son geste », témoigne Pierre Monnet, son ami le plus proche. « Joachim ne parlait jamais de son travail, mais je sais de source sûre qu’il était un peu submergé, parfois désorienté dans son travail. C’est normal, il venait de prendre ses fonctions. Il était soumis à des obligations de résultats, puis a reçu cette lettre. Je pense que ça l’a anéanti », relate-il.

« Je ne sais pas pourquoi il a été licencié », s’interroge encore un ancien salarié de la structure.

Annick Gillonnier, directrice de communication de DomusVi, le groupe propriétaire de la maison de retraite, fait part des « excellentes relations que le jeune directeur avait avec le directeur de région », sans toutefois expliquer les raisons de son licenciement. « Joachim était en permanence en lien avec son tuteur avec qui il dialoguait fréquemment. Nous n’avons rien pressenti et nous nous joignons à la douleur de la famille, que nous avons rencontrée ».

Des psychologues ont rencontré les salariés de la structure suite au drame.

Audience aux Prud’hommes en mars

Quelques mois plus tôt, le 16 janvier dernier, Joachim Bosch a représenté l’entreprise aux Prud’hommes dans une affaire de requalification de contrats ou encore de non remise de l’attestation Pôle emploi à une salariée. « Il représentait l’entreprise pour des faits antérieurs à son arrivée », relate Robert Wattebled, délégué syndical, défendeur de la plaignante. « J’ai fait condamner la SARL au versement d’environ 8 000 €. Je ne visais pas Joachim Bosch personnellement, mais bien la direction de cette entreprise dans son ensemble », évoque-t-il.

Joachim Bosch avait quelque fois évoqué cet épisode juridique avec Pierre Monnet. « Il était très investi dans son boulot, et défendait encore son employeur. Mais tout cela était quand même lourd pour quelqu’un qui venait d’arriver ». Pour DomusVi, la condamnation prud’homale n’a aucunement affecté le jeune directeur en poste.

Brillant joueur d’échecs

L’acte de ce jeune homme loin de montrer des signes de dépression, a surpris l’ensemble de ses relations montcelliennes. « On n’avait pas en face de nous quelqu’un de malheureux », témoigne David. « C’était une crème, la gentillesse même. Un tel geste nous aurait été indécelable », assure Marie-Claire. « On s’est tout de suite bien entendu avec Joachim. On partageait ensemble le goût du sport et la passion des dames et échecs », poursuit Pierre Monnet, aussi président du Club Med, Montceau échecs et dames. « Il était un brillant joueur d’échecs, un sportif invétéré. Joachim avait le sens de l’effort, de l’opiniâtreté, il était très mature pour son âge ».

Le jeune homme, fils unique, avait fêté ses 26 ans le week-end précédent le drame.

Contactée par téléphone, la famille du jeune homme n’a pas souhaité répondre à nos questions.

Les gendarmes ont ouvert une enquête pour tenter de déterminer les raisons du suicide.

 
 
 
 
 
Tout d'abord, toutes nos condoléances à la famille et aux proches de ce jeune directeur qui travaillait aux jardins de Médicis à Montceau-les-mines.

Maintenant chez domusvi vous devez des explications :

- Pourquoi prendre un directeur si jeune ? Quel intérêt ? Le rémunérer moins que les autres ?
- Comment un groupe se disant un grand groupe peut laisser dire à sa directrice de communication qu'elle ne sait pas pourquoi ce directeur a été licencié ?
- Pourquoi le faire représenter domusvi aux prud'hommes pour une affaire antérieure à son arrivée, affaire perdue (pour une affaire de requalification de contrats ou encore de non remise de l’attestation Pôle emploi à une salariée.) Tiens on croyait que c'était une spécialité locale à Bessenay dans le Rhône (le scandale de la fermeture de l'EHPAD mi-septembre 2013).

La directrice de la communication du groupe domusvi : "Nous n’avons rien pressenti et nous nous joignons à la douleur de la famille, que nous avons rencontrée »."

Mais quel toupet d'envoyer vos condoléances, ayez de la décence et fermez-là, faites-vous tout petit chez domusvi !!!

Marre de ce groupe qui exploite les seniors et ses salariés, à quand est-ce que le gouvernement interviendra contre les pourris qui profitent de l'or gris ???

 
Domus Vi:MONTCEAU. - UN JEUNE DIRECTEUR DE MAISON DE RETRAITE S’EST DONNÉ LA MORT.

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11 mai 2014 7 11 /05 /mai /2014 06:32

Des sociétés commercialisent des chambres dans des établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad). Ces produits d’immobilier locatif apparus font fureur auprès des investisseurs. | AFP/NICOLAS TUCAT

« Votre garantie retraite ! » Les sociétés qui commercialisent des chambres dans des établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) tiennent un argument en or… et qui paie. Ces produits d’immobilier locatif apparus il y a une dizaine d’années font fureur auprès des investisseurs.

En apparence, ce placement défiscalisé ne présente que des avantages. Il permet de bénéficier du statut de loueur meublé non professionnel (LMNP) ainsi que du dispositif Censi-Bouvard. Concrètement, acheter une chambre en résidence Ehpad neuve permet de récupérer 11 % de l’investissement en réduction d’impôt, ainsi que la TVA. Et les rendements locatifs sont attrayants : jusqu’à 6 %. L’investisseur ne s’occupe de rien : une société exploite la résidence pour son compte et lui reverse un loyer en vertu d’un bail commercial de neuf ou onze ans.

Les Ehpad échapperaient aux écueils rencontrés par les résidences de tourisme car la demande est bien réelle. D'ailleurs, leur taux d’occupation dépasse 98 %. Mieux, chaque établissement est contrôlé par les pouvoirs publics et garanti par une convention tripartite entre le gestionnaire, l’Etat et le conseil général, ce qui permet d’éviter la concurrence sauvage sur une même zone.

Baisses de loyer

Pourtant, depuis quelques mois, les forums de propriétaires d’Ehpad en colère se multiplient sur Internet. La fin des premiers baux a été pour certains un véritable coup de massue. « Mon gestionnaire, Omeris, m’a demandé de réduire de 50 % le montant de mes loyers », s’indigne Philip Pechayre, propriétaire d’une chambre depuis 2003.

Un nouveau remède pour traiter la maladie de Parkinson

Des médecins russes ont développé des tests permettant de diagnostiquer la maladie de Parkinson quelques années avant l'apparition de ses premiers symptômes

Cet avocat du cabinet Goethe, à Cassis (Bouches-du-Rhône), est parti en guerre contre les Ehpad en créant l’Association de défense des investisseurs privés ADIP-Ehpad, qui regroupe 145 propriétaires.

« Beaucoup de clients me contactent pour se plaindre de renégociations de baux avec des demandes de baisse de loyers de 20 % à 50 %. Les principaux gestionnaires sont concernés, notamment Korian, Orpea, DomusVi, Le Noble Age ou encore Philogeris », précise-t-il.

Lre aussi (abonnés) : Les pièges de l’investissement locatif

Pour expliquer cette baisse soudaine, les gestionnaires invoquent souvent les importants travaux de mise aux normes. Il est même courant qu’ils répercutent directement le montant des travaux ou du renouvellement du mobilier sur les propriétaires.

En décembre 2013, le gestionnaire Emera, qui n’a pas donné suite à nos sollicitations, réclamait ainsi de 19 000 euros à 28 000 euros par chambre aux propriétaires de la résidence Zélia, à Ibos (Hautes-Pyrénées), pour qu’ils se mettent en « conformité avec les critères d’accessibilité ». Les investisseurs avaient deux semaines pour accepter ou revendre leur bien au gestionnaire, faute de quoi leur bail ne serait pas renouvelé.

GARE AU BAIL

« Les propriétaires doivent lire leur bail avec attention, prévient le gestionnaire de patrimoine Jean-Louis Lehmann. Si le bail ne mentionne pas les articles 605 et 606 du code civil, toutes les grosses réparations et mises aux normes seront à la charge du propriétaire. »

Autre piège de taille : « Les locaux communs (accueil, salle à manger, blanchisserie…) appartiennent généralement au gestionnaire, ce qui rend illusoire l'éventualité de son changement », explique l'avocat Jacques Gobert, qui reçoit dans son cabinet marseillais de plus en plus de propriétaires en Ehpad.

Ceux qui sont tentés par l'aventure doivent donc éplucher minutieusement les baux. « Si tout est correct et que les travaux et le mobilier sont à la charge du gestionnaire, tout se passe extrêmement bien. Bien sûr, l’investissement initial sera plus élevé », précise Jean-Louis Lehmann. Et donc les rendements plus faibles.

  • Tatiana Kalouguine
    Journaliste au Monde

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11 mai 2014 7 11 /05 /mai /2014 06:26

http://www.boursedirect.fr/news-details.php?id=643261&tn=2&pl=6&tb=1&rb=NWS

La Cogepa, contrôlée par la famille Duval-Fleury, a franchi en baisse, le 15 avril 2014, le seuil de 5% du capital de la société Le Noble Age, dont elle détenait à cette date 426.942 actions, soit 4,99% du capital et 6,58% des droits de vote, après une vente de titres sur le marché.

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