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18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 07:58

Règles en matière de diffusion du procès-verbal de réunion dans l’entreprise

Selon l’article L.434-4 du Code du travail, alinéa 2, « le procès-verbal, après avoir été adopté, peut être affiché ou diffusé dans l’entreprise par le Secrétaire du Comité, selon des modalités précisées par le règlement intérieur du Comité ». Il n’existe donc pas de secret du délibéré mais la loi ne prévoit pas d’obligation en matière d’affichage et de diffusion du procès verbal dans le cadre d’une réunion. Les modalités d’affichage ou de diffusion peuvent être établies par un règlement intérieur, mais non l’autorisation d’affichage ou de diffusion.
Le procès verbal d’une réunion peut être affiché dans l’entreprise afin d’informer le personnel sur les débats relatifs aux consultations obligatoires, et les informations légales communiquées aux membres du Comité. Les informations considérées comme confidentielles par le Président ne peuvent pas être divulguées, et le Secrétaire veillera donc à ce titre à les supprimer avant de diffuser le procès verbal de réunion et à archiver le compte rendu intégral de la réunion, sous le sceau de la confidentialité. Le procès verbal de réunion diffusé ne saurait contenir des informations nominatives sur les salariés."
 
Donc, pour le moment on diffuse ce qu'on veut et OU ON VEUT.

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17 mars 2010 3 17 /03 /mars /2010 11:19
Pour rappel ICI ,ICI le précedent article à ce sujet.

Voilà la réponse de l'inspection du travail:

"Pour les jours fériés, tant l'article 59-3 de votre convention collective que l'avis d'interprétation qui l'explicite tendent à donner un droit à quatre jours par an, par salariés, ces jours ne pouvant coîncider avec des jours de repos hebdomadaires, sous réserve de l'interprétation souveraine des tribunaux compétents".

Donc affaire à suivre, on ne lâche pas le morceau...

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16 mars 2010 2 16 /03 /mars /2010 09:35
 

Madame Michu(sans T) est salariée à Médica France, AVS, dans une maison de retraite.9 ans d'ancienneté, 2 enfants dont un encore à la maison. Depuis 2 ans madame Michu(sans T) à accès à internet avec l'ordi que son fils à récupéré et branché en wifi avec l'accord du voisin, car elle n'a pas les moyens de se payer un abonnement. Madame Michu(sans T) habite à 25 kms de son lieu de travail, quand tout se passe bien c'est 1h30 le matin et le soir, mais quand ça se passe mal (quand par exemple la CGT fait grève pour les salaires, le maintien de l'emploi, les retraites, les acquis sociaux, pour une vie décente, quoi!)là, le temps de trajet peut doubler!Elle travaille en grande journée de 7h à 19h, un 35 h lambda, un 1076€ net sans les dimanches et jours fériés. Elle s'informe régulièrement sur le blog « le fruit des amandiers »et se dit bien souvent qu'elle se sent bien mal payée comme + de 45% de ses homologues sans parler de la pénibilité de son travail, de la surcharge, du glissement des tâches insidieusement mises sur une fiche de poste pour l' officialiser et déculpabiliser sa direction. Elle a pris connaissance(sur le blog) de l'interview de Monsieur Bailet, le PDG de Médica, concernant l'opération boursière. Elle nous fait remarquer qu'à aucun moment le PDG ne parle de ses salarié(e)s qu'il dirige;qu'il mène un jeu financier sur play station ou qu'il joue au monopoly des vendeurs de couches. La maison avait 47% de dettes, il en rembourse 46% et ne voit qu'une chose: le développement!!!Ou sont passer les millions d'euro? Apparemment dans l'achat de nouveaux sites (dernièrement 4 du groupe Médience dans le sud de la France) au début et ensuite poussé par un appétit ogresque, il continuera à s'endetter quand la manne sera épuisée..A côté de ça ,madame Michu(sans T) attend patiemment ses 10 ans d'ancienneté pour avoir ses 10 points d'indices supplémentaires; sa voisine, qui est aussi salariée dans un établissement de santé, à une prime de transport (parce qu'elle va travailler en voiture) de 200€ par an, des jours de congés en plus tous les 5 ans (reconnaissance de son ancienneté maison), un 13éme mois et son ancienneté est reprise dans son salaire de base (bon, ça c'est pour déconner! Ça n'existe pas!!!). Dernièrement, madame Michu(sans T) a été malade (ce fichu mal de dos, à force de manipuler des personnes âgées de plus en plus dépendantes) une semaine, clouée au lit, elle a eu 2 fois 30€ pour 5 jours d'arrêt alors que les cadres de son entreprise ont la prorogation des 3 premiers jours d'arrêts, elle s'est senti discriminée, ce qui l'a poussé à entrer en contact avec ses élus syndiqués (CGT,bien sûr). D'ailleurs, elle ne comprend pas que travaillant dans la santé et pour la santé des autres, on ne pense pas à la sienne! Par une mutuelle d'entreprise, par exemple, dont une partie pourrait être pris en charge par l'entreprise, la sienne (avec son fils) lui coûte 80€ par mois et elle se demande si monsieur Bailet est au courant de tout ça, des travailleurs pauvres, des travailleurs qui font la richesse de sa boite à 1076€ par mois. Elle nous a dit « faites comme à l'usine, prenez le en otage! Ce à quoi, nous lui répondons « on ne peut pas, nous sommes des partenaires sociaux »! Heu! Pour l'instant! Nous avons longtemps converser avec madame Michu(sans T), elle (nous non plus) ne comprend pas que tout ces bénéfices ne profitent pas et ne soient pas réservés(au moins en partie) aux salarié(e)s, sans qui l'entreprise n'est rien, et en plus elle a appris (forcément par le blog) que 49% de l'entreprise avait été rachetés par une filiale de BC Partners(qui sont déjà propriétaire du reste) et en plus qui est basé au Luxembourg; ouille! C'est compliqué tout ça!et elle, comme +de 3000 salarié(e)s a investi dans le plan épargne groupe, des montants de 30,50 et 100€, pour montrer la confiance qu'il(elle)s avaient dans l'entreprise et pour accompagner ce tournant historique. Quel remerciement de nos dirigeants...Ah! Si elle avait su, madame Michu(sans T)...

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5 mars 2010 5 05 /03 /mars /2010 20:36

"Medica vise une croissance de 13 à 15% entre 2010 et 2012"

 

Medica a inauguré la saison 2010 des introductions en Bourse. Malheureusement pour l'entreprise, elle est tombée juste au moment où les craintes sur la Grèce paralysaient les marchés. L'exploitant de maisons de retraite a dû consentir une baisse de prix pour assurer la réussite de l'opération. Jacques Bailet, son PDG, revient sur ces péripéties, qui n'entament aucunement la stratégie de l'entreprise.

Capital.fr : Medica est entré en Bourse le mois dernier, alors que les inquiétudes sur la Grèce plombaient les conditions de marché. Vous avez dû réduire le prix de l'opération. Une déception ?

Jacques Bailet, Président-Directeur général : Les circonstances ont fait que nous sommes effectivement arrivés à un moment où un certain nombre d'éléments chahutaient les marchés. Nous n'avons cependant pas voulu décaler l'opération pour ne pas compromettre la stratégie de développement qui s'ouvre à nous. Nous n'étions pressés que de raisons positives : nous n'avions nulle pression de nous refinancer car nous respections déjà nos covenants: nous étions engagés à ne pas dépasser un endettement de 7,7 fois l'EBITDA, et nous étions à 7 fois, ce qui nous laissait une marge d'une cinquantaine de millions d'euros. En revanche nous souhaitions être en mesure de saisir des opérations de croissance. En France, la composition actuelle du secteur des maisons de retraite et des établissements sanitaires offre en effet beaucoup d'opportunités de croissance externe, en sus de notre croissance organique.

Capital.fr : Concernant l'opération, le principal actionnaire TBU-3 International a préféré ne pas procéder à la cession à Predica de titres existants, tel qu'envisagé.

Jacques Bailet : En effet, mais la cession envisagée était relativement marginale par rapport à leur participation et la taille globale de l’offre ; TBU3 (des fonds gérés par BC Partners, notamment pour le compte d'AXA Private Equity) comptait de toute façon demeurer un actionnaire significatif de Medica à l’issue de l’introduction en bourse. Au bout du compte, la baisse du prix a permis de répondre pleinement à la demande des investisseurs : l'opération a été trois fois sursouscrite et l’option de surallocation intégralement exercée, permettant de lever 275 millions d'euros. Grâce à cette augmentation de capital nous avons encore amélioré notre ratio de dette nette sur EBITDA, ramené à quatre fois.

Capital.fr : Comptez-vous faire des emplettes, ou bien préférez vous une acquisition importante d'un coup ?

Jacques Bailet : Avant tout, Medica effectuera des opérations disciplinées en matière financière, en ligne avec sa politique de croissance externe ciblée visant à accroître sa présence dans les zones à forte densité démographique. Nous sommes attentifs aux opportunités de marchés et regardons notamment le potentiel de mise à niveau de rentabilité et la qualité de l’offre. Nos cibles peuvent être aussi bien des établissements acquis à l'unité (maisons de retraite, clinique psychiatriques) qu’un ensemble de plusieurs établissements. Par le passé nous avons procédé à des acquisitions de groupes comme EIS-Qualisanté (2.220 lits) puis les Doyennés (1. 350 lits), dans la période récente nous avons acheté plutôt des établissements à l'unité (36 depuis 2006, dont 20 centres de rééducation). En parallèle, nous poursuivons également notre croissance organique par une politique active de création et de restructuration d’établissements.

Capital.fr : Quel montant envisagez-vous de consacrer à la croissance organique et externe, avec quels objectifs financiers ?

Jacques Bailet : Dans les trois années qui viennent nous prévoyons d'investir 220 millions d'euros, dont 55 millions dans la maintenance de l'outil actuel. Ces investissements doivent contribuer à développer notre chiffre d'affaires (notre objectif est celui d'une croissance moyenne de 13 à 15% entre 2010 et 2012, dont au moins 10% cette année) tout en maintenant notre niveau de marge et en réduisant notre dette pour réduire encore notre taux d'endettement (dette nette/EBITDA de trois fois d’ici 2012). Nous envisageons de distribuer 20% des bénéfices aux actionnaires à partir de l'année prochaine, dans la mesure où au titre de 2009 le service de la dette a pesé sur le résultat. En termes opérationnels, nous maintiendrons notre politique active de gestion immobilière visant à optimiser notre structure patrimoniale, en détenant environ un tiers de nos murs et en étant locataire du reste. Nous maintiendrons aussi notre équilibre géographique entre la France et l'Italie et la répartition de notre activité à 70% dans le médico-social et à 30% dans le sanitaire.

Capital.fr : Votre stratégie n'est donc en rien modifiée par l'introduction en Bourse ; le jeu en vaut-il la chandelle ?

Jacques Bailet : Bien sûr, et l'intérêt pour Medica va bien au-delà de l'accroissement considérable de nos capitaux propres. Le fait d'être coté en Bourse apporte en effet une visibilité plus importante, et c'est une incitation à gérer l'entreprise de façon encore plus transparente et plus lisible. C'est également une motivation supplémentaire pour nos équipes. Avec le LBO, 800 salariés étaient actionnaires de la société. Désormais, via notamment le FCPE, ils sont plus de 3.000, sur un total de 6.400.

Capital.fr : Pour l'opinion publique, la problématique de la dépendance est insuffisamment couverte aujourd'hui en France. Comment un acteur privé comme Medica, dont la vocation est aussi de dégager des profits, peut-il contribuer à y répondre ?

Jacques Bailet : L'offre privée est incontournable et apporte des solutions complémentaires qui sont aussi très efficaces en termes de financement des politiques de santé. Ainsi, les établissements sanitaires moyen-séjour permettent d'accueillir des personnes en soins de suite après une hospitalisation, à un coût sensiblement inférieur à celui de l'hôpital. Or des études ont montré qu’on estime à 5 millions le nombre de journées d'hospitalisation dites non pertinentes. Si l'on réservait l'hospitalisation aux pathologies aigues et qu’on recourait aux établissements de moyen séjour/EHPAD lorsqu'un séjour en hôpital n'est pas ou plus justifié, l'économie budgétaire pour l’administration serait de 2,5 milliards d'euros. Medica pratique par ailleurs une politique de prix raisonnable. Le prix d'hébergement moyen est de 73 euros TTC par jour et cette moyenne inclut les zones les plus chères comme Paris et la Cote d'Azur. A cela s’ajoute un autre paramètre. Globalement en France, le problème se situe aussi bien du côté d'un manque de qualité de l'offre, que de quantité. Une enquête récente a montré que 15% des lits disponibles étaient en dessous – souvent très en dessous- des normes de qualité admissibles, et ceci n’est pas acceptable. Chez Medica, la qualité a toujours été notre préoccupation première, tant en termes d’hébergement que de soins. La partie soins est financée par l'aide publique : un établissement privé ne fait donc aucune marge sur les soins, mais uniquement sur l'hébergement … Il est parfaitement légitime que des personnes, en fonction de leur politique d'épargne, soient prêtes à dépenser davantage pour obtenir de meilleures prestations hôtelières. Mais dans tous les cas, la qualité des soins est homogène et contrôlée, ce qui est primordial. Nous enquêtons régulièrement dans nos EHPAD pour nous assurer que nos prestations correspondent aux attentes des personnes accueillies et de leur famille. 96% des résidents et de leur famille sont satisfaits ou très satisfaits du cadre de vie, 96% également de la qualité du service.

Propos recueillis par Guillaume Bayre

© Capital.fr

http://www.capital.fr/bourse/interviews/medica-vise-une-croissance-de-13-a-15-entre-2010-et-2012-482215

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3 mars 2010 3 03 /03 /mars /2010 15:36

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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 13:19
ICI

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1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 19:54

La majorité en état de choc

A entendre les propos de la frange la plus réactionnaire du groupe majoritaire Pour Obernai (qui a perdu son Avec Bernard Fischer...) se dire être « choquée que les DNA aient laissé les élus de la minorité (entendez les élus du groupe Mieux Vivre Obernai) dire pourquoi ils étaient opposés à la gestion privée de la future maison de retraite pour malades Alzheimer »*, on en viendrait presque à trouver Poutine sympathique !


Nous, élus du groupe Mieux Vivre Obernai, sommes choqués que des membres de la majorité ne puissent comprendre qu’un établissement à but hautement lucratif, tel que ceux exploités par MEDICA FRANCE, puisse s’enrichir sur le dos de la santé publique. Et nous donnerons toujours la préférence à un établissement à but non lucratif. C’est dans cet état d’esprit que nous avons approuvé le principe de l’implantation d’un institut médico-éducatif spécialisé dans l’accueil et l’hébergement d’une quarantaine d’enfants handicapés et autistes sur le site du château de Hell exploité par l’association Adèle de Glaubitz.


La majorité n’est plus à une contradiction près : ici, elle favorise un établissement à but hautement lucratif, là elle vante les mérites d’un établissement à but non lucratif. Allez comprendre !


Mais le plus choquant dans cette affaire est que certains puissent s’offusquer que le quotidien local ait osé publier un autre avis que le leur.

 

* DNA - Obernai - 28 février 2010

http://www.mieuxvivreobernai.com/article-la-majorite-en-etat-de-choc-45832087.html

Mercredi 24 février 2010 3 24 /02 /2010 08:50

Article des DNA - 21 février 2010



DNA logo Une maison de retraite pour malades Alzheimer : le projet prend de la consistance. L'établissement devrait s'implanter à la bordure Est de la ville (DNA du 9 février). Et les détails apportés par notre journal font réagir le groupe Mieux vivre Obernai. Pour ce dernier, si le projet reste louable au fond, il présente le défaut de faire appel au privé. Une politique du maire qu'il dénonce. La minorité aurait, elle, opté pour un établissement géré par le centre communal d'action sociale. Alors que là, "il n'y aura pas de maîtrise des tarifs ni du mode de gestion par la commune".

Et l'opposition du conseil municipal est allée faire un tour sur le site de la société Médica France, qui doit construire et gérer l'EHPAD (établissement hospitalier pour personnes âgées dépendantes). Elle est inquiète car, rapporte-t-elle, « les prix chez Médica France sont de 2200 euros par mois, et plus élevés encore pour les soins Alzheimer. » En voyant les objectifs de croissance poursuivis par la société, le groupe minoritaire craint tout simplement de voir l'établissement réservé « à une faible partie de la population obernoise, fortunée... » Quant à se faire soigner dans un autre établissement spécialisée dans le secteur, ce ne sera plus possible, termine le groupe Mieux vivre, en raison du monopole obtenu par Médica France.

 

C.R.

http://www.mieuxvivreobernai.com/article-maison-alzheimer-la-minorite-tire-contre-la-gestion-privee-45561003.html

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26 février 2010 5 26 /02 /février /2010 11:01

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19 février 2010 5 19 /02 /février /2010 12:17
18/02/10 07:30 MEDICA: Exercice intégral de l’option de surallocation

Taille totale de l'opération d'introduction en bourse portée à 313,7 millions d'euros

MEDICA: Exercice intégral de l'option de surallocation

Regulatory News:

Le groupe MEDICA (Paris: MDCA), annonce aujourd'hui que, dans le cadre de son introduction en bourse, les Coordinateurs Globaux, Chefs de File et Teneurs de Livre Associés, BNP Paribas, Credit Suisse et RBS, au nom et pour le compte des Etablissements Garants, ont compte tenu de l'évolution favorable du cours de bourse exercé intégralement l'option de surallocation en vue de l'acquisition auprès de TBU-3 International S.A.1 et des entités ICG2, de 2 938 698 actions existantes supplémentaires au prix de l'offre, soit 13,0 euros par action.

En conséquence, le nombre total d'actions du groupe MEDICA mis à la disposition du marché dans le cadre de son introduction en bourse s'élève à 22 530 044 actions, soit environ 47,0% du capital et des droits de vote du groupe MEDICA, portant ainsi la taille de l'offre à prix ouvert et du placement global à 292,9 millions d'euros, et la taille totale de l'introduction en bourse à 313,7 millions d'euros (après offre réservée à Predica, filiale de Crédit Agricole Assurances, et aux administrateurs indépendants et offre réservée aux salariés).

A l'issue de l'exercice intégral de l'option de surallocation, TBU-3 International S.A. détiendra environ 45,1 % du capital et des droits de vote du groupe MEDICA.

Par ailleurs, BNP Paribas, en sa qualité d'agent stabilisateur, a indiqué au groupe MEDICA n'avoir effectué aucune opération de stabilisation au cours de la période de stabilisation, laquelle a débuté le 10 février 2010 (après la diffusion du communiqué par le groupe MEDICA annonçant le résultat de l'offre) et à laquelle il a été mis fin ce jour.

Informations publiques

Des exemplaires du prospectus visé par l'AMF le 25 janvier 2010 sous lenuméro 10-015, composé du document de base enregistré le 9 décembre 2009 sous le numéro I.09-092 et d'une note d'opération (incluant le résumé du prospectus), sont disponibles sans frais auprès du groupe MEDICA, 39 rue du Gouverneur Général Félix Eboué, 92130 Issy-les-Moulineaux, ainsi que sur les sites Internet du groupe MEDICA (www.medica-france.fr) et de l'Autorité des marchés financiers (www.amf-france.org). Le groupe MEDICA attire l'attention du public sur la section 5 « Facteurs de risques » figurant dans le document de base enregistré auprès de l'AMF et sur la section 2 « Facteurs de risques liés à l'Offre » figurant dans la note d'opération.

http://bourse.lci.fr/bourse-en-ligne.hts?urlAction=bourse-en-ligne.hts&idnews=BNW100217_00006865&numligne=3&date=100218

 TBU-3 International S.A., société détenue par des fonds et véhicules conseillés par BC Partners, ne procédera pas à la cession prévue de 15 millions d’euros à Predica. Cette filiale de Crédit Agricole Assurances a confirmé sa volonté d’entrer au capital de Medica pour un montant minimum de 40 millions, au prix de l’offre.  

http://www.investir.fr/infos-conseils-boursiers/infos-conseils-valeurs/infos/la-societe-brade-son-introduction-en-bourse-204202.php

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19 février 2010 5 19 /02 /février /2010 12:12
ICI

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