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13 juin 2014 5 13 /06 /juin /2014 20:39

http://www.objectif-lr.com/languedoc-roussillon/Actualites/OC-Sante-1e-pierre-de-la-nouvelle-polyclinique-St-Roch_2687.html

 

 

 

 

 

 

Le groupe OC Santé va délocaliser la clinique Saint-Roch d’ici fin 2015 au sud-ouest de Montpellier. Le coût du chantier, qui a été officiellement lancé le 10 juin, s’élève à 60 M€.

 

Le groupe d’hospitalisation privée OC Santé a symboliquement posé, mardi 10 juin, la première pierre de la future polyclinique Saint-Roch, dont l’inauguration est prévue fin 2015.

 

Créée en 1947 en centre-ville à Montpellier, la clinique Saint-Roch sera en effet transférée à cette date dans l’éco-quartier des Grisettes, au sud-ouest de la ville, à proximité de l’A9 et de la ligne 2 du tramway.

 

Conduit en collaboration avec la SERM et les services de la Ville de Montpellier, le chantier s’étend sur une surface de 10 000 m2, nécessitant 35 000 m3 de terrassement.

 

Dessiné par le cabinet d’architecture lyonnais Blezat, le futur centre médical (surface de plancher : 20 000 m2), en plus de la clinique, intègrera des cabinets de consultation, un bâtiment dédié à l’hospitalisation et divers blocs opératoires.

 

Financée par le groupe OC Santé, l’opération s’élève à 60 M€ (travaux et aménagements). L’établissement emploiera 350 salariés et une centaine de médecins libéraux.

 

« Mon père a construit la clinique Saint-Roch en 1947, rappelle Max Ponseillé, président d’OC Santé. Elle est devenue la 3e ou 4e clinique de France au fil du temps, mais dès la fin des années 80, on ne pouvait plus développer cet établissement dans ses locaux actuels. Nous avons décidé une première délocalisation au sud-est de Montpellier en créant la clinique du Millénaire. Quelques années plus tard, il est devenu nécessaire de proposer une nouvelle offre de soins au sud-ouest de la ville, tout en faisant prospérer l’émulation entre les acteurs de la santé, que ce soit le secteur privé ou le CHU, alors que les patients viennent de plus ou moins loin pour se faire soigner à Montpellier. »

 

Le chantier, d’une durée exacte de vingt-trois mois, nécessitera 500 000 heures de travail, soit l’intervention de 250 personnes lors du pic des travaux. Une trentaine de corps de métiers y sont associés.

 

Le groupe OC Santé gère 13 établissements de soin en Languedoc-Roussillon.

 

Anthony Rey

 

Lire également :
OC Santé inaugure un EHPAD de 70 lits

 

Légende : la future polyclinique, dessinée par le cabinet Blezat
Crédit photo : Blezat / OC Santé

 

Le groupe OC Santé va délocaliser la clinique Saint-Roch d’ici fin 2015 au sud-ouest de Montpellier. Le coût du chantier, qui a été officiellement lancé le 10 juin, s’élève à 60 M€.

 

Le groupe d’hospitalisation privée OC Santé a symboliquement posé, mardi 10 juin, la première pierre de la future polyclinique Saint-Roch, dont l’inauguration est prévue fin 2015.

 

Créée en 1947 en centre-ville à Montpellier, la clinique Saint-Roch sera en effet transférée à cette date dans l’éco-quartier des Grisettes, au sud-ouest de la ville, à proximité de l’A9 et de la ligne 2 du tramway.

 

Conduit en collaboration avec la SERM et les services de la Ville de Montpellier, le chantier s’étend sur une surface de 10 000 m2, nécessitant 35 000 m3 de terrassement.

 

Dessiné par le cabinet d’architecture lyonnais Blezat, le futur centre médical (surface de plancher : 20 000 m2), en plus de la clinique, intègrera des cabinets de consultation, un bâtiment dédié à l’hospitalisation et divers blocs opératoires.

 

Financée par le groupe OC Santé, l’opération s’élève à 60 M€ (travaux et aménagements). L’établissement emploiera 350 salariés et une centaine de médecins libéraux.

 

« Mon père a construit la clinique Saint-Roch en 1947, rappelle Max Ponseillé, président d’OC Santé. Elle est devenue la 3e ou 4e clinique de France au fil du temps, mais dès la fin des années 80, on ne pouvait plus développer cet établissement dans ses locaux actuels. Nous avons décidé une première délocalisation au sud-est de Montpellier en créant la clinique du Millénaire. Quelques années plus tard, il est devenu nécessaire de proposer une nouvelle offre de soins au sud-ouest de la ville, tout en faisant prospérer l’émulation entre les acteurs de la santé, que ce soit le secteur privé ou le CHU, alors que les patients viennent de plus ou moins loin pour se faire soigner à Montpellier. »

 

Le chantier, d’une durée exacte de vingt-trois mois, nécessitera 500 000 heures de travail, soit l’intervention de 250 personnes lors du pic des travaux. Une trentaine de corps de métiers y sont associés.

 

Le groupe OC Santé gère 13 établissements de soin en Languedoc-Roussillon.

 

Anthony Rey

 

Lire également :
OC Santé inaugure un EHPAD de 70 lits

 

Légende : la future polyclinique, dessinée par le cabinet Blezat
Crédit photo : Blezat / OC Santé

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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 20:33

http://www.lavoixdunord.fr/region/lomme-greve-des-salaries-des-ehpad-gilbert-forestier-et-ia21b49765n2202154

 

 

 

 

Hier, à l’appel de la CGT, les salariés des EHPAD Gilbert-Forestier et Les Roses se sont mis en grève pour réclamer plus de moyens.


Durant toute la journée de mercredi, les employés se sont mobilisés devant l’EHPAD Gilbert Forestier.

Ils étaient une quarantaine de salariés mobilisés devant la maison de retraite Gilbert-Forestier hier matin, selon une source syndicale, et encore une vingtaine l’après-midi, après réquisition d’une partie du personnel gréviste. Plusieurs salariés en repos avaient même fait le déplacement. Ils entendaient réclamer plus de moyens pour maintenir la qualité de leur service.

Manque de personnel

« Aujourd’hui, on se mobilise à cause des suppressions de postes des agents contractuels qui sont là en remplacement, et dont les contrats sont menacés pour raisons budgétaires », explique Pauline Delanghe, aide-soignante à l’EHPAD Gilbert-Forestier (UNSA). Au total, une cinquantaine de personnes travaillent dans chacune des maisons de retraite et s’inquiètent du manque de personnel. Les employés déplorent notamment les non remplacements en cas de congés maternité ou d’arrêt longue maladie.

« Nous réclamons l’intégration des agents contractuels aux équipes en transformant leurs contrats en CDI », explique Dominique Vandevelde, représentant CGT. On ne se bat pas pour des augmentations de salaire, mais pour obtenir plus de moyens humains et matériels, pour maintenir la qualité de service et la sécurité des résidents. »

Mouvement reconduit

C’est le CCAS de Lomme qui gère le budget des deux établissements. A eux deux, ils comptabilisent 120 lits pour accueillir des personnes âgées de plus de 60 ans. « Chaque résident paye plus de 2 000 euros par mois, et les familles se demandent où part l’argent ! », souligne Pauline Delanghe.

Dès hier matin, le directeur général et le directeur du pôle gérontologie ont rencontré les grévistes. Le 1er juillet, une réunion avec le maire est prévue pour discuter des revendications des employés. Le préavis de grève est maintenu jusqu’au 30 juin et une nouvelle mobilisation est déjà prévue mercredi prochain, devant l’EHPAD Les Roses.

Il ne nous a pas été possible de contacter, mercredi après-midi, les directions des établissements.

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10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 08:07
	GREVE du 06 JUIN - Clinique de Saint victor sur Loire - GROUPE RAMSAY(2)

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10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 08:00

" Les personnels demandent une revalorisation salariale égale à 3,5%, cela depuis la troisième année consécutive et essuie un troisième refus.

Il faut savoir que le pouvoir d’achat a subi une baisse importante pour les salariés de la clinique environ 3,7% depuis, au moins 5 ans.
Ceci du fait de l’absence d’augmentation ( moins de 4% en 5 ans et par catégorie) ne rattrapant en rien l’inflation de la même période, mais aussi de la diminution conséquente des primes : au moins 1/3 de perte et plus encore d’ici la fin d’année.

Lors des négociations annuelles des promesses sont faites mais jamais tenues.
Cette année ce nouveau refus d’augmentation a décidé les salariés à un mouvement d’arrêt de travail, prévu le 23 mai. Pour bloquer cette action la Direction nous a fait une proposition d’augmentation, pour quelques jours plus tard REVENIR sur sa parole.
Les salariés se sentent d’autant plus floués et déconsidérés, ils ont le sentiment qu’il n’est plus question désormais que de profits maximums sans reconnaissance de l’investissement du personnel, de sa disponibilité, ni même de la rentabilité de son travail.


La clinique, appartenant aux médecins a été vendue une première fois puis revendue, cette année, à Ramsey santé, Donc en moins de cinq ans 3 propriétaires et 3 directions locales différentes. Le nombre de patients et la charge de travail s’est alourdie. Le personnel se pense en droit d’attendre une reconnaissance de son travail."

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10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 06:32

  

La Cour de cassation confirme le principe selon lequel un salarié ayant obtenu sous une certaine étiquette syndicale, au moins 10 % des voix sur son nom lors des dernières élections professionnelles, est apte à être désigné délégué syndical par toute organisation syndicale représentative dans l’entreprise.

LES FAITS À l’occasion des élections professionnelles un salarié est élu membre du CE et délégué du personnel sous l’étiquette CNT, puis désigné délégué syndical par cette même organisation syndicale. Par la suite, il démissionne de son mandat de délégué syndical CNT (mais non de ses deux autres mandats), et est à nouveau désigné délégué syndical, mais cette fois par le syndicat CFTC. Soutenant que cette dernière désignation est irrégulière, l’employeur saisit le tribunal d’instance d’une demande d’annulation. La société fonde son recours sur les dispositions de l’article L. 2143-3 du Code du travail, qui prévoit depuis 2008 que les délégués syndicaux sont prioritairement désignés parmi les candidats aux dernières élections professionnelles ayant obtenu sur leur nom au moins 10 % des suffrages. Or selon l’employeur, le salarié ne pouvait pas, pour être désigné délégué syndical CFTC, « se prévaloir de [son] résultat électoral obtenu sur présentation de sa candidature par une organisation syndicale différente ». Débouté par le tribunal d’instance, l’employeur forme un pourvoi en cassation. Celui-ci est rejeté. Réaffirmant un principe déjà énoncé, tant au regard du droit antérieur (Cass. soc., 13 janv. 2010, no 09-60.108) que postérieur (Cass. soc., 28 sept. 2011, no 10-26.762) à la loi du 20 août 2008, la Cour de cassation rappelle que « dès lors qu’un salarié remplit les conditions prévues par la loi pour être désigné délégué syndical, il n’appartient qu’au syndicat désignataire d’apprécier s’il est en mesure de remplir sa mission, peu important que ce salarié ait précédemment exercé des fonctions de représentant d’un autre syndicat ou qu’il ait été élu lors des dernières élections sur des listes présentées par un autre syndicat ». Faisant application de ce principe aux faits en cause, la Cour relève qu’ayant constaté que la condition d’obtention d’un score électoral d’au moins 10 % aux dernières élections était satisfaite, c’est à bon droit que le tribunal avait rejeté la requête de la société. FONDEMENTS JURIDIQUES La solution ainsi dégagée trouve deux fondements. L’argument lié au texte Elle relève d’abord d’une analyse littérale et d’une application stricte des dispositions légales instituant les conditions requises de tout salarié pour être désigné délégué syndical. Outre les conditions d’âge, d’ancienneté dans l’entreprise ou encore de capacité civique qu’il prévoit (C. trav., art. L. 2143-1), le Code du travail institue la condition d’audience personnelle dans les termes suivants : « Chaque organisation syndicale représentative (...) qui constitue une section syndicale, désigne parmi les candidats aux élections professionnelles qui ont recueilli au moins 10 % des suffrages exprimés au premier tour des dernières élections (...) un ou plusieurs délégués syndicaux pour la représenter auprès de l’employeur ». Ce texte ne prévoit nullement que c’est parmi ses candidats aux dernières élections qu’un syndicat devrait désigner ses délégués syndicaux. La position de la Cour de cassation s’explique donc avant tout par le fait qu’il n’y a pas lieu d’ajouter de nouvelles conditions à celles prévues par la loi.

La liberté syndicale Le deuxième élément déterminant dans la décision de la Cour de cassation tient à la prise en compte de la liberté qui est celle de tout syndicat, et qui est une conséquence directe du principe fondamental de liberté syndicale, de décider librement de son fonctionnement. De ce droit à la libre administration découle une compétence exclusive du syndicat dans le choix de ses représentants. Dans les limites tracées par la loi (qui s’agissant de cette condition d’audience personnelle n’a pas été jugée contraire à la liberté syndicale : Cass. soc, 14 avril 2010, no 09-60.429), le syndicat désignataire est souverain dans le choix de ses délégués syndicaux, à partir de ses critères d’appréciation, dont il n’a pas à justifier. Certes, en l’espèce le parcours du délégué syndical concerné avait de quoi surprendre, le passage de l’anarcho-syndicalisme révolutionnaire à la doctrine sociale chrétienne ayant tout du grand écart idéologique. Mais peu importe ce virage spirituel à 180 degrés ; il n’appartient qu’au syndicat désignataire d’apprécier l’opportunité d’attirer à lui la brebis égarée et d’en faire l’apôtre de sa vision du syndicalisme et de la défense des travailleurs. Les arguments de l’employeur Dans le cadre de son pourvoi, l’employeur avançait deux arguments qui, bien que non dénués d’intérêt, semblaient voués d’emblée à l’échec. En premier lieu, la société invoquait un « risque de conflit d’intérêt » dans la mesure où, tout en étant désigné par la CFTC comme délégué syndical, le salarié conservait ses mandats de délégué du personnel et de membre du comité d’établissement obtenus sous l’étiquette CNT. Selon l’employeur, cette « double mandature » était génératrice d’un « risque objectif ». La faiblesse de l’argument tenait à ce qu’il postule que le salarié est un membre CNT au CE et un DP CNT, tout en étant désormais DS CFTC. Mais tel n’est pas le cas. Bien qu’élu sur une liste syndicale, et si en pratique la notion de groupe syndical au CE n’est pas sans importance, pour autant l’élu CE/DP est en tant que tel un membre d’une instance représentative indivisible et non le représentant d’un syndicat au sein de cette instance. Son appartenance syndicale (éventuelle d’ailleurs) est indifférente à l’exercice de sa mission d’élu, à la différence du délégué syndical qui au contraire est le porte parole de son syndicat désignataire tout au long de son mandat (et qui l’engage juridiquement, notamment par la signature des accords collectifs), ou du représentant syndical au CE. Il ne pouvait donc exister aucun « conflit d’intérêt » dans la mesure où le salarié n’était représentant que d’un seul syndicat, la CFTC. En deuxième lieu, l’employeur soutenait que « l’affiliation syndicale est un élément essentiel du vote des électeurs qui sont désormais associés à la désignation de leurs représentants syndicaux » et que la désignation par un autre syndicat méconnaissait « l’exigence de loyauté envers [eux] ». On reconnaît ici la formule employée par la Cour de cassation dans les arrêts par lesquels elle juge qu’un syndicat ne peut plus se prévaloir, pour se dire représentatif, des suffrages recueillis aux dernières élections lorsqu’il modifie son affiliation confédérale suite à ces élections, « l’affiliation confédérale (...) [constituant] un élément essentiel du vote des électeurs » (Cass. soc., 18 mai 2011, no 10-60.069). En l’espèce, l’employeur tentait d’étendre le champ d’application de cette règle à l’affiliation personnelle du délégué syndical. Mais la Cour de cassation s’y oppose. Ainsi qu’elle l’avait jugé dans une décision précédente, « le score électoral exigé d’un candidat par l’article L. 2143-3 du Code du travail pour sa désignation en qualité de délégué syndical est un score

personnel qui l’habilite à recevoir mandat de représentation par un syndicat représentatif » (Cass. soc., 28 sept. 2011, préc.). Cette position est logique ; l’argument de l’employeur reposait sur une vision erronée et trop extensive du rôle que la loi a voulu donner aux électeurs dans la désignation du délégué syndical. La condition d’audience personnelle n’institue pas une élection des délégués syndicaux par les salariés ; elle tend simplement à établir un « filtrage » des titulaires potentiels d’un mandat désignatif, sur la base d’une appréciation par les votants des qualités personnelles des candidats. D’ailleurs la Cour de cassation a déjà eu l’occasion de préciser que cette condition « tend à assurer la détermination par les salariés eux-mêmes des personnes les plus aptes à défendre leurs intérêts dans l’entreprise et à conduire les négociations pour leur compte » (Cass. soc., 18 mai 2011, préc.). Mais en fin de compte, une fois le « label de désignabilité » délivré par les électeurs, c’est au syndicat, reconnu représentatif au regard notamment de son affiliation confédérale, d’opérer le choix de son représentant au sein du panel de candidats jugés par les salariés suffisamment aptes à exercer un mandat de délégué syndical, pour quelque syndicat que ce soit. L’employeur (pas plus qu’un syndicat concurrent), quelles que puissent être ses motivations véritables, ne peut s’opposer à ce choix. Tout au plus, les transfuges syndicaux et leur syndicat d’accueil risquent-t-ils d’engager leur « responsabilité politique » lors des élections professionnelles suivantes, à l’occasion desquelles leur versatilité idéologique pourrait être sanctionnée par les salariés. Tel est, peut-être, le juste sens de la « démocratie sociale » : c’est aux salariés électeurs de contrôler leurs syndicats, non à l’employeur. Cass. soc., 17 avr. 2013, no 12-22.699 P+B

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7 juin 2014 6 07 /06 /juin /2014 06:45

Bonjour,

Nous vous faisons parvenir par ce mail pour la seconde fois le tract et la pétition concernant la FHP.

Nous vous demandons donc de bien vouloir distribuer, transmettre, motiver la signature de la pétition, de distribuer au plus large le tract pour aider à une plus grande mobilisation.

Les Organisations Syndicales se réunissent mensuellement en Commission Paritaire au siège de la FHP (Fédération Hospitalière Privée). Aujourd’hui les motifs d’insatisfaction et les raisons d’exprimer notre mécontentement ne manquent pas. Nul besoin de catalogue pour illustrer les réalités de nos conditions de vie et de travail dégradées... 

15% de perte du pouvoir d'achat depuis 10 années !!!

MOBILISONS NOUS DANS LES ÉTABLISSEMENTS ET ORGANISONS UN RASSEMBLEMENT DEVANT LES LOCAUX DE LA FHP LORS DE LA COMMISSION MIXTE PARITAIRE DU 25 JUIN 2014.

POUR FAIRE ABOUTIR NOS REVENDICATIONS, SIGNONS MASSIVEMENT LA PÉTITION

 

 

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6 juin 2014 5 06 /06 /juin /2014 13:20

CR du conflit Clinique de l’Union, Groupe RAMSAY

Non sans vous remercier de votre soutien je vous donne comme convenu des nouvelles de la mobilisation.

La journée d'hier a été très chargée en émotions. Il y avait 350 salariés rassemblés devant la clinique. La direction a fini par recevoir les DS et des salariés, portes paroles de chaque service. L'expression de la souffrance au travail a été largement développée par les salariés très remontés contre la direction qui en a pris pour son grade. Il y avait des nouveaux embauchés mais aussi des anciens, qui, riches de leur vielle expérience dans nos établissement, n'ont pas manqués de rappeler à notre Directeur son manque de loyauté et de reconnaissance financière et humaine pour le travail accompli.

Toutefois force est de constater que notre direction n'a plus la main contrairement à ce que nous avait seriné Michon. Il avait affirmé, à de nombreuses reprises avant et après le rachat, que la direction des établissements restée maître à bord. Nous n'étions pas dupes. Ainsi notre directeur a avoué devoir en référer au groupe avant de donner un avis favorable aux revendications.

Et bien sûr pour les négociations des NAO 2013, (car je vous rappelle que nous sommes toujours sur les NAO 2013) cela a était une fin de non recevoir. Les salariés et les syndicats ont décidés de reprendre le travail à 22h ce jeudi soir et de s'acheminer vers un constat de désaccord pour 2013 et une ouverture des NAO 2014 avec les mêmes revendications et avec menace de reprendre le conflit s'ils n'avaient pas gain de cause.

Les salariés et les élus ont marqué des points ce jeudi. La pression est sur la direction car il y a un rapport de force en notre faveur. Et au final une SEULE journée de grève qui a un impact de plusieurs jours sur l'activité avec ce pont de la pentecôte.

Le prochain rendez-vous c'est mardi où la direction doit nous faire part des décisions et les NAO 2014 s'ouvrir avec les forces de notre côté.

Ce mouvement peut sembler s'achever sur un échec mais au contraire : Il a été riche :

- Les représentants du personnel sont porté par une forte mobilisation et par des salariés très très impliqués.

- La Direction ne peut plus dire qu'elle ne sait pas. Malgré nos alertes dans les diverses instances elle ne nous écoutait pas. Maintenant c'est de la bouche même des salariés qu'ils l'ont entendus.

- C'est une première mobilisation pour nous depuis le rachat et la mobilisation a été forte. Il était capital qu'il existe
une force à ne pas mépriser. Et RAMSAY FRANCE doit se méfier.....

- Cela a prouvé aussi que tout ne s'achète pas : Si importante que puisse être une prime ( 10 euros/h travaillés lorsqu'un soignant assume en sus de son travail celui d'un collègue non remplacé). C'est même cette prime qui a mis le feu au poudre. La conscience professionnelle est plus forte que le fric même s'il est temps que de véritables revalorisations salariales arrivent.

Cette grève peut sembler s'être achevé en queue de poisson mais ce n'est qu'un début
Voili ! voila !

La suite au prochain épisode et notre slogan reste : L'UNION FAIT LA FORCE

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6 juin 2014 5 06 /06 /juin /2014 06:23

http://www.boursier.com/actions/actualites/news/korian-l-assemblee-generale-se-tiendra-le-26-juin-581708.html

 

 

(Boursier.com) — L'Assemblée générale mixte des actionnaires de la sociétéKorian-Medica se tiendra le jeudi 26 juin 2014 à 9h au Paris Marriott Hôtel Champs-Elysées, 70 avenue des Champs Elysées.

L'avis préalable de réunion comportant l'ordre du jour, le texte des résolutions présentés par le Conseil d'administration ainsi que les modalités de participation et de vote à cette Assemblée, a été publié au Bulletin des Annonces Légales Obligatoires no58 du 14 mai 2014. Les documents et renseignements relatifs à cette Assemblée seront tenus à la disposition des actionnaires dans les conditions légales. Les informations relatives à cette Assemblée et visées au Code de commerce sont consultables sur le site Internet de la société à l'Espace 'Finance', Rubrique 'Carnet de l'actionnaire'. Tout actionnaire peut demander à la société l'envoi des documents et renseignements.

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5 juin 2014 4 05 /06 /juin /2014 20:15

Bonsoir à tous,

Des infos des CLCC :

A l'institut Gustave Roussy, Centre de Lutte contre le Cancer, nous serons en action et en grève mardi 10 juin sur les salaires. Ce jour là, se réuni le conseil d'administration.

Ras le bol des salaires de misère : un brancardiers chez nous gagne 1085€ net !!!! Comment vit-on en Ile de France avec ce salaire ! Très mal bien sur ! Dans la misère pour certains, travailleurs pauvres, et on travaille dans un centre hospitalier de renommée internationale !!!!

Stop au gel des salaires ! Tous en grève le 10 juin.

Nous irons interpeller "ses costumes cravates" du CA avec les salariés.

Dans d'autre CLCC, c'est 6600 signatures sur la pétition sur les salaires, c'est le boycott des NAO : à Marseille, Paris, à Nantes, à Angers, à Lille.
Au niveau national c'est le boycott des paritaires tant que la question des salaires ne sera pas à l'ordre du jour.

Et ce n'est que le début. Avec nos collègues de la FHP, tous ensemble soyons nombreux à nous mobiliser pour nos salaires et nos conditions de travail.
A l'IGR le 10 juin, dans les cliniques de la FHP le 25 juin, en interprofessionnel le 26 juin.
Sortons tous dans le rue et donnons de la voix à nos revendications

.

Bonne lutte à tous.

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5 juin 2014 4 05 /06 /juin /2014 20:12

Conflit de la Clinique de l’Union et Le Marquisat .

Suite aux échanges avec notre DS CGT de la Clinique de l’Union du groupe RAMSAY, il apparait que la mobilisation bat son comble ; en effet, environ 85% des salariés sont mobilisé ce matin dans une ambiance champêtre et sous le soleil. Les services des urgences, de la réanimation et l’ensemble des blocs sont fermés tandis que les secteurs d’hospitalisation sont touché à hauteur de 50% des effectifs en moins. Tous les services sont dans la mobilisation : personnels techniques, services administratifs, logistiques et soignants.
Les interventions sont donc annulées et les patients évacués en partie. Les médias sont sur le pont. La direction ne souhaite toujours pas ouvrir le dialogue avec les organisations syndicales CFDT et CGT. Pour info, la direction générale du groupe devait organiser une petite sauterie demain avec la tête du groupe (les australiens) afin de fêter les un an d’achat de ces cliniques toulousaines, cela pourrait peut être reporté ……………… . .


Les membres du collectif CGT Ramsay communiquent l’existence et la nature de ce conflit à l’ensemble des établissements/entreprises ou la CGT est implantée afin de faire prendre conscience aux salariés que les difficultés vécues aux cliniques de l’Union et Marquisat rejoignent pleinement leur problématique.

UN PEU D’INFOS ………………

Générale de Santé : les actionnaires négocient une cession à Ramsay Santé
L'action Générale de Santé bondit de 5,5% à l'ouverture de la Bourse de Paris, à 16,36 euros, après une offre de rachat à 16,75 euros par action. Le groupe australien Ramsay Health Care, qui avait déjà fait l'actualité sur le dossier en rachetant Medipsy, propose cette fois de racheter la totalité du périmètre, avec l'appui de Crédit Agricole Assurances. Ramsay a ainsi formulé une offre à Santé SA et Santé Développement, qui détiennent ensemble 83,43% du capital du réseau de cliniques. Les deux actionnaires ont accepté d'entrer en négociations exclusives jusqu'au 6 juin prochain. L'offre serait portée par Ramsay Santé, une entreprise commune à l'australien et au Crédit Agricole Assurances.
Si les négociations aboutissent, la suite des opérations sera soumise aux modalités habituelles, dont une offre aux minoritaires dans les mêmes conditions. Le niveau de détention sera équivalent à celui qui prévaut sans Ramsay Santé : Ramsay détiendra 57% des actifs et Crédit Agricole Assurances 43%. Le coût pour l'entreprise australienne est ainsi évalué à 539 millions d'euros.
L'offre valorise, selon nos calculs, 100% de Générale de Santé à 945 millions d'euros, et offre une prime de 8% sur le cours de 15,50 euros de vendredi 9 mai au soir. Ramsay rappelle dans son communiqué être à la tête de 151 établissements en Australie, Royaume-Uni, France et Asie, pour 1,3 million de patients traités chaque année. Générale de Santé affiche pour sa part 75 implantations et 1 million de patients annuels.

MAIS DEPUIS …………………………………………………………………..

Les dirigeants des sociétés SCA Attia Villard Fribourg et Rainbow Santé, actionnaires minoritaires (A hauteur de 11,09%) de la société Générale de Santé (GDS), annoncent dans un communiqué le 2 juin qu’ils souhaitent être « en mesure d’examiner la possibilité de déposer une offre dans les meilleurs délais à l’ensemble des actionnaires de la société GDS a un prix unitaire supérieur à celui offert par RAMSAY HEALTH CARE, Crédit Agricole et Ramsay Santé. A cette fin, ils vont adresser, dans les jours qui viennent, une lettre d’intention a Santé SA et Santé Développement Europe SAS dans laquelle elles solliciteront la mise à leur disposition de toute l’information communiquée a Ramsay Heath Care, Crédit Agricole et Ramsay Santé.

AFFAIRE A SUIVRE …………………………………………………………….

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