Pas de véritable étude sur le travail en 12 heures, cependant il existe une étude Whitefall II sur le risque accentué sur une journée de plus de 10 ou 11 h
Ensuite il faut s'appuyer sur les brochures INRS qui seront sur le travail de nuit, la pénibilité ( la bibliographie est nombreuse) , et là il peut y avoir un appui. Le travail de nuit étant reconnu lui comme aggravant les risques de cancer ( sein, prostate...) et si de jour tu es en 12h la nuit aussi.... Le travail en alternant est le plus pathogène déjà en 8 h.
Il faut que le CHSCT se positionne sur 2 points: le respect "strict" par l'employeur de la réglementation du temps de travail sur la durée du travail, le respect des plannings... et sur une " prévention médicale "amélioréé" des agents.
En pièce jointe 2 articles avec des points de vue de DRH et d IDE sur le travail en 12h.
http://t.co/oZ2V8ejDwi’emploi-projets-de-loi-florange-et-réforme-de-la-formation-professionnelle.-pour-quels-résultats.ht
February 28, 2014
Vous avez téléchargé sur notre site www.secafi.com notre précédent document de décryptage de la Loi de Sécurisation pour l'Emploi.
Découvrez la nouvelle analyse publiée par les équipes Secafi, Sémaphores et AuserviceduCE :
Bonne lecture
~~Nouveauté s’agissant des cotisations syndicales pour la déclaration d’impôts sur le revenu 2013 Toute cotisation versée à une organisation syndicale représentative ouvre droit à un crédit d’impôts, qui se substitue à la réduction d’impôts appliquée jusqu’en 2011, et selon les mêmes règles, égal à 66 % du montant des cotisations payées en 2013 et dans la limite de 1 % du revenu brut après déduction des cotisations sociales (Sécurité sociale, retraites complémentaires et autres cotisations obligatoires, Assedic, contribution de solidarité des fonctionnaires). Nouvelle règle pour le reçu du syndicat : Le syndicat doit remettre un reçu précisant : le nom, l’adresse du syndicat, et son affiliation à la CGT. Il doit aussi contenir le montant total des cotisations syndicales payées par le syndiqué en 2013, ainsi que le mode de paiement (espèces, prélèvements ou chèques) et la date de paiement ou la mention de la périodicité du versement (mois, trimestre, année). Le reçu doit être signé par toute personne habilitée par le syndicat à encaisser des cotisations (le trésorier pour la plupart). Il n’y a plus besoin de joindre le reçu syndical à la déclaration d’impôt, mais celui-ci pourra être demandé ultérieurement. . Il faut donc le conserver 3 ans
Elle boutonne sa blouse comme chaque matin machinalement.
Le soleil se lève à peine, elle s’étire un court moment .
Après s’être laver les mains soigneusement
La journée peut alors commencer, maintenant.
Elle frappe à la première porte et dit « bonjour »
Une voix timide lui répondra peut être en retour
Avec un sourire plein de tendresse et de bonté
Elle fera son devoir avec compassion et humilité.
Nettoyer, sécher, masser les peaux fragilisées
Par la maladie, le poids des années
Habiller, soulager et même rassurer
Les personnes qui ont besoin d’être aidés.
Elle frappe à la deuxième porte et recommence
Un visage s’illumine rien que par sa présence
Un baiser sur le front apaisera les craintes passagères
Les douleurs à calmer, seront pour l’infirmière.
Frictionner, parfumer, coiffer les visages abîmés
Que le temps, au fil des ans, a fini par rider
Parler, redonner confiance et dignité
Aux personnes que la vie a blessés.
Derrière chaque porte, il y a une personne à part entière
Un être humain unique, avec ses joies et ses colères
Qu’il osera exprimer si la complicité s’invite naturellement
Avec l’habitude de la voir arriver régulièrement.
Frotter, pommader, déshabiller les corps malmenés
Par les accidents, les pathologies, l’usure du passé
Sourire, écouter, essayer de comprendre simplement
Les personnes malades qui recherchent un encouragement.
Elle déboutonne sa blouse, comme chaque soir, machinalement
Le soleil se couche à peine, elle baille un moment
Apres un rapide « bonsoir » aux collègues fatiguées
Elle va pouvoir, elle aussi rentrer se reposer.
Aider aux devoirs, coucher les enfants et les embrasser
Finir la vaisselle,
Faire un dernier tour de l’appartement et tout vérifier
Elle finira aussi par aller se coucher.
Elle est AIDE-SOIGANTE, métier mal reconnu, et pourtant
Combien ses gestes quotidiens sont importants,
Car tous les trésors du monde n’ont pas la valeur
Des sourires qu’elle offre avec son cœur
Congé de formation économique, social et syndical
Convention collective nationale du 18 avril 2002
Hospitalisation privée
Brochure n° 3307
Article 21 En savoir plus sur cet article...
En vigueur étendu
Tout salarié peut bénéficier d'un congé de formation économique, social et syndical dans les limites légales prévues par l'article L. 3142-7 du code du travail (Tout salarié qui souhaite participer à des stages ou sessions de formation économique et sociale ou de formation syndicale organisés soit par des centres rattachés à des organisations syndicales de salariés reconnues représentatives sur le niveau national, soit par des instituts spécialisés, a droit, sur sa demande, à un ou plusieurs congés.) Ces congés sont considérés comme période de travail effectif pour la détermination des droits aux congés payés et ceux liés à l'ancienneté.
Le financement de ce congé est assuré par une enveloppe globale à répartir entre l'ensemble des bénéficiaires, calculée sur la base de 0,025 % de la masse salariale brute de l'année de prise desdits congés.
http://www.20minutes.fr/lyon/1301762-decines-pole-sante
A défaut de la future grande clinique de l'Est Lyonnais, les Décinois auront, à l'horizon 2020, leur quartier de la santé. La Mutualité française du Rhône vient en effet de dévoiler les grandes lignes de son Multipôle Santé, né après l'abandon du projet de centre hospitalier à Décines (lire encadré). Sur les 10 hectares de l'ancienne friche industrielle Archemis appartenant à la Mutualité, cette dernière, accompagnée par le groupe em2c et Est métropole habitat, souhaite notamment créer d'ici à 2017 un Village de la santé. Cet ilôt de 20 000 m2 abritera un centre de soins de premiers recours, destiné à compenser en partie les activités de la clinique du Grand Large censée fermer ses portes la même année à Décines.
«Nous avions, avec la mairie de Décines, la volonté de maintenir une offre de soins de proximité répondant aux besoins de la population», précise Dominique Lebrun, directrice de la Mutualité française du Rhône. Des consultations de médecine générale, de gynécologie, cardiologie et pédiatrie devraient notamment y être assurées. Le Village devrait également accueillir un pôle enfance, adolescence et jeunes adultes, composé d'une crèche et d'un centre de soins de suite et de réadaptation pour enfants handicapés géré par la Mutualité. Un Ephad pour personnes âgées dépendantes et une résidence pour seniors autonomes sont également prévus. Les deux autres îlots abriteront un parc d'activités, regroupant des laboratoires et entreprises du domaine de la santé, et une zone d'habitations. Des logements pour jeunes actifs et étudiants, en locatif social et en accession libre, devraient y être construits. La Mutualité française, qui n'a pas évalué le coût global du Multipôle, ne financerait que le village de Santé. «Nous pensons céder deux ilôts à des promoteurs pour financer cette opération», précise Dominique Lebrun.
Elisa Riberry
http://www.centre-presse.fr/article-290258-l-ehpad-de-brigueil-enfin-vendu-a-medica.html
Le SIVOM de la Trimouille a finalement vendu la maison de retraite de Brigueil-le-Chantre, neuve mais déficitaire, au groupe Medica France.
Dans quel état trouvez-vous cet établissement? Pourquoi la vente a-t-elle été reportée depuis octobre?
Marc Duhant, directeur régional (Centre et Poitou-Charentes) de Medica France. « C'est une très belle maison, bien conçue, dans laquelle nous avons trouvé de bonnes pratiques. Les résidants étaient bien pris en charge. Nous en avons repris la gestion le 1 octobre. Les délais concernant la vente sont liés à des questions notariales. Nous étions prêts bien plus tôt. »
Pourquoi avoir acheté cette maison de retraite?
« Nous avons été mis en relation avec le SIVOM par les autorités de tutelle (conseil général et ARS). Nous avions déjà plusieurs expériences de reprises d'établissements publics. Pour nous la vraie réussite tient à la reprise du personnel. La transposition du régime public au privé avec le maintien des salaires et des avantages n'est pas simple. A Brigueil, cela s'est fait au bénéfice des salariés. »
Combien de résidants actuellement? Votre politique tarifaire va-t-elle changer?
« Nous avons 80 personnes résidantes, l'établissement est complet. Notre politique tarifaire ne va pas changer. »
Cet établissement était déficitaire. Comment allez-vous le ramener à l'équilibre?
« Je ne sais pas ce qui a amené ce déséquilibre. Nous avons construit un budget qui nous permettra de ramener le site de Brigueil à l'équilibre, hors immobilier. C'est la force d'un grand groupe. »
Quels changements dans la vie quotidienne de la maison?
« Les services restent les mêmes: coiffeur, pédicure, manucure, etc. Nous proposons trois animations par jour comme dans tous nos établissements. Nous essayons de travailler au maximum avec les entreprises locales: boulangerie, pharmacie, entretien d'espaces verts, etc. »
Vous avez aussi racheté la maison de retraite désaffectée de La Trimouille.
« Oui, nous avons délégué un cabinet d'architectes qui va nous dresser un état des lieux et lister les travaux. Après travaux, nous espérons ouvrir au dernier trimestre de cette année, au plus tard début 2015. Il y aura 42 places. »
repères
Le SIVOM était pris à la gorge
A un mois de rendre sa casquette d'élue, Brigitte de Fontaines souffle enfin: la présidente du SIVOM avoue que la vente de la maison de retraite lui a coûté des nuits blanches ces derniers mois. Le syndicat qui rassemble les huit communes du canton de La Trimouille n'a jamais réussi à équilibrer les comptes de cet Ehpad, déficitaire de 1,5 million d'euros cumulé depuis 2005. Scénario catastrophe? La faillite de l'établissement aurait provoqué celle des huit communes, financièrement responsables.
La vente de l'Ehpad de Brigueil à Medica permet donc au SIVOM, de toute façon voué à disparaître, d'éponger ses dettes, « tout en préservant les emplois dans le canton de La Trimouille, ce qui est extrêmement important », indique sa présidente.
Propos recueillis parSébastien Kerouanton